Ohayo gozaimasu / Konnichiwa mina / Ciao a tutti / Hola! / Hello people / Bonjour à tous!
Ceci est la première fic que j'ose publier et je peux vous dire que je me suis donné une bonne murge avant de me lancer! Je suis totalement flippé du résultat! J'avais d'autre projets de fic en tete mais je n'ai jamais osée les écrire (ouh la trouillarde!) en général, j'aime bien écrire mais j'en fait souvent des tonnes et je n'arrive pas à trouver le courage pour finir. D'ailleurs je sais pas pourquoi mais quand je me mets à parler c'est encore pire voyez là je suis partis pour une bonne heure!
Blabla de l'auteure qui va prendre une plombe vous etes prévenus: Donc pour en revenir à ma fic, je ne sais pas pourquoi personne n'a jamais eu l'idée d'écrire ce genre de truc mais bon vu que j'ai rien trouvé de comparable sur le fandom fr et une seule qui y ressemble (vraiment vaguement) sur le fandom anglais d'Hetalia on pourra pas m'accuser de plagiat nyaah!
Je vous prévient l'histoire que j'écris va etre hyper longue avec beaucoup de longueurs (!), elle comportera 2 parties, certains chaps seront plus grands que d'autres et pourront etre subdivisés en sous-chaps. Bref anarchie total... Pour le genre eh bien je tourne toujours autour de l'angost/romanc sans que ça soit à l'eau de rose (berk pouah) mais yaura quand meme un peu d'action vous faites pas de bile avec ça. J'essayerai de rendre l'atmosphère la plus réaliste possible (vous aurez qu'à me dire quand vous trouverez un truc chelou) tout en gardant une part de mystère.
J'occulterai certains éléments volontairement pour en accentuer d'autres. Ma fic sera très sérieuse mais aussi symbolique (j'indiquerai les éléments historiques et symboliques en fin de chap) puisque après tout on parle de nos chers pays adorés alors j'ai pensé que faire une fic sans référence historique n'avait aucun sens. Pour ce qui des traducs je vous laisserai chercher avec notre ami commun qu'est google traduc (bouh l'auteure est méchante) baah ouais j'vais pas tout vous dire non plus!
Disclaimer: j'ai pris des courts de japonais et fait le voyage jusqu'a Tokyo pour rencontrer Hiramuya et lui demander les droits d'Hetalia je lui est proposé 1 million d'euro (que j'avais la semaine dernière hum emprunté à l'hotel des impots fufufu je déteste ces gens) mais il a pas voulu il a dit que c'était de l'argent sal etcetc blabla je vous passe les détails...
Rating (oui je sais je fais tout à l'envers mais faudra s'y habituer)... attention roulement de tambour...et se sera... T (ho...) quoi c'est quoi ces tetes de déçus de la vie là! J'écris pas du porno moi nyaaah! Bref ça pourra peut-etre changer en cours de route (OUAIS!) franchement vous me dégoutez! -rire pcke elle sait de quoi elle parle- hum bref.
On va arreter le massacre là ok? Hope you kiff ma fic grave de la mort qui tue!
Chapitre 1
Tino Vainamoinen soupira et regarda sa montre.
6h23 du matin. Pas étonnant avec tout le retard qu'avait prit le train. Enfin, il y était presque. Son nouvel appartement, du moins pour les 6 mois à venir. Il n'avait plus qu'à traverser la rue est il y serait.
Tino bailla, il tombait presque littéralement de fatigue.
Croire que je me plairais ici… pff mais quelle connerie ! Il ne s'était meme pas installé qu'il détestait déjà l'endroit. Ostermalm, au beau milieu de Stockholm. Son nouveau « milieu de vie » comme disait sa mère en rigolant. Tino était censé y continuer ses études en psychologie comportementative en Suède, le voyage depuis Helsinki et l'appartement ayant été spécialement loués par sa mère pour ses 20 ans.
