Disclaimer: les personnages d'Hetalia appartiennent à Hidekaz Himaruya et les personnages ainsi que l'univers Saint-Seiya appartiennent à Kurumada
Bonjour/Bonsoir :D Ça faisait longtemps non? je viens vous enquiquiner une nouvelle fois avec une de mes fics. Cette fois, il s'agit d'un crossover Hetalia/Saint Seiya. Vu que je suis consciente que tout le monde ne doit pas forcément connaitre Saint Seiya (alias les Chevaliers du Zodiaque) c'est pourquoi il y aura souvent des petites explications dans les chapitres. (l'auteur profitera honteusement de l'ignorance de nos nations favorites :p) Mais si un point vous pose problème, n'hésitez pas à me le dire dans vos coms. Je vous répondrait et ajouterait une explication dans le chapitre suivant. Pour savoir à quoi ressemble les persos de Saint Seiya je préfère que vous alliez voir par vous même sur des sites dédié à cette série
Bonne lecture et bon voyage dans le monde des Chevaliers :) L'endroit où vous arriverez s'appelle le Sanctuaire en Grèce. température... (d'accord je me tais et vous laisse tranquille ^^')
Saint Hetalia
Chapitre 1 : Débarquement imprévu
Un éblouissement. C'était tout ce dont les nations se souvenaient. Ils vaquaient tranquillement à leurs occupations, quand soudain ils avaient ressentis un malaise, puis un flash lumineux les avaient aveuglés. Maintenant les pays, soient Alfred, Matthew, Francis, Arthur, Kiku, Berwald, Tino, Niels, Antonio, Gilbert, Ludwig, Ivan et les deux Italie, se trouvaient dans un univers qu'ils ne connaissaient pas. On aurait dit…Une immense arène à la grecque. Un stade plutôt. Tous se tournèrent vers Arthur, qui se défendit avec véhémence. Non, il n'y était pour rien dans cette histoire !
-Je ne sais pas comment nous sommes arrivés ici. Vous avez beau dire, je sais quand même quand je lance un sort où non ! Râla-t-il
- Vééé, mais comment allons rentrer chez nous ? Dit fratello, il se tourna vers Lovino, tu crois qu'il y a des pastas ici ?
-Je ne sais pas crétino. Arrête de t'accrocher à moi comme ça.
-Vééé… T'es méchant avec moi grand-frère… Couina le plus jeune.
-Bon ce n'est pas tout ça, mais…
Soudain, les nations furent encerclées par plusieurs hommes armés chacune d'une lance. Ils formèrent un cercle, avec Les deux Italie et Canada en son gardes se rapprochèrent, et Italie commença à pousser des hurlements de détresse, et sorti son drapeau en les suppliant de les épargner.
-Que faites-vous dans cet endroit sacré ?! Comment êtes-vous entré ici sans que l'on vous aperçoive ?
-Vééé… Je vous en pris, on est des gentils nous ! On ne vous fera pas de mal ! Par pitié !
-Notre arrivée dans ce monde commence plutôt fort. KolKolKol !
Ivan avait l'air de bien s'amuser. Peut-être étais-ce parce qu'il se croyait suffisamment fort pour tous les vaincre un par un. Alfred aussi n'avait pas l'air inquiet. On pouvait se demander pourquoi il n'avait pas sorti une phrase de son crût du genre « Approchez, le héros va tous vous vaincre ! » Ah ben tient, il vient de le faire justement.
-Nous devrions essayer de résoudre la situation calmement Alfred-San.
-Ils ne me donnent pas l'impression de vouloir régler ça à l'amiable.
-Bah, un peu de baston ne nous fera pas de mal. Ricana Niels.
Les gardes allaient attaquer les nations, quand soudain quelqu'un leur ordonna d'arrêter. D'un même mouvement, ils se mirent au garde à vous. Gilbert ne pût s'empêcher de faire une remarque comme quoi il était tout simplement awesome, et se prit une insulte de la part de Lovino.
-Qui sont-ils ? Claqua soudainement une voix autoritaire.
