Alors voyons voire, cet OS / PWP ; est le résultat d'une overdose de chocolat, de G-boys (d'où les persos) et d'Indochine (d'ou le titre), ainsi que d'une période de déprime et d'une énorme envie d'affection et de câlins … Pauvre G-boys qui en ont fait les frais ….. (Duo : moi je vais pas me plaindre ; auteur : chut !). De plus il s'agit de mon premier lemon (très dilué je crois bien) et de ma première fic gundam.
Couple : secret :p
Maintenant la partie la moins drôle
Disclaimer : ils ne sont pas à moi (snif) mais à bandai sunrise et tout un tas de monde ; et les chansons ne sont pas à moi non plus mais à indochine (faut bien justifier le titre …)
Rating : M pour être sûre même si le lemon est dilué
Attention ceci n'est pas pour les pauvres yeux des homophobes ! Vous êtes prévenue alors venez pas vouplaindre. Maintenant pour tout ceux qui sont restés jusqu'ici bonne lecture
Effet Indochine …
Une boîte de nuit sur la plage par un beau soir d'été ; la fête bat son plein sous les étoiles qui brillent de mille feu comme pour célébré à leur façon le fait que depuis cinq ans la guerre est finie et plus un seul conflit n'a eu lieu. Dans la boîte de nuit certains se sont réunis pour se revoir et célébrer cet événement.
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Il danse, attirant prétendants et prétendantes autour de lui. Son corps se déhanche sur le rythme de la musique, frôlant ceux des autres affolant les plus prudes et excitants ceux avec des idées bien précises derrière la tête. Une bonne soirée pour lui, son éternel sourire fixé sur son visage, les yeux mi-clos comme pour mieux suivre le rythme et laisser la musique prendre possession de son corps. "Comme" relèverez vous ; oui comme ; car en fait ses paupières sont baissés pour masquer l'étincelle de tristesse et d'envie qui assombrit ses prunelles d'un bleu –violet foncé, et qui vire couleur de prune trop mûre à chaque fois qu'il fait face à un certain couple au travers des mèches couleurs de miel qui se sont échappés de la longue tresse qui lui bas les reins (tresse qui contribue à son succès en lui donnant un aspect androgyne). Cette vue lui fait mal et pourtant il ne peut s'empêcher de détailler ce qui se passe sous ses yeux. Ce qu'il voit ? Un corps divin revêtue d'un éternel débardeur vert bouteille et d'un spandex qui fait face à une horreur rose (de son point de vue à lui :p) et pour son plus grand malheur danse avec ; enchaînant les danse sensuelles les unes après les autres, on aurait difficilement pu faire passé un cheveux entre ces deux là …
Fatigué d'essayer de les oublier ou simplement de les ignorer grâce à la danse, Duo baisse les bras (dans tout les sens du terme) et se dirige vers la table où il avait laissé son verre sous la garde de Quatre et Trowa. Garde terriblment efficace puisque ces deux là ont disparus … Avec un sursaut d'humour il se demanda brièvement lequel des deux marcherai en canard le lendemain (faut pas croire mais Quatre sous ses airs d'ange était aussi dominateur que Trowa, ce dernier n'avait pas pu s'asseoir pendant trois jours une fois). Sombrement Duo s'assit et lança un regard façon Shinigami au premier qui voulut le rejoindre, très efficace puisque personne d'autre n'osa tenter sa chance ensuite. Son regard se pose sur son verre mais il ne le prends pas : il a soif, une soif dévorante mais sa soif ne pourrais être apaisée par aucun liquide existant en ce bas monde.
Passablement déprimé il laisse son regard erré sur le dancefloor volontairement à l'opposé du couple qui le blesse sans le savoir. Un autre couple accroche son regard : Wufei et Sally, deux natures explosives et déterminés, tellement semblables que l'on pourrait s'attendre à ce que ça ne marche pas. Mais en fait si : Wufei ne voulait pas d'une « Onna » faible et passive et Sally malgré tout avait besoin de protection. Leur danse est un mélange de force et de tendresse surprenant et terriblement évocateur de moments sensuels. Duo poursuit son observation des danseurs s'efforçant de ne pas revenir trop souvent vers un certain japonais aux yeux bleu cobalt. Des yeux dans lesquels il voudrait se noyer. Mais c'est comme s'il était aimanté ; et chaque aperçu du couple et de leurs danses torrides enfonce un peu plus un poignard dans son âme.
