Nous te voulons...
Attention les personnages et l'univers de cette fic' ne m'appartiennent nullement, cependant l'histoire narrée est de mon invention, donc pas touche.
Blabla : Le début d'une nouvelle fic' pour me faire pardonner de mon retard, encore une fois gomen.
Ps : n'hésitez pas à me prévenir si je suis en retard (oui l'auteur est quelque peu désordonnée…).
« Je suis amoureux d'Harry, moi Severus Snape, et mes sentiments sont enfouis en moi depuis quelques années déjà. De plus mon amant, la seule personne réussissant un tant soit peu à me faire oublier Harry pendant ne serait-ce que quelques heures, est à Azkaban et ne devrait pas revenir avant quelques temps si il ne trouve pas le moyen d'en sortir avant. Je ne peux décemment pas rester à Poudlard alors qu'il est devenu professeur de défense contre les forces du mal et qu'à chaque fois que je le croise j'ai une irrésistible envie de le plaquer contre un mur et de lui faire l'amour. Et merde, je ne peux pas dire ça à Macgonagan tout de même ! J'ai une réputation à tenir, déjà que depuis que mon rôle d'espion pendant la guerre à été révéler, le 'batard graisseux' ne fait plus aussi peur qu'avant, si les élèves apprennent les raisons de mon départ je peux dire au revoir non seulement à mon autorité mais aussi à ma fierté. Bon je vais donc mentir à notre directrice, elle n'est d'ailleurs pas trop mal dans ce rôle même si je regrette Albus et sa folie, après tout elle ne remarquera rien je n'aurais qu'à garder mon masque de froideur et lui dire que je veux être tranquille, elle n'y verra que du feu ! Bon maintenant je n'ai plus qu'à aller la voir et arrêter de parler à mon miroir, je vous jure Voldemort à finit par me faire devenir aussi taré que lui… »
C'est donc sur ce monologue (particulièrement stupide) que le terrible professeur de potions se dirigea vers le bureau de la directrice et formula le mot de passe « Bonbons aux citrons », qui avait été choisis en mémoire de l'ancien directeur par Severus lui-même, celui-ci pénétra d'ailleurs dans le bureau dans son habituel démarche quelque peu effrayante pour les élèves mais dont les professeurs c'étaient habitués une fois qu'on lui eut donné la permission d'entrer. L'actuelle directrice fut quelque peu étonnée de voir débarquer dans son bureau Severus Snape dans toute sa splendeur alors qu'elle ne l'avait pas du tout convoqué et qu'en dehors des convocations il évitait toujours de se retrouver dans son bureau, pour une questions de décoration ignoble avait-il dit même si Minerva pensait plutôt que c'était à cause des souvenirs de son prédecesseur, après tout depuis quand Severus se préoccupait-il de la décoration de son bureau.
« Que me vaut l'honneur de votre présence Pr. Snape ?
-Je compte démissionner de mon poste. Severus avait décidé de ne pas y aller par quatre chemins, autant en finir rapidement.
-Voyons ! Ce n'est pas sérieux Severus… Espérant de tout cœur que ce ne soit qu'une plaisanterie elle fut suspendu aux lèvres de son condisciple avec espoir et inquiétude.
-Oh que si Minerva…
-Et je peux savoir quelles sont vos raisons ?
-Voldemort est à présent mort, je ne supporte plus mes élèves je ne vois donc plus ce qui me retiens ici.
- Et bien moi je vois ! Nous compterons à partir de ce midi un nouveau professeur de vol, en qui je place ma confiance et dont le nom est à présent lavé de tous péchés. Et toc ! Ainsi cela éveillerai peut-etre la curiosité de cet ancien serpentard…
-Vous m'en voyez ravie Minerva, seulement je ne vois pas en quoi ça me concerne.
-Vraiment ? Et si je vous dis que notre nouveau professeur est Lucius Malfoy ?
-NON MAIS VOUS AVEZ PERDU LA TETE ! Et ce fut là que malheureusement Severus disjoncta ne voulant absolument pas voir un Lucius Malfoy roder autour d'Harry alors qu'il était au courant de tout.
-Voyons, Severus, un peu de tenue ! S'indigna une Minerva outrée.
-MAIS ON S'EN FOUE DE LA TENUE, VOUS VENEZ DE ME DIRE QUE LUCIUS MALFOY, PUTAIN D'ARISTOCRATE DE MERDE, ALLAIT ETRE PROFESSEUR ICI ! Bon, il fallait bien l'avouer notre cher petit serpentard perdait toute sa distinction lorsqu'il s'énervait vraiment.
-QUOI ? Ce qui entraina évidemment l'arrivée d'un sauveur éberlué, croyant que la directrice était à présent bien folle.
-Voyons, pas la peine de s'énerver Severus, nous savons tout les deux que vous avez été assez proches avec Lucius, il vous faut donc reconnaitre qu'il a certaines qualités, et vous Harry ne paressait pas si étonné, Lucius est quelqu'un de confiance.
- LUCIUS QUELQU'UN DE CONFIANCE ? Minerva en toute honnêteté, vous vous payez ma tete comme cadeau d'adieu ? S'il vous plait dites-mois que c'est ça… Pour une fois l'on pouvait voir un air suppliant sur le visage de l'ancien espion, ce qui incita Harry à s'exprimer.
-Pour une fois je suis d'accord avec le professeur Snape, vous n'êtes pas sérieuse tout de même Minerva et puis qu'est ce qu'est cette histoire d'adieu ?
-Voyez-vous Severus envisageai de quitter son poste, j'essayais donc de le convaincre de rester en utilisant Lucius comme moyen de pression. En meme temps que Minerva s'exprimait Harry se décomposai ce que ne sembla pas remarquer notre directeur des serpentards.
-MAIS QU'EST-CE QUE J'EN AI A FOUTRE MOI QUE LUCIUS SOIT LA OU PAS, A PART SI VOTRE SANTE MENTAL EST BONNE OU NON ?
-Oh tu me fais de la peine mon ptit sev', comment oses-tu dire te foutres d'un Malfoy, moi de surplus ? Nous étions pourtant si proches, dis-moi donc que je n'ai plus un cul aussi bandant… Pour une entrée originale s'en était une, Lucius entra donc avec la classe des Malfoys en lançant un regard séducteur à son ancien 'ami'.
-LUCIUS ! C'est de la triche ! Protesta 'l'ami' de Lucius, qui ne pouvait simplement pas admettre cela.
-Et bien voilà tu ne peux pas le dire car tu le penses toujours… Conclut un Lucius conquérant et comptant bien le rester.
-Rho et puis va te faire foutre Lucius, vous avez gagné Minerva je reste rien que pour protéger Poudlard de cet obsédé ! Craqua notre cher Severus avant de partir dans un tournoiement de capes, faisant une sortie magistrale.
-Voilà qui est clos, je vous prierais tout de même de ne pas faire vos scènes de ménages ici Lucius. Harry vous pouvez partir quand à vous Lucius nous avons quelques affaires à régler.
Harry lança un regard de haine au serpent toujours présent dans la place, serpent, qui profitant de l'inattention de sa, à présent, directrice pour glisser quelques mot à l'oreille de notre gryffondor attitré.
-Ne croyez pas que vous pourriez l'avoir, il m'appartient toujours.
-C'est ce que nous allons voir… Le défia Harry James Potter.
A suivre…