Il n'y avait pas ce soir là, dans le vaste bureau d'Albus Dumbledore, l'habituelle atmoshère grandiose et enfantine qui caractérisait l'endroit. Plumsec avait laissé son perchoir vide pour des raisons inconnues, l'hatre était remplie de cendre, et les quelqes bougies qui éclairaient l'endroit avaient une flamme discrête et sans chaleur. Dehors, le vent dans de la tempête à venir faisait des bruits inquiétants. Quand à Dumbledore, il n'était pas là.

Trempés jusqu'aux os, Sirius posa sa vielle veste de cuir tanés sur le rebord d'une chaise puis s'éffondra dessus plus qu'il ne s'assit. Une flaque glaciale ne tarda pas à se former sous lui. IL toussa et éternua violement, s'éssuya le nez d'un revers de manche et renifla. Black se sentait éreintés, usés, passés et défraichis, resque pire que ça veste. Et ce n'était pas seulement du au sesquelles dAskaban, qu'il ressentait chaque jour: Il avait du relier londre et Poudlard en balais, sous des torrents d'eau froide, et il sentait déjà une bone angine lui coloniser la gorge. Il détestai être malade. Ca lui rappelai Askaban.. La crasse glacée, les pieds congelés d'hiver, la moiteur puante d'été, les hurlements glacés la nuit, la paille puante le matin, l'humidité, les champignons qui grimpaeient le long des murs pour ensuite monter sur vous et vous sucer le cerveau, les moisissures qui colonisaient les intersices des doigts de pieds et des mains, que vous pouviez gratter jusqu'aux sangs, entre vos chaines, sans jamais êtres soulagés, la puanteur des corps, les raclements atroces que faisaient les angines, les nez coulants sans rien pour s'éssuyer, les respirations douloureuses que laissaient des bronchites insoignées, marinant dans le même corps depuis des années, l'odeur d'urine, de peur, et de dysentrie.

Et puis le reste.

Sirius se leva dans une convulsion et se précipita vers la fenêtre. Une main cramponné à la gorge, l'autre aggripé à sa baguette il ouvrit la fenêtre et reçut avec soulagement une rarfale de pluie et de grêle qui détrempa les rares parcelles de lui qui avaient commencer à sécher. Les feuilles désordonnées posées sur le bureau de Dumbledore se mirent à virevolter dans la salle, et tous ses feuillets disparate tourbillonèrent violement, certains allant attérirent dans la flaque qui c'était former sous la fenêtre. Le vent était d'une puissance inuie, surtout du haut de la plus haute tour de Poudlard, et Sirius en était ravis. Quand enfin il fut calmé, Il ferma les fenêtres, ses deux mains usées sur les poignées, qu'il ne lacha pas. Le calme revint das la salle.

-Je supposes qu'il est inutile de vous dire de faire comme chez vous Sirius? Lança une voix que Black conaissais bien.

-Je vais ranger, grommela Sirius en se retournant.

Il agita sa baguette, marmona quelques sorts, et peu à peu, la flaque d'eau se résorbat, pour aller jusqu'à disparatre, et les livres se séchèrent, puis se rangèrent.

-Voilà.

Se rendant compte que Dumbledore le fixait, Sirius lança également quelques sorts pour se sécher lui même et se rendre présentable. ll avait perdu l'habitude, avec Askaban, et sans le regard de Dumbledore, il aurait certainement oublié.

Dumbledore alla s'assoir à son bureau, avec au lèvre, ce qui semblait être un sourire triste. Sirius s'assit à son tour.

-Caramel? Offrit Dumbledore avec un sourire bienveillant.

-Oui, s'empressa d'accepter Sirius.

Il en prit trois dans sa bouche, et s'en bourra les poches du pantalon, de la veste, et tous les endroits ou il pouvait en cacher, jusqu'à ce qu'il ne reste qu'un caramel solitaire sur le plateau d'argent, "le caramel de la politesse", que Sirius s'empressa de fourrer dans sa bouche à son tour, unique endroit ou il restait de la plac. Dumbledore l'oberva sans sourciller, posa le plat d'argent sur son bureau, ou, après un mouvement de baguetteune multitude de petit caramel réaparurt instantanément. Un léger silence plana un moment.

-Askaban à laisser des sesquelles, fit enfin Dumbledore.

-Pourquoi dites vous ça? Demanda Sirius en prennant une pleine poignée dans le plat d'argent nouvellement remplis.