Savoir et voir, tout un monde de différence comme pour être au courant et être confronté ; pas un monde en fait juste une chose tenu et intangible : l'espoir. Espoir qui se meure dans le cœur de Duo à chaque regard qu'il porte sur la danse enflammée de Heero et Relena. Soudain la musique change le rythme ralentit, c'est le moment des slows, et s'en est trop pour Duo lorsque son cauchemar rose jette ses bras autour du cou de son rêve asiatique. Beaucoup trop et il décide d'aller s'isoler un moment dans les toilettes avant de commettre un meurtre. Malheureusement les toilettes sont fermés et la cause n'est pas bien difficile à deviner : « Trowa, prends moi, maintenant …. Ah ….. J'en peux plus » c'est assez clair pour savoir qui est à l'intérieur et quelle type d'occupation nécessite une réquisition des toilettes. En tout cas maintenant il est clair que le canard sera Quatre. Duo s'éloigne des toilettes un léger sourire aux lèvres mais le retour sur la piste de danse est comme une claque de la réalité. Le sourire vacille et s'efface. Ne supportant vraiment pas le spectacle il décide de partir s'isoler sur la plage.
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Duo s'éloigne inconscient des deux lacs qui le fixe, deux orbes bleus qui malgré les apparences ne l'ont pas lâché de la soirée et ont tout enregistré. Le propriétaire de ces yeux souri : maintenant il est sûr à 100 que la mission qu'il s'est fixé de lui-même sera réussi sur toute la ligne.
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Duo est assis au bord de l'eau sur la plage, et regarde le ciel étoilé au dessus de lui. Les étoiles sont tellement plus belles depuis la terre que depuis les colonies. C'est encore plus vrai pour la lune qui se lève doucement. Il se perd dans la contemplation de son doux visage. Et soudain un petit air de musique vient lui trotter dans la tête ; un air doux qui correspond à son état d'esprit et que dire des paroles qui collent avec sa situation. Les yeux rivés sur la lune et perdue dans son monde il laisse les paroles revenir à son esprit. Inconscient de la présence derrière lui, il se met à chantonner doucement pour lui-même cette chanson d'avant les colonies, son cerveau lui glissant des commentaires acerbes de temps en temps :
J'ai demandé à la lune
Et le soleil ne le sait pas
Je n'osais même pas le reconnaître moi-même et ta réaction me faisait trop peur …
Je lui ai montré mes brûlures
Brûlures du désir
Et la lune s'est moquée de moi
Ah ça, elle ne se gêne pas
Et comme le ciel n'avait pas fière allure
Et que je ne guérissais pas
Je ne guérirai jamais de mon envie de toi
Je me suis dit quelle infortune
Et la lune s'est moquée de moi
Suis-je si pitoyable …
J'ai demandé à la lune
Si tu voulais encore de moi
As-tu seulement voulu de moi un jour, je ne l'ai jamais su
Elle m'a dit :
« J'ai pas l'habitude de m'occuper des cas comme ça »
C'est pour ça que j'ai merdu mon coup
Et toi et moi
On était tellement sûr
Et on se disait quelques fois
Que c'était juste une aventure
Et que ça ne durerait pas
On attend quoi de toute façon en temps de guerre …
Je n'ai pas grand-chose à te dire
Je parle beaucoup mais pour pas grand-chose à chaque fois …
Et pas grand-chose pour te faire rire
Car j'imagine toujours le pire
Et le meilleur me fait souffrir
Le meilleur fini toujours par disparaître, la mort m'a toujours tout pris
J'ai demandé à la lune
Si tu voulais encore de moi
Plus la peine ce n'est pas moi que tu veux mais la Peacecraft.
Elle m'a dit :
« J'ai pas l'habitude de m'occuper des cas comme ça »
Et elle n'a rien fait
Et toi et moi
On était tellement sûr
Et on se disait quelques fois
Que c'était juste une aventure
Et que ça ne durerait pas
Ca n'a même pas commencé…
Désemparé Duo répète une dernière fois le refrain en laissant couler ses larmes, « Boys don't cry » mais il y a des jours où il n'y a pas d'autres solutions. Alors doucement Duo pleure en demandant à la lune pourquoi il n'as pas eu celui qu'il aimait.
