Voila donc une nouvelle fic idée de ma jumelle Iliana qui n'avait pas le temps de l'écrire, je m'en sers donc pour posté pour son anniversaire cette fic que je lui dédicace. Ce sera donc une song fic, chaque chapitre sera illustré par une chanson ou musique, celui ci est illustré par Marry You de Bruno Mars le lien ne marchant pas vous le trouverez sur You tube.
Comme l'a dit Iliana dans son chapitre posté aujourd'hui de tu es à moi, nous avons des fics en cours déjà, donc la suite risque de se faire attendre mais elle arrivera promis mais moins rapidement que sept jours pour agir, je voulais absolument poster ce prologue pour rendre hommage à une des plus fabuleuse personne que j'ai rencontré, c'était hier son anniversaire mais bon on s'en tape, c'est l'intention qui compte.
Voila bon anniversaire ma jumelle de coeur, je t'adore et t'avoir rencontré est merveilleux, merci à Castle !
Prologue
C'était le plus beau jour de sa vie, l'ultime étape à leur amour, la fin d'une aventure et le début d'une autre, enfin, ils allaient être réunis pour toujours, il serait son seul et unique, la concrétisation de tant d'années de rejets, de désillusions, de disputes et de réconciliations, de séparations, de non dits. Il était heureux, tellement heureux, il avait cru la perdre mais elle était là. Enfin, ils s'étaient dit ce qu'ils avaient sur le cœur, enfin, ils avaient laissé parler leur amour, au-delà de toutes choses, ils avaient ouvert leur cœur à l'autre. Ils savaient tous deux que cela serait inévitable, ils ne pourraient lutter quoi qu'en disent les autres, ils seraient mariés, amours, amants, pour la vie. Les autres le sauraient, lui l'aimait tellement. Dans cette institution sacrée, ils se promettaient l'infini, l'éternel, ils se promettaient une vie auprès de l'autre, pour le meilleur comme pour le pire, à la vie à la mort, toujours, il n'y aurait plus de place pour la liberté quoi qu'ils fassent, cela faisait partie des événements de la vie. Ils espéraient seulement que tout irait bien, elle espérait que tout irait bien après. Il le fallait, c'était important.
Quoi qu'il arrive leur union serait véritable, elle le devait, signifierait un tout, ils construiraient leur avenir ensemble peu importe ce que pourraient dire les autres, peu importe les obstacles, ensemble, ils seraient forts, c'était eux, leur couple, leur amour…oui tout serait bientôt réglé. Il fallait qu'ils tiennent…
Bien sûr Kate Beckett avait peur, elle était terrorisée comme jamais mais ce sentiment si familier en elle, faisait qu'elle parvenait à se maîtriser. Il serait là, elle savait que, peu importe ce qu'elle ferait, peu importe ce qu'il pourrait croire, il serait là, son amour, sa vie, son one and done, lui seul serait là pour elle. Son seul et unique amour, son double, sa moitié, elle savait qu'il serait là. Qu'il comprendrait, elle l'espérait, qu'il sache combien elle l'aimait. Qu'il lise en elle comme toujours et qu'il comprenne.
Tant d'années à se cacher, tant d'années à nier mais aujourd'hui plus que jamais elle voulait qu'il sache combien elle l'aimait, combien il était essentiel à sa vie mais les mots lui manquaient, la situation lui échappait mais que pouvait-elle y faire. Elle ne maîtrisait rien, comme d'habitude mais il devait savoir à qu'elle point elle l'aimait, oui il devait en être certain en ce jour béni des dieux, en ce jours spécial, il devait savoir qu'il était le seul homme qu'elle voulait, lui et personne d'autre.
Elle avançait lentement dans cette allée, son cœur battait la chamade, il explosait dans sa poitrine juste pour lui, il la regardait avec amour, dévotion. Et autre chose qu'elle ne voulait voir, elle détourna la tête se fixant sur le prêtre. Le cœur au bord des lèvres, l'instant arrivait, son instant, le point de non retour qui scellerait son destin à tout jamais peut-être. Elle espérait que tout irait bien, que tout se passerait pour le mieux, après, il fallait qu'il sache,qu'elle était folle de lui.
Elle lui jeta un dernier regard empli d'amour mais il détourna les yeux, troublé, c'était trop pour lui, il ne pouvait s'y faire, cette situation semblait irréelle, comme un rêve.
La jeune femme soupira, reportant son attention sur l'homme de Dieu qui bénissait son union d'avec l'homme de sa vie.
« Nous sommes réunis en ces lieux pour unir cet homme et cette femme dont la vie a réuni leur être, ils sont tombés dans les affres de l'amour et leur vie a été bercée par l'autre » Débita le prêtre en regardant les deux amoureux.
Beckett regarda son amour, puis baissa la tête, n'osant continuer à le contempler ainsi, c'était tant d'émotions pour elle, elle avait du mal à se contenir devant ce visage qu'elle aimait plus que tout mais elle devait se maîtriser, ne rien laisser paraître devant ses yeux océan qui la troublaient tant. Non elle devait être égale à elle-même, neutre, pour ne pas flancher devant ce regard amoureux qui lui dévorait le cœur.
« Kate Beckett voulez-vous prendre pour époux… » Le prête regarda sa fiche avec un sourire radieux.
« Will Sorenson, de l'aimer, de le chérir, jusqu'à ce que la mort vous sépare !» Demanda le curé tout sourire en s'adressant à Kate.
« Oui je le veux ! » Souffla t-elle, en jetant un regard en coin à son partenaire, dont le visage se décomposait à ces mots.
Elle aurait voulu hurler devant cette mine, son cœur se brisait, il ne comprenait pas. Elle aurait voulu tout lui dire, tout lui avouer.
« Will Sorenson désirez-vous prendre Kate Beckett comme épouse, de l'aimer de la chérir, jusque ce que la mort vous sépare.
Sans hésiter l'homme répondit.
« Oh oui je le veux ! »
« Si quelqu'un dans l'assemblée souhaite s'opposer à cette union qu'il se manifeste ou se taise à jamais ». Répliqua le curé en scrutant son église.
Tous les regards se portèrent vers Castle qui affichait un regard neutre à présent, dénué d'émotion, trop peut-être, il était si détaché que cela ne paraissait pas vraiment naturel.
Les yeux de Kate se portèrent sur sa meilleure amie, qu'elle supplia du regard, cette dernière soupira puis se tut.
« Vous pouvez embrasser la mariée. » Informa l'homme de Dieu.
Will ne se fit pas prier, il empoigna sa femme et fondit sur ses lèvres. Cette dernière après un dernier regard à l'homme qu'elle aimait se laissa faire, sans rien dire. Elle était à présent madame Sorenson et ne serait jamais madame Rodgers comme l'aurait voulu l'écrivain, comme elle l'aurait voulu.
Ils s'étaient avoués leur amour bien avant mais le destin en avait choisi autrement, et Richard Castle avait le cœur en miettes…
Voila j'attends vos retours,je sais que vous voulez me tuer mais attendez les explications du pourquoi du comment vous me connaissez y a toujours une explication !