-Nous n'en savons rien Chevalier, nous les avons trouvé ici. Ne vous inquiétez pas, nous pouvons…
L'homme qui avait arrêté l'attaque des gardes sauta de la falaise où il était perché, et atterrit souplement sur le sol. Il n'avait pas l'air très âgé. 21 ans tout au plus. Pourtant il émanait de lui une aura si forte, qu'elle coupa le souffle de toutes les nations présentes. Comment pouvait-on être aussi jeune, et dégageait autant de puissance ? Il s'arrêta à quelques mètres des intrus.
-Qui vous a envoyé ici ?
-Vééé, on ne vous veut pas de mal, ni à vous ni à ceux qui vivent ici ! Geignit Féliciano les larmes aux yeux, ce type était encore plus impressionnant que Ludwig.
-Impossible. Nul ne peut pénétrer dans le Sanctuaire sans y avoir été autorisé. Hors, vous avez réussi à venir jusqu'ici.
-Nous sommes arrivés ici par hasard ! Où plutôt par sa faute. Protesta le Français en désignant son rival.
-N'importe quoi ! Je t'ai déjà dit que… Glups…
Le regard bleu azur de l'homme brun venait de se poser sur la nation aux yeux verts. Arthur essaya de ne rien laissé paraître, et de rester digne. Mais pourquoi son corps ne voulait pas s'arrêter de trembler ! Il était une nation, il n'avait pas à avoir peur. Enfin, l'homme détourna son regard de lui.
-Je vais être obligé d'en informer notre chef. Gardes, emmenez-les ! Ne les laissez pas s'échapper.
Les pays furent emmenés avec plus ou moins de facilité. Ils ne comprenaient vraiment pas ce qui leur arrivait. Arthur promit à Francis les pires souffrances imaginables pour ce qu'il avait fait.
-Qu'est-ce que tu ne captes pas dans « Ce n'est pas moi ? » Saleté de frog pervers !
-Tu es le seul d'entre nous à jouer avec la magie. Pourquoi ça ne serait pas toi ?
-J'Y SUIS POUR RIEN BON SANG !
On lui intima de se taire et d'avancer. L'Anglais grogna et se massa le crâne. Les deux Italie étaient serrés l'un contre l'autre, les larmes aux yeux. Espagne essayait vainement de les rassurer, mais n'arrivait qu'à se prendre des insultes de la part de l'ainé des Italiens. Prusse, Japon, Russie et les Nordiques inspectaient les alentours, essayant de trouver quelque chose qui pourraient les aider à savoir où ils étaient. Quant aux jumeaux d'Amérique du Nord.
-Tu penses quoi de cette situation Mattie ?
-Je ne sais pas. Pour l'instant, ils ne nous ont pas vraiment agressés. Ils sont juste méfiants.
-T'inquiète, le héros est là !
Canada soupira. Décidément, son frère ne changerait jamais. Toujours aussi insouciant et sûr de lui. Soudain des cris attirèrent son attention. Les nations française et anglaise étaient en train de s'étrangler joyeusement tout en s'agonisant d'insultes aussi colorées les unes que les autres. Antonio et Gilbert étaient en train d'encourager Francis, tandis que Niels riait et que Berwald dardait un regard glacial sur les combattants. Ludwig n'essaya même pas de les arrêter. La bataille se termina lorsque l'homme brun revint les chercher.
-Notre Grand Pope désire vous parler.
Il les fit passer devant lui, et ils se dirigèrent vers un énorme escalier grimpant le long d'une pente escarpée. On voyait douze temples perchés à douze endroits différents. Aiolia, l'homme qui les accompagnait, ne leur laissa pas le temps de se questionner. Et les entraina dans a longue, longue, longue montée des escaliers du Sanctuaire. Les nations arrivèrent essoufflées en haut des centaines de marches séparant le Temple du Bélier du Temple d'Athéna.
-Mais qu'est-ce qui leur a pris de construire des escaliers si grands ! Ils avaient du temps à perdre ou quoi ! S'énerva Arthur.
-Allons mon lapin. Tu devrais être content. Cette longue marche t'auras permis de faire un peu de sport.
-Insinuerais-tu que j'en avais besoin ? Ce n'est pas moi qui ai une nourriture pleine de graisse !
-Ce n'est pas moi non plus, pour rappel.