"-C'est une belle chanson, mais ce n'est pas la lune qui te donnera ta réponse
-Heero ? Tu ne danses pas avec Relena ?
-Hn
- … toujours le même …
-Relena n'est qu'une bonne amie tu sais …
-…
-Et je préfére quand tu m'appelles Hee-chan
-…"
Assis côte à côte en silence dans le bruit des vagues et les échos lointains de musique, ils regardent la lune ; Duo perplexe quand aux sens des phrases de Heero et ce dernier attendant manifestement quelque chose. Puis la musique leur parvient plus distinctement : le DJ a manifestement poussé le volume.
"Voici ta réponse Duo écoute bien"
Et les paroles de s'élever tandis que Heero se penche sur un Duo médusé pour rajouter quelques paroles soufflée sensuellement dans le creux de son oreille.
Moi je n'aime pas la saint valentin
Et je hais le monde entier
Normal pour le perfect soldier
Je détesterais tous tes amis
La vie de famille aussi
Parce que je ne veux pas TE partager
On m'a dit que je suis nul à l'oral
Que je ne peux pas mieux faire
Comme un vie si triste et si fade à pleurer
C'est pour ça qu'il m'a fallu une chanson pour tout te dire
Moi je ne pense qu'à toi
Tu m'as envoûté
Alors viens sur moi
Sous mes doigts
Sur ma peau
Ca se passe de commentaire mais c'est explicite
Dans ma vie
Il y a une place rien que pour toi
Alors lève-toi
On est libre
Personne pour nous dire quoi faire
De survivre
A nos vies
On a survécu à la guerre survivons au reste
J'ai des résultats insuffisants
Surtout en allemand
Une autre façon de dire que tu n'auras jamais de grande phrase
J'ai l'impression de perdre mon temps
Comme nous l'avions trouvé
J'ai trouvé que la vie sans toi est une perte de temps
Le prince charmant n'existe pas
Comme nous l'avions juré
Tu es mon prince charmant, je le jure
Un jour ou l'autre on partira
Mais le plus tard sera le mieux
Moi je ne pense qu'à toi
Et je ne veux que toi alors je passe aux gestes
Alors viens sur moi
Heero de tirer Duo vers lui
Sous mes doigts
De glisser ses mains sous la chemise de celui-ci et de la lui arracher
Sur ma peau
De retirer son débardeur pour un contact
Dans ma vie
De l'embrasser passionnément pour mêler leurs souffles de vie
Alors lève-toi
Tous deux se redresse et se contemplent
On est libre
Se libère de leurs derniers vêtements
On va vivre
Tout doucement
Pour nos vies
Ils s'embrassent
Ou veux tu que je te touche
Les mains de Heero sur le torse de Duo
Que j'embrasse
Sa bouche qui parcoure son corps pour s'arrêter sur ses mamelons et les taquiner un moment
Où veux tu que je te baise
Nouveau baiser, remplis d'un désir réfréné depuis des années
Que je fasse sur la bouche
Des langues qui se mêlent
Où veux tu que sur ta bouche
Deux doigts qui se font sucer doucement, tendrement, et surtout avidement
Que j'embrasse au-delà
Heero qui descends et décide de s'occuper du désir évident de Duo tout en titillant son anus
Tu préfères quoi …
Une permission demandé et accordé
Je ne pense qu'à toi
Unis l'un à l'autre
Alors viens sur moi
Duo chevauche Heero bougeant doucement
Sous mes doigts
Des mains qui explorent
Sur ma peau
Deux peaux en surchauffent qui cherchent un contact maximum
Dans ma vie
Deux vies qui enfin ne feront qu'une à l'avenir
Alors lève-toi
Extase finale et partager
On est libre
On va vivre
Pour nos vies
Deux corps qui se serrent et envisagent pour une fois un avenir radieux
The End !
Ben voilà c'est fini (et je suis pas fière mais c'est écrit et publié maintenant), pour note les chansons sont "J'ai demandé à la lune" (album Paradize) et "Gang Bang" (album Alice&June) d'Indochine bien entendu.
Dites une chtoute pitiote review, please.
Duo avec les chibi eyes tout mimi : vii pour qu'elle recommence (pas ?)
A pluche
