Disclamer : Ben malheuresement pas à moi, même si ça trotte pas mal dans ma ptite tête.
Genre : Yaoi. Vous attendez pas à ce que j'écrive un jour de l'hétéro, ça arrivera pas. Ou alors c'est que je me suis fichtrement bien cogné la tête et que plus rien n'est en place la dedant (((qui a dit c'est déjà pas en place ??? je vous ai entendu !!! ))) ou alors autre solution, c'est que je pond un scénar bien tordu… ce qui peu arriver.
Couple : arf c'est quoi cette question ? Lisez et vous saurez lol. Aller j'avoue 1x2 (ou inversement) et peut être un 3x4 par la suite. A voir. En tout cas je préviens maintenant, il y aura des Lemons. Pas dans ce premier chapitre, mais dès le deuxième si tout se passe bien. Homophobes et âmes sensibles s'abstenir. Pourrez pas dire que j'ai pas prévenu.
Note de l'auteur : C'est la première fic que je poste même si c'est pas la première que j'écrit, alors soyez indulgents please. Mon Dieu comme j'ai honte ! (((va se cacher dans un coin)))
P.S : je n'ai actuellement personne pour corriger mes fautes d'orthographe gomen, alors faites pas gaffe. (Normalement doit pas y en avoir trop, je fais quand même attention à ce que j'écrit même si on dirait pas)
J'alterne entre deux points de vue, je n'ai pas fait de séparation, mais je pense que c'est ase compréhensible quand même. Mais comme c'est moi qui ait écrit, je n'ai pas d'avie exterieur alors si ca vous gène dites le moi.
Voila j'ai fini mon baratin alors je vous souhaite une bonne lecture.
VOLEURS
Chapitre 1 : Un musée bien attractif
Une ombre se déplaça dans le couloir silencieux. Le musée était fermé depuis quatre heures déjà. Tous les visiteurs étaient partis, le conservateur était rentré chez lui, et les gardes… L'homme sourit. Les gardes, il s'en chargeait. Depuis trois jours déjà, le musée exposait une œuvre d'un peintre Italien mondialement reconnu, Venaria Eterni, appelé Les larmes d'un futur impossible. Une merveille de la nature. Un chef d'œuvre de qualité. Depuis le début de son exposition, il était venu le voir tous les jours. Il le voulait, et il l'aurait ! D'un pas souple, il contourna les colonnes de marbres de la pièce dans laquelle il se trouvait, se dissimulant des caméras. L'obscurité était sa maîtresse, il savait s'en faire une alliée et ne serait pas repéré. De plus, sa tunique noire y était invisible. Rapide et léger, son pas le guida jusqu'à l'aile nord du bâtiment. Un sourire machiavélique se dessina sur ses lèvres. Le tableau était là, à quelques mètres. Il n'avait qu'à faire un pas, pour entrer dans la pièce suivante et il le verrait.
Tac
Le cambrioleur tendit l'oreille. Il avait perçu un léger bruit devant lui. Figé, il écouta à nouveau. Ca ne pouvait pas être un gardien. Pas maintenant qu'il était si près du but ! D'après ses calculs le garde ne devait repasser dans cette partie du musée que dans deux heures !!! Le bruit se renouvela. Ca n'était pas un bruit de pas, mais plutôt une sorte de cliquetis familier. L'homme fit un pas et pénétra dans la salle d'exposition. Il se figea. Une ombre se mouvait devant le tableau convoité. Et le cliquetis n'était autre que le bruit d'un système d'alarme qu'on tente de passer. Une profonde colère naquit chez le cambrioleur. Qu'est ce qu'il faisait là ? C'était son tableau ! C'était lui qui l'avait vu le premier ! L'autre n'avait pas à venir le voler avant lui ! Calmant ses pulsions meurtrières, il resta immobile dans un angle mort des caméras et observa son « collègue » passer toutes les sécurités. Après tout, si il pouvait gagner du temps et ne pas couper les alarmes, ça lui allait. Il n'aurait qu'à récupérer le tableau une fois que l'autre aurait fait tout le boulot. Aussi il s'accouda au mur et observa les mouvements souples et agiles de l'homme. Ses yeux descendirent sur le corps du second cambrioleur. Il portait une tunique semblable à la sienne qui le recouvrait entièrement et lui moulait la peau. Il pouvait deviner les muscles roulant sous la peau, tandis que l'homme dévissait le boîtier de la dernière sécurité qui le séparait encore de l'œuvre. Contrairement à lui, le visage du second cambrioleur était entièrement recouvert d'un masque noir, pourvu de deux trous pour les yeux. Mais il était trop loin pour discerner leur couleur. Il haussa les épaules. Après tout, il s'en fichait. Voyant que l'homme s'apprêtait à décrocher le tableau du mur, il s'approcha et s'arrangea pour faire un minimum de bruit. Mais comme il l'avait prévu, l'homme se retourna vivement, en position de défense. Un sourire aux lèvres, il continua d'avancer.
Heero leva les poings au niveau de son visage, méfiant. Qui était cet homme ? D'après ses vêtements, ce n'était pas un garde, on aurait plutôt dit qu'il faisait le même genre de « métier » que lui. Il le détailla. Seuls son cou et sa tête étaient nus. Sa peau était pale, il avait des cheveux châtains retenus en un chignons serré, un visage doux et rieurs, surpreunant pour un voleur, ainsi que des yeux à couper le souffle. A la faible lueur de sa lampe torche, Heero vit qu'ils étaient violets. Une couleur si rare pour des yeux. C'était la première fois qu'il en voyait. Si beaux… attirants. La voix de l'autre homme s'éleva. Cristalline, elle n'était pourtant qu'un murmure.