Oh merci maman, vraiment quel cadeau formidable ! avait-il fait semblant de s'extasier d'un air ironique mais sa mère n'avait rien remarqué…
Tino appuya un doigt rageur sur le bouton rouge permettant de traverser la rue sans se faire écrabouiller. Elle qui était originaire de là-bas n'avait jamais compris son aversion pour ce fichu pays. Et lui son désir de vouloir y retourner, parlant sans arret de s'y installer… Elle était native de Suède et y avait grandit mais Tino, bien que de mère suédoise, était né en Finlande, ce qui lui donnait accès à la nationalité finlandaise dont il se voyait comme un représentant de pure souche, comme son père d'ailleurs.
Tino fit un pas en avant, et perdu dans ses pensées, il ne vit pas la voiture qui débouchait au coin de la rue.
« Uppmärksamhet!» cria quelqu'un derrière lui et le jeune finlandais sentit une main empoigner fermement son bras et le tirer sur le trottoir. Le conducteur de la voiture klaxonna et repartit en trombe.
Pff ! Voila encore un bon exemple de la belle mentalité suédoise ! songeaTino qui se dégagea brusquement, et sans lancer un regard à l'autre, s'engagea à nouveau sur la chaussée, remuant de sombres pensées.
Et voila ! Je suis à peine arriver que je manque de me faire shooter, c'est à croire qu'elle a voulu vraiment me tuer en m'envoyant ici ! Ou plutôt qu'elle a voulu m'éloigner d'elle ! Tino poussa un soupir triste et remonta les bretelles de son sac à dos. C'est vrai qu'après ce qui s'était passé, pas étonnant que sa mère ne veuille prendre ses distances avec lui, meme si ce n'était pas méchamment. C'était juste le temps de « faire le point », bien qu'elle ne l'ait jamais dit, Tino savait qu'il avait touché juste. Il y avait beaucoup pensé dans le train et, au fond, s'il n'avait, à son départ rien dit à sa mère, il savait que c'est parce qu'il l'aimait et ne voulait pas lui faire de la peine. C'est pour cela qu'il avait accepté de partir sans rechigner.
Voila, il avait traversé la rue ! Quel exploit ! Son nouveau logement se trouvait juste devant lui, un immeuble hyper moderne dans le quartier i-tech de Stockholm. Sa mère avait du débourser assez d'argent pour lui trouver un appartement décent qui ne soit pas insalubre et Tino lui en était très reconnaissant. Il n'empeche, malgré sa nature optimiste et jovial, le jeune finlandais se sentait à présent complètement déprimé. Ce n'est pas ici, dans un quartier qui avait la réputation d'etre coté, et sérieux, et coincé, qu'il allait se faire des amis. Surtout des amis suédois. Pas qu'il soit particulièrement raciste ou xénophobe ou quoi que soit, mais la barrière de la langue constituait pour lui un obstacle majeur dans la construction du minimum de relation social dont il avait besoin pour ne pas tomber en dépression. Et de toute façon, le simple fait de vivre, meme pour un court laps de temps, dans un pays qui avait asservit le sien, obligeant tout les finlandais et finlandaises à apprendre cette stupide langue comme si c'était la leur, ce simple fait lui était tout simplement insupportable.
Tino retira les mains de ses poches qu'il avait jusque là gardées soigneusement enfoncées pour éviter la morsure du froid et ouvrit la lourde porte d'entrée qui débouchait sur le hall de l'immeuble. Sa mère lui avait bien dit de marquer dès son arrivée son nom sur la boite aux lettres et de se rendre dès le lendemain à l'hotel des impots pour faire sa déclaration de paiement, histoire de ne pas etre considéré comme un « squatteur ». Pour ne pas la contrarier- il lui avait confirmé par message son arrivée à Stockholm et avait promis de suivre toutes ses recommandations- il laissa tomber son sac et se mis à farfouiller à la recherche d'un feutre indélébible.
Au bout d'un moment, ses recherches demeurant vaines et infructueuses, complétement excédé, le jeune finlandais s'arreta. Il commençait à se sentir furieux envers sa mère et envers cette fichue ville ou il faisait tout le temps froid et envers le chauffard qui avait manqué l'écrabouillé et aussi envers l'autre type qui lui avait presque déboité le bras.