Aiolia interrompit la dispute franco-anglaise et les mena à l'intérieur du temple d'Athéna. Ils arrivèrent dans une immense salle, une trônait une jeune fille aux longs cheveux violets, tenant dans sa main droite un sceptre. A sa gauche, un homme masqué portant une longue toge blanche se tenait bien droit. 4 jeunes garçons en armures se tenaient autours de la jeune fille et du Pope.
-Déesse Athéna, le chevalier s'inclina, Grand Pope. Voici les personnes dont je vous aie parlé. Nous ne savons pas comment elles sont arrivées jusqu'aux arènes. Et eux-mêmes semblent l'ignorer.
Tous les pays s'étaient entreregardés en entendant le mot « déesse Athéna» Voilà bien longtemps que leurs peuples ne croyaient plus aux divinités, qu'elles soient grecques, égyptiennes ou autres d'ailleurs. Pourquoi cette jeune femme se faisait-elle appeler « déesse Athéna » alors ? En tout cas, elle dégageait une aura qui écrasait de loin celles des personnes présentes.
-Je te remercie chevalier, fit Athéna d'une voix grave, étrangers, elle posa son regard pairs sur les nations, soyez les bienvenues dans mon Sanctuaire.
-Vééé… Commença Féliciano avant d'être coupé par Alfred.
-Le héros vous remercie madame, il s'attira aussitôt les foudres des chevaliers présents, ben quoi…
-On dit « lady » quand on s'adresse à quelqu'un d'important ! Le repris son ex-tuteur.
Les deux anglophones commencèrent à se chamailler sous les yeux de ceux chez qui ils avaient atterrit. Tout en soupirant, Ludwig s'avança et commença à les présenter un par un. Les Chevaliers et leur déesse furent aussi surpris d'apprendre que les nations pouvaient avoir forme humaine que lesdites nations d'apprendre que Saori se disait être la réincarnation d'Athéna. Japon voulait bien croire qu'elle était une réincarnation, à la limite, mais de là à se dire incarnation d'une déesse…
-Vous voulez dire que vous êtes la réincarnation d'une jeune fille qui portait le même nom que la déesse grecque ? Demanda-t-il très respectueusement.
Cette question sembla choquer toutes les personnes présentes. Le Chevalier brun portant une armure blanche monta sur ses grands chevaux et leur demanda de quel droit ils osaient remettre en cause la parole d'Athéna, et même son existence. La jeune fille le fit taire en un geste apaisant.
-Laisse Pégase, ce n'est rien. Ils ne sont vraisemblablement pas de notre monde. Si des êtres comme eux existaient, je le saurais sûrement.
-Que faisons-nous d'eux ?
-Ils ne sont pas dangereux. Mais nous ne pouvons pas les laisser libre dans le Sanctuaire.
Les nations se demandaient ce qui allait se passer maintenant. Ils étaient dans un autre monde, qui semblait à la fois proche et différent du leur. Ces personnes avaient l'air de sincèrement croire en la déesse Athéna. Étais-ce vrai, où étaient-ils simplement tombés chez des illuminés.
-Une maison vous sera attribuée. Vous devrez rester à l'intérieur du Sanctuaire.
- Vééé ! Mais qu'est-ce que vous faites ? On est fait prisonnier Ludwig? S'inquiéta l'Italien.
-Shigi ! Pourquoi elle nous garderait prisonniers, on n'a rien fait nous ! C'est ces hurluberlus qui fichent le bazar ! Il désigna Alfred, Arthur et Francis d'un doigt accusateur
-Non, vous n'êtes pas prisonnier Féliciano, répondit Saori de sa voix apaisante, nous préférons juste prendre des précautions quand nous avons des invités. Ne vous en faites pas, les chevaliers auront ordre de vous héberger de vous protéger en cas de danger.
- Danger, vééé ! Cette dernière phrase ne rassurait pas du tout le petit italien craintif, pas plus que Lovino d'ailleurs.
On fit appeler le reste des Chevaliers d'Ors. Douze chevaliers en armures d'Ors se placèrent bientôt devant le trône d'Athéna, et fixaient les nations présentent. Les plus craintifs du groupe se placèrent derrière les autres. Les 4 Bronzes divins allèrent rejoindre leurs compagnons d'or.
