Il était une fois dans la lointaine Karakura,
Un manoir dont la seul vue provoquait l'effroi.
Un jour cinq courageux adolescents,
Cinq enfants inconscient,
Décidèrent de visiter
L'ancienne demeure hantée.
Le premier avait les cheveux de feu,
Et de tous était le plus courageux.
Le second était le plus énervant,
Et ses cheveux bleus des plus voyants.
La troisième et le quatrième se tenait la main,
Chauve souris et sorcière attendant la fin.
Le cinquième, enfin, connaissait la maison,
Et c'était donc armé d'une barre de plomb.
C'est le cœur battant, qu'ils entrèrent
Dans ce grand manoir grouillant de poussière.
C'est bêtement et sans que ses amis ne l'entrave
Que le cinquième partit seul dans la cave.
Jamais plus on ne revit,
Cet arrogant Quincy.
La troisième effrayé s'enfuit en courant
Tirant derrière elle son amant.
La porte du vestibule sur eux se referma,
Et c'est à cause de cela qu'on ne les revit pas.
Le premier plus censé que ses amis,
Attrapa le second et lui dit :
« Comment partir d'ici si a toutes les sortis la mort nous attend ? »
Le bleuté sourit de toutes ses dents,
Cachant derrière son attitude son funeste effroi.
Une idée, un plan, il n'en avait pas.
Ils marchèrent ensemble jusque aux escaliers,
Qui montaient dans la noirceur morbide d'un grenier.
Leurs plus grande erreur fut là,
Quand dans les combles sales le premier arriva.
Le second n'était pas bien loin,
Mais le temps qu'il soit effrayé par une chandelle brûlant dans un coin,
Son ami avait déjà disparut.
Il crut avoir des problèmes de vue.
Mais l'orangé qu'il avait tant aimé,
Se voyait désormais tué.
Il ne voyait pas son corps,
Il sentais simplement que le noir décor,
N'avais pas cessé de le faire souffrir.
Le silence fut brisé par un affreux rire
Et le bleuté ferma les paupières
En se disant que tout allait encore bien hier
Et que maintenant la mort l'attendait
Caché au fond de son être elle le tuait.
Le manoir bien longtemps fut fermé.
Jusqu'à ce qu'un funeste jours d'été.
Cinq adolescent impétueux,
Ne découvre le secret de ce lieu mystérieux.
Cinq corps étendu dans l'entrée
Semblait interdire l'accès de ce lieu presque sacré.
Telle fut le funeste sort,
De cinq jeunes jeunes gens morts mais non enterré
Que la faucheuse décida d'emporté.
Quand à moi je suis,
Celui qui leur à oté la vie.
Mon identité reste un secret
Mais je pense en partie vous la révélé.
Après tout que je sois un démon,
Seul survivant d'un royaume sans nom.
Importe peux puisque à présent,
Je vais prendre votre sang.
Ne vous retournez pas ça gâcherait mon plaisir.
Laissé juste la mort vous ceuillir !
