Remarque: Je ne possède pas Dragon Ball Z , Akira Toriyama si. Je ne possède pas cette histoire, je l'adapte juste en français. Pour voir l'original - s/882780/1/bPossession_b
Possession
Chapitre 1: La peur
« Nom de Dieu mais à quoi pensais-tu ! »
« Pour te dire la vérité Yamcha, je n'en suis pas sûr ». Bulma plaqua le téléphone contre son oreille, attrapant une tasse de café, « crois-moi, je le regrette beaucoup plus que toi »
« Je ne peux pas le croire ! Peux-tu comprendre qu'il a assassiné des millions de personnes ? Combien de fois a-t-il torturé ses propres hommes pour son amusement ? Il est fou ! Bulma, tu dois le faire partir de chez toi ! »
« Yamcha ! Je ne peux pas lui demander de partir après l'avoir inviter à rester - il m'explorait probablement ! »
Yamcha soupira à l'autre bout de la ligne. « Fais juste attention quand il est dans les parages, ok ? »
Bulma laissa un sourire fatigué étiré ses lèvres à l'inquiétude de son petit ami. « Ne t'inquiète pas, je ferais attention »
« Mais je m'inquiète Bulma. Je sais comment est Végéta. Il est fière et pense toujours à lui-même comme à un prince. » Il hésita avant de poursuivre, « . . . Et je te connais. »
« Quoi ? »
« Je te vois très bien ne pas contrôler ta langue et lui dire ce qu'il ne faut pas et . . . Bulma, tu dois redoubler de prudence près de lui, d'accord ? »
Bulma roula des yeux. « Très bien. Mais ne t'inquiète pas, une fois que je lui aurai construit sa nouvelle salle de gravité, je ne le verrai que rarement. La seule raison pour laquelle il me parle c'est pour me dire de me dépêcher de l'a lui construire. Ensuite il va certainement manger et dormir. »
« Ouais, je sais . . . Mais quand même, sois prudente. »
« Je le serais Yamcha. »
Ils raccrochèrent. Bulma se retourna et fit face à ses documents. Elle se laissa tomber dans son fauteuil, épuisée de réfléchir à tous les travaux que prendrait cette nouvelle machine de gravité. « J'ai besoin de beaucoup plus de café » marmonna-t-elle après quelques ajustement de dernières minutes sur les plans qu'elle avait élaborés.
Elle passa toute la nuit sur ces plans, de peur que si elle allait se couché, elle perdrait toutes ses idées et devrait recommencer. Après qu'elle eu fini, elle alla se coucher pour ne se réveiller que quelques heures plus tard car un certain Prince Saïyen exigeait qu'elle se remette au travail. Elle corrigea quelques erreurs mineures qu'elle avait faite la veille du à son état d'épuisement. Maintenant venait la partie difficile - transformé ces dessins sur document en un objet réel. Elle soupira et parti à nouveau à la cuisine, en quête de café.
Elle laissa échapper un bâillement tandis qu'elle étirait ses bras au dessus de sa tête en entrant de la cuisine. Elle passa la porte quand quelque chose la saisit par les cheveux et l'instant d'après elle se retrouvait projetée contre le mur, tenant ses boucles bleues.
« Que pense-tu faire ? » dit une voix sévère.
« Je . . . Je . . . » Surprise, Bulma tenta de reprendre son souffle et articula « Je suis juste venue prendre une tasse de café. »
Elle fut ensuite jetée à terre et la douleur irradia ses genoux quand ils s'écrasèrent avec force contre le sol. Elle gémis et le regretta immédiatement, un autre douleur traversant son crane d'avoir eu les cheveux si durement tiré.
Végéta s'approcha d'elle et la regarda de haut. Bulma fit une grimace et plaça son bras au dessus de son visage, comme si elle s'attendait à être frappé.
Végéta sourit d'un air narquois. « Dépêche toi de prendre ce café » dit-il dans un grondement sourd qui envoya un frisson traversé le corps de la jeune femme.
Gardant ses yeux baissés, elle acquiesça. Végéta souris encore une fois à la fille agenouillée devant lui. Elle l'entendit grogner doucement tandis qu'il sortait de la maison.
Une fois qu'il fut parti, Bulma laissa sortir un souffle et se remis sur ses pieds, essayant d'oublier ce qui venait de ce passé. Elle fixa la porte qu'il venait juste de franchir en murmurant « stupide Prince idiot. » Puis débrancha la cafetière, saisit une de café et des filtres et retourna à son laboratoire où elle prépara sa boisson. De cette façon elle n'aurait pas à quitter son laboratoire. Végéta n'y allait jamais . . . Du moins pas encore.
Bulma, assise devant son ordinateur programmait les puces de la machine de gravité. Environ une heure après qu'elle ai commencer, un écran s'alluma au dessus d'elle. L'image de son père apparut.
« Bulma, tu es là ? » demanda son père.
« Oui papa, je termine juste la programmation. »
« Bien, j'ai construit la structure de base, il suffit d'ajouter le câblage et les puces. »
Bulma souri, « Merci, papa. J'apprécie vraiment. Je suis tellement épuisé et Monsieur Je-suis-un-royal-emmerdeur-de-première-et-tu-doit-faire-tout-ce-que-je-te-dis-car-je-suis-le-prince-d'une-race-éteinte ne me permet pas de sortir de mon laboratoire jusqu'à ce que j'ai fini la salle de gravité. »
« Et bien, tu vas devoir en sortir pour la construire »
« Tu vois ce que je veux dire. »
« Oui. Il semble que tu l'énerve plus que le reste d'entre nous - même si je pense que ta mère l'agace encore plus. »
Bulma gloussa, « Et bien je serais aussi agacé si elle flirtait avec moi. »
« Et moi je serait vraiment inquiet si elle flirtait avec toi ! » plaisanta son père.
« Tu vois ce que je veux dire ! »
Son père rit et Bulma soupira. Pendant un moment, elle avait été libéré de l'enfer qu'elle traversait pour mettre cette machine en marche. Maintenant, il était temps de retourné au travail - le plus tôt sera le mieux.
« Je vais terminer se programme pour la salle de gravité, ensuite je viendrai aider à tout installer. »
« Très bien, chérie. Ne travaille pas trop dur. »
Bulma roula des yeux « oui, peu importe. »
Son père rit une dernière fois avant de raccrocher. Bulma bailla lentement et ferma les yeux, le manque de sommeil la rattrapait. Elle contraignit ses yeux à se rouvrir et fixa son ordinateur.
Elle craqua ses doigts avant de continuer la programmation. « Peut être serais-je mieux loti si j'avais juste laisser les cyborg me tuer. » dit-elle sarcastiquement, sa tête commençant une fois de plus à tourner devant la surcharge de travail.