-Chevaliers, Athéna se leva de son trône, pour ceux qui ne le savaient pas encore. Ces personnes viennent d'un autre monde. Elles resteront parmi nous jusqu'à ce que nous trouvions un moyen de les renvoyer dans leur univers. J'aimerais que certains d'entre vous les prennent en charge durant leur séjour.
-Pourquoi devrions-nous servir de nounous pour ces personnes venant d'un autre monde. Ils ont tous adulte, ils peuvent se débrouiller !
Celui qui venait de parler était le quatrième homme en partant de la gauche. Un Italien à la peau bronzé et aux cheveux bleus dressés sur le crâne. Il n'avait vraiment pas l'air sympathique, et fit frémir la plupart des nations. Ivan émit un petit rire, et son visage s'illumina d'un sourire inquiétant. .
-C'est notre devoir d'accueillir les personnes perdues. Surtout lorsqu'elles sont originaires d'un autre monde. Répondit Saori.
-Mouerf… Masque croisa les bras, et prit un air digne.
-Mu, tu prendras Féliciano et Lovino avec toi.
Mu s'avança jusqu'aux deux nations brunes, serrées l'une contre l'autre. Il leur fit signe de le suivre. Les deux Italies le suivirent, étouffant un couinement de peur lorsqu'ils croisèrent le regard du Cancer. Celui-ci esquissa un sourire sadique en voyant l'effet qu'il faisait. Sourire qui s'effaça lorsqu'il vit une nation devant lui.
-KolKolKol, tu m'as l'air intéressant. Je viens avec toi, da ?
-T'es qui toi !
-Je suis Ivan Braginski. Tu m'as l'air d'une personne très intéressante. Je suis sûr qu'on s'entendra bien. Une sorte d'aura sembla surgir de derrière le Russe.
-…
Athéna accepta, ne se doutant pas qu'elle venait de mettre la terreur du Sanctuaire avec la terreur des nations. Elle attribua ensuite Ludwig à Saga, Niels a Aiolia, Gilbert à Milo. Dokho se proposa pour prendre Arthur. La Balance le fixait depuis tout à l'heure de ses yeux verts, et ce qu'il sentait en lui, le poussait à le prendre avec lui. Arthur ne sût pas comment réagir, et se contenta de le suivre.
-Fait attention à toi mon lapin !
-SHUT-UP FROG !
Oui, l'Anglais avait l'air toujours aussi aimable. Ensuite venait Shura et Antonio. Quand Saori demanda à Suède et Finlande d'aller avec Camus, le Suédois et le Verseau se fixèrent du regard. Semblant faire un concours de celui qui jetterait le regard le plus glacial à l'autre. Lorsque le trio se fut éloigné, la déesse désigna Aphrodite pour prendre France en charge. Ce dernier le suivit après avoir adressé un petit signe à Canada. Ne restèrent plus qu'Amérique, Canada et Japon en face de Shaka, Aioros, Aldébaran, Kanon et du reste des Bronzes
-Lé héros veut aller avec lui là-bas ! Déclara Alfred en désignant Seiya.
-Alfred, ça ne se fait pas de réclamer comme ça. Souffla Matthew.
-J'aime bien ce gars. Fit Seiya en regardant l'Américain.
-Très bien Seiya, il sera sous ta protection.
-THE héros n'a besoin de personne.
-Alfred… Canada et Japon soupirèrent.
Shiryu se dirigea vers Kiku, et les deux commencèrent à échanger des civilités et à discuter ensemble en plaçant des paroles de politesses quand il le fallait. Ce qui fit bailler Amérique et Seiya dans un bel ensemble. Canada resta donc seul, dans son coin, les joues rougissantes. Zut, il n'aimait pas être là. Il se sentait bête d'être le dernier qui restait. Une voix chaleureuse lui parvint alors, et des mèches vertes apparurent dans son champ de vision.
-Si tu veux, tu peux venir avec moi. Ça ne me dérange pas du tout. Proposa le chevalier appeler Shun.
-Euh… Je ne veux pas déranger.
-Mais tu ne le dérange pas du tout Mattie, brailla Alfred de là où il était, va avec lui si tu veux. Puis, il reprit sa discussion qui semblait très animée avec le chevalier Pégase.