-Oh, une intuition Sirius...Eluda Dumbledore en regardant son plat d'argent se vider de nouveau. Vous avez fait bon voyage?

-Autant que possible par ce temps, répondit Sirius en avalant la dernière pognet de caramel, comme si sa vie en dépendait.

-Ne me dites pas que vous êtes en balais... Fit Dumbledor en reremplissant le plat de caramel d'un geste instinctif, qu'il rgretta ensuite.

-Il fallait que je reprenne la main, et puis j'aime bien, expliqua SIrius en ayant un geste pour prendre de nouveau des caramels.

Un regard doux -mais néanmoins ferme- de Dumbledore, lui appris qu'il serait peut être bons qu'il arrête ce pillage systématique. La main de Sirius revint docilement sur son genoux aux pris d'un effort de volonté virulant. A Askaban, ils auraient génocider tous ces caramels jusqu'au dernier, jusqu'à mourir d'indigestion s'il l'avait put. Les deux hommes se regardèrent.

-Et vous_

-Harry s'en remet? Coupa Sirius, pour ammener le viel homme au sujet qui l'intéréssait.

-Ce garçons est solide...Vous le savez

-Vous avez été assez évasif dans la lettre... Grogna Sirius sans chercher à cacher son ton accusateur. Vous dites qu'ils étaient une dizaine?

-Oui, lui et mademoiselle Lovegood regardaient les Sombrals, avaient pris du retard sur le reste du groupe, et c'est là qu'ils sont apparut, Bellatrix à leur tête. Ils n'étaient pas encore dans l'einceinte du chateau, le transplannage était possible. Si Luna Lovegood ne m'avait pas prévenus à temps, , ils seraient parvenus à enlever Harry, et l'aurait emmener à Voldemort qui...

-Je sais ce qu'aurait fait Voldemort, coupa Sirius avec agressivité. Cette Luna Lovemachin, c'est une nuvelle de L'Ordre? Pourquoi vous avez confier la protection d'Harry à une nouvelle recrue?

-En fait Luna est une élève et ignore tout de l'Ordre.

-Quoi? Mais alors qui protégeait Harry? Le nouvel animal de compagnie de Ron, en éspérant que cette fois il s'agira de Bellatrix Lestrange et pas ce poid plume de Queudver? Ricanna Sirius en avalant un Caramel. Mieux, Gilderoy Lockart?

-Perssone ne surveillait Harry jusqu'à présent, et sans cet icident près des sombrals, je n'aurais confier à personnes sa protection.

Les yeux de Siruis étincelèrent. Il ouvrit la bouche pour parler, Dumbledore le coupa calmement;

-Nou sommes à Poudlard. Et je pensais qu'à Poudlard, rien ne pouvait atteindre Harry.

-Il est vrai qu'à part quelques détraqueurs et accromentules géantes, c'est un endroit tout à fait paisible.

-Mais cette attaque des mangemorts si près des porte est effrayante. Je pense qu'il est nécésaire que Harry ai quelqu'un pour le protéger cette année. Au cas ou...

-Ouais. D'ou la raison de ma présence ici.

-D'ou la raison de votre présence ici. Et_

-Bien, j'acceptes. Même si vous ne me l'aviez pas proposé, je serais venus. Il est hors de question qu'un de ses détraqués ne touche à nouveau un seul des cheveux de mon filleul...Et... Je devrais boire du polynectar? Depuis Maugrey, les gens ne risquent ils pas d'être suspicieux à voir quelqu'un boire sans cesse à la même gourde, à horaire régulier?

-Si justement. Mais Severus et un maitre de potion autrement plus talentueux que Barty Crouton Junior, je pense qu'il sera capable de vous faire un polynectar assez condensé pour tenir une journée, ainsi, vous n'aurez à en boire qu'au matin, et personnes ne se douteras de rien.

-Si vous le dites...Fit Sirius d'un ton peu convaincu. En parlant de Snape, il...

-PROFESSEUR JE M'OPPOSE FERMEMENT L'IDEE QUE SIRIUS BLACK, UN INDIVIU QUI A PROUVER A DE MULIPLE REPRISE QU'IL ETAIT INCPABLE DE PRENDRE SOIN DE SA PERSONNE PROPRE, S'OCCUPE DE LA SECURITE DE MONSIEUR POTTER, ordonna ue voix glaciale en claquant la porte du bureau avec fermeté.

Sirius se retourna. C'était Snape.