Bonjour…
…
Je crois que nous allons avoir un petit problème et je ne vois pas comment on pourrait se débrouiller.
… C'est quoi ton problème ? répondit-il durement
Apparemment nous sommes venus pour la même chose.
Heero se crispa. Comment ça ils étaient venus pour la même chose ? Sous entendait-il qu'il voulait aussi le tableau ?
Si tu veux ce tableau, vas te faire voir, j'étais là avant ! Grinça-t-il.
Son « collègue » rit doucement.
En effet, ça me paraît légitime.
Sa voix redevint sérieuse.
Mais ce n'est pas dans mes intentions de te laisser filer avec le tableau que je convoite.
Heero se crispa à nouveau, s'attendant à tout de la part de son adversaire.
Que comptes tu faire ?
Je pourrais par exemple t'attacher ici, et partir avec le tableau ! Les gardes te trouveraient et…
Tu oublies le fait que je connaisse ton visage. Par contre, si on fait le contraire…
S'il n'y a que ça qui te dérange …
Le garçon bondit en avant et arracha le masque de Heero. Celui-ci n'avait eut le temps d'esquisser aucun geste. « Rapide pensa-t-il. Dangereux »
Et voilà, rayonna le jeune homme rayonnant. Maintenant je…
Il ne finit pas sa phrase. Il ne s'était pas attendu à ça. Ce qu'il découvrait le laissait bouche bée. La peau du garçon était mate, ses cheveux noirs en bataille, retombaient doucement sur le front du garçon, cachant ses yeux d'un bleu foncé, presque noir. Cobalt était leur couleur exacte. Envoûtant. Le bleu de la surprise laissait maintenant place au noir de la colère. Son visage était fin, sa peau semblait douce et sensuelle, et il avait les traits asiatiques d'un japonais. Métis. Attirant. Cherchant à reprendre contenance, le jeune homme fronça les sourcils et chercha un sujet de discutions. N'importe quoi qui cacherait son trouble.
Et euh… tu est rentré comment dans le musée ?
Mais qu'est ce qu'il racontait !! Il n'était pas venu faire la causette tout de même !!! Autant lui proposer d'aller boire un verre ! Quel con il était quand il s'y mettait !
…
Juste pour savoir ! C'est une question de métier !
Maintenant qu'il avait posé la question, autant avoir la réponse. Qui sait, ça pourrait l'aider lors d'un futur cass ! Soupirant, Heero reprit sa tache et répondit qu'une voie neutre, occultant parfaitement la présence de l'homme dans son dos.
Les toits.
Ah oui… j'y ai bien pensé, mais ça me semblait un peu risqué ! J'ai préféré passer par les bouches d'aération.
…
Un moment de silence suivit. Le jeune homme en profita pour dévorer des yeux son « collègue ». Le baudrier qui lui avait sûrement servi pour descendre du toit du musée était encore serré autour de sa taille. Un sourire en coin, il resta ainsi, le laissant travailler.
Heero en avait assez. Cela faisait près d'un quart d'heure qu'il l'observait. Il sentait le regard du garçon posé sur lui à chaque instant, et cela commençait à l'énerver. Un mouvement dans son dos le surprit. Enfin, il bougeait ! Mais le mouvement que jeune homme exécuta n'était pas celui qu'il attendait. En effet, Je jeune homme s'était approché et avait passé sa main sur sa joue, effleurant sa peau des doigts. Prêt à craquer, Heero se retourna.
Je peux savoir ce que tu fais ? Siffla-t-il
C'est simple, je t'examine. Déclara le jeune homme en se reculant, le tenant à bouts de bras, et laissant glisser son regard sur le torse du japonais, puis plus bas.
Je ne suis pas une bête de foire ou un…
Le baudrier c'est chiant. Douloureux pour un homme s'il est mal ajusté… Mais ça a un avantage déclara son interlocuteur, sans se soucier de ce qui venait d'être dit. Ca met nos atouts en valeur …
Heero en resta bouche bée. Il regarda ce que le voleur regardait depuis tout à l'heure. Le jeune homme avait fixé son regard sur son entre jambe et ne le lâchait plus des yeux. Heero se dégagea de l'emprise qu'il exerçait sur lui et se retourna. Il ne savait pas comment il devait le prendre, mais n'était pas sûr que ça lui plaise, loin de là ! Les mains sur les hanches, l'autre était resté derrière lui. Heero ne vit pas le large sourire se dessiner sur les lèvres du garçon. S'il l'avait vu, il ne l'aurait sûrement pas aimé.
Je viens d'avoir une idée, annonça-t-il d'une voix suave et plus grave que précédemment. Je vais te laisser ce tableau.
Heero tourna la tête et le regarda, suspicieux, ce qui eut pour effet de faire rire celui qui lui faisait face.
Tu ne me crois pas ? Pourtant, je te jure que c'est vrai.
Son sourire s'agrandit, une lueur de désir s'allumant dans ses yeux mauves.
Je viens de trouver un autre chef d'œuvre… Et celui là, je compte bien l'avoir. Oh Oui ! Je te jure que je ne le laisserai pas m'échapper !!!
A suivre…
Bon bah voila. Chapitre 1 terminé … dites moi ce que vous en pensez ça me ferait plaisir Ce n'est que le début et la mise en place et c'est pas souvent très drôle à lire, mais j'ai déjà beaucoup d'idées pour après et si vous avez des remarques à faire, en bien comme en mal, dites le je ferais mon possible pour m'améliorer.
Encore un détail. Je n'ai pas encore édité ma page perso, mais ca vient. Je le ferais une fois que j'aurais mangé, il est tout de même... 13h17... m'étonne pas que mon estomac gronde
Aller, A bientôt