Marre, j'en ai marre ! Je déteste ce pays et il me le rend bien ! Il donna un coup de pied dans son sac à dos. Il était pourtant le premier a etre surpris par son attitude, ce n'était pas dans sa nature de s'énerver facilement, il était vraiment facile à vivre et de bonne humeur d'habitude.
Sa doit etre cette ville, j'ai l'impression qu'elle m'étouffe ! C'est pas pour rien que le syndrome de l'enfermement vient de Stockholm, c'était prédestiné! Brr, rien que d'y penser j'en ai des frissons. A non, c'est juste le courant d'air de la porte d'entrée qui vient de s'ouvrir… Pauvre de moi, je dois vraiment etre crevé pour penser à des trucs pareils... Tino avait froid maintenant mais il se sentait mieux.
A nouveau perdu dans ses pensées, il n'avait pas remarqué la personne qui venait d'entrer et qui se tenait dans un coin du hall. Il ramassa son sac, le remit sur ses épaules et renfonça ses mains dans ses poches, se mettant en quete de sa clé, son unique salut pour rentrer « chez lui ». Bien qu'il soit certain qu'il ne se sentirait jamais chez lui au 11 Gata 57 Ostermalm.
Se faisant il ne remarqua pas l'homme resté dans son coin, et qui l'avait observé tout ce temps, sortir un mouchoir de la poche de son manteau et s'approcher lentement.
Ah enfin ! Je les ais ! C'est pas trop tot ! fit le jeune finlandais en brandissant fièrement le trousseau qui contenait aussi la clé de chez sa mère, qu'il gardait précieusement. Il sentit soudain un souffle d'air derrière lui et voulut se retourner. Une main s'abattit sur sa bouche lui pressant un mouchoir sur les lèvres tandis que l'autre saisissait ses poignets, lui tordant violemment les bras dans le dos.
Tino chercha à crier mais déjà ses forces l'abandonnaient et il se sentit tomber lentement contre son agresseur qui décidemment avait une force incroyable. Son corps était oppressé, broyé comme dans un étau. Ses sens le trahirent alors qu'un épais brouillard obscurcissait sa vue et son cerveau.
Les dernières sensations distinctes dont il eut conscience avant de sombrer dans le néant furent le glissement des clés de ces mains, son destin lui échappant, leur bruit lorsqu'elles heurtèrent le sol avec un fracas retentissant, bien plus puissant qu'il n'aurait du l'etre, lui signifiant que son dernier espoir lui était ravi.
Mais ce dont le finlandais devait se souvenir à jamais, et qui lui parvint sur le moment avec une acuité accrue et atroce, fut le regard d'un bleu terrifiant, glacial, d'une telle possessivité qu'il l'emprisonna, le rendit captif en un seul instant, dissipant pratiquement les ténèbres dans lesquels il étouffait, de part son intensité. Cela ne dura qu'un instant, cependant, puis tout devint noir.
Et voili voilou c'est fini pour aujourd'hui la suite dans 2 mois fufufu (nan je rigole). J'ai tout de meme un rythme d'upload trèèèèèèès leeeeennnnt mais je compte pas abandonner de sitot et je vais profiter des vacances pour écrire un max.
Sinon en ce qui concerne les réfs histo l'appart ou doit aller vivre Tino (le 11 Gata 57) signifie le 11 de la rue 57 et fait réf à l'année 1157 ou le Finlande fut occupée par le roi suédois euh (vérif wiki) Eric IX il me semble bien sa symbolise ici que meme si cet appart à l'air d'un refuge (au regard de ce qu'il va lui arriver le poovre) lui ne le considère pas du tout comme ça et c'est une manière de dire qu'il est déjà piégé puisque meme ce qui aurait du etre son nouveau foyer n'est pas un lieu accueillant au regard de ce que dit l'Histoire (fufufu il est piégé en Suède fufufu).
Aussi sachez que je ne préciserai probablement pas le nom de sa mère durant la fic et ce volontairement. Je veux que l'ancienne vie de Fin reste assez floue puisque cela n'aura pas grande importance à partir du moment ou il a déménagé.
Encore une fois, si ya un truc qui vous semble zarbi, que vous pigez pas, je suis ouverte à toutes remarques et à toute questions!
Sur ce bon vent, chers compatriotes de tous horizons!