Canada accepta donc de suivre le chevalier à l'armure rose. La jeune fille qui se faisait appeler Athéna leur dit qu'ils pouvaient disposer, elle n'avait plus besoin d'eux. Amérique prit son frère par le bras et Japon par l'autre bras et commença à le tirer vers la sortie. Suivit de près par les trois Bronzes. Sur le seuil du palais, ils virent Arthur et Francis en train de chamailler. Sous les yeux effarés des Chevaliers et désabusés ou amusés des nations. Alfred éclata de rire et lança à Angleterre qu'il serait tant qu'il cesse de faire des représentations en public.
-Que ce passe-t-il exactement ? Demanda Shiryu.
-Oh, trois fois rien. Ces deux-là aiment se disputer pour un oui ou pour un non. C'est leur manière de dire qu'ils s'apprécient. Répondit l'Américain, en ignorant le regard meurtrier qu'Angleterre lui lançait entre deux coups à France.
Enfin, les deux nations rivales cessèrent de se battre, exténuées. Arthur prit un air digne et commença à descendre les escaliers, sans prendre le temps d'attendre le Saint qui lui servait d'hôte, qui dû le rattraper. Espagne et Prusse aidèrent Francis à se relever, le premier en maugréant contre Iggy et le second en ricanant. Le combat lui avait plût on dirait.
-Franchement Francis, tu devrais arrêter de t'occuper de lui. Quand il n'a pas besoin de toi ça se termine en pugilat à chaque fois. Reprocha le brun à son frère à voix basse.
-Arrête Tonio, tu es mauvaise langue quand même. Je sais que tu n'apprécies pas Arthur. Protesta France.
-C'est toi qui es têtu comme une mule.
Les deux frères se regardèrent dans le blanc des yeux, avant de se mettre à rire. Prusse se joignit au fou rire de ses deux amis, habitué qu'il était aux disputes des deux latins et à leurs réconciliations éclaires. C'est vrai que ça pouvait être déconcertant la première fois. Puis, il fut décidé de faire visiter le Sanctuaire aux nouveaux venus. En descendant, on essaya de retrouver Dokho et celui dont il était chargé de s'occuper. France ne parût pas regretter l'absence de son lapin.
-Il peut bien faire ce qu'il veut. S'il lui arrive quelque chose, il ne pourra crier sur personne à part lui-même.
Comme les deux disparus étaient introuvables, les recherches furent abandonnées. Le groupe, composé uniquement des nations et de ceux qui devaient s'en occuper, se dirigea vers les arènes. L'endroit dans lequel avaient atterrit les pays. On leur expliqua que c'était là qu'ils entrainaient les apprentis qui devraient apprendre à servir la déesse Athéna de toutes leurs forces.
-Il n'y a pas d'endroits pareils dans notre monde. Fit remarquer Japon.
-Peu de gens sont au courant de notre existence. Répondit Shiryu.
-Comment ces hommes peuvent-ils croire en une déesse. Tout le monde sait qu'Athéna n'a existé que dans l'imagination des Grecs. Affirma l'Américain de but en blanc.
Il se rendit compte qu'il avait encore fait une belle bourde, quand les regards de tous les Saints se posèrent sur lui.
-Qu'est-ce que j'ai dit ?
-N'y a-t-il pas chez vous de légendes racontant qu'Athéna est la déesse protectrice de la Terre. Et que elle et ses chevaliers se battent depuis les temps mythologiques contre les dieux voulant asservir la Terre ? Demanda Aiolia.
-Ben non. Et de toute façon, ça ne serait qu'une légende. Aïeuh ! Japon venait de lui coller une baffe sur la tête pour le faire taire.
La cohabitation s'annonçait bien. Si les nations se mettaient à réfutait l'existence de la déesse en laquelle croyait les habitants du Sanctuaire, ça allait être gaie. Japon et Canada s'y mirent à deux pour essayer d'excuser les paroles malencontreuses de l'Américain.
Re :) Alors ce chapitre vous a plût? Vous le trouvez comment, plutôt cool ? Ça va continuer pendant quelques chapitres. Comme ça j'aurais le temps de poser les bases xd Et nos Nations auront le temps de s'habituer au Sanctuaire. Je ne mettrais pas de note dans ce chapitre-ci pour savoir si ce que je raconte dans les chapitres vous suffit. Et comme d'habitude, je ne sais pas pour combien de chapitres on est parti -'
A la prochaine ^^
