Auteur: eli
Genre: heu ... vous verez bien
Disclamer: sont à moi xD ... que dans mes rêves
Note: Inspirer de mon OS "une grande amitié"

Beta: ellisine que je remercie

C'est la fin de la tournée, on peut enfin se reposer, ça fait du bien.

Malgré ça, je me sens mal, je vais m'ennuyer pendant ses vacances.

Ca fait déjà trois jours que je glande, allongé sur mon lit, à regarder la télé.

Me levant juste pour le stricte nécessaire.

J'en ai marre, c'est pas possible ça.

On peut pas reprendre le boulot, Kai est dans sa famille et Ruki aussi d'après ce que j'ai compris. Aoi n'en parlons même pas, on ne le voit jamais quand on est en vacances et on ne sait pas du tout où il se cache.

A croire qu'il a une petite amie secrète.

De mon coté, toujours rien.

Bon, je sais, je vais embêté Reita.

Je m'habille et m'en vais directement.

Je frappe, pas de réponse. Il dort peut être ? Je sonne, mais toujours rien. Merde, il est sorti… j'aurais du téléphoner, quel baka je fais…

Je commence à descendre les escaliers pour me promener, quand j'entends mon nom être prononcé juste derrière moi.

Je me retourne et le vois qui sort de l'ascenseur.

- Bah ruwa, qu'est ce que tu fais là ?

- Heu, je passais devant alors je me suis dit "pourquoi pas aller lui dire bonjour?"

Il sourit, et à ce sourire je me sens rougir. Merde, qu'est ce qu'il m'arrive ?

Je me comporte comme une collégienne devant son premier amour.

- Aller, viens boire un coup à la maison puisque t'es là ! En plus je viens juste d'acheter ce qu'il nous faut pour nous bourrer la tronche haha!!

Je remonte les quelques marches que j'avais préalablement descendues et aide Reita, puis on s'installe tranquillement devant la télé, bières à la main, on parle un peu de la tournée.

J'ai le temps de contempler son salon qui est, comme d'habitude, rangé. C'est vraiment un endroit spacieux et clair, un grand canapé noir y trône avec une table basse, et il y a aussi quelques meubles par ci par la.

On a bu, il est déjà vingt heures. Que ça passe vite !

Il commande quelques trucs au traiteur français, mais je suis trop bourré pour savoir ce que c'est.

Ho du vin, on se boit la bouteille en moins de deux.

Je me lève pour aller aux toilettes mais trébuche sans le vouloir sur Reita.

Nos bouches sont si près l'une de l'autre que je sens l'air qu'il respire me caresser le visage.

Elles sont si... tentantes, rouges et pulpeuses.

Je franchis le peu de millimètres qui me sépare d'elles pour m'en emparer.

Ho, je sens que... je vais vomir.

Je me relève précipitamment et cours dans les toilettes où je vomis le trop plein d'alcool que j'ai ingurgité.

Je me retourne et vois Reita qui se tient au chambranle de la porte.

- Pourquoi tu m'as embrassé ?

- Heu... j'en sais rien... j'en avais envie.

- Et si moi aussi j'ai envie de t'embrasser, là, maintenant ?

Je lui souris, il me relève et m'embrasse fiévreusement, me porte et m'emmène dans sa chambre.

-Reita... c'est la première fois qu'on s'embrasse.

- Hai, je sais et j'ai envie de plus... que de d'habitude.

Je mets ma main et la frotte à l'endroit où une bosse a fait son apparition.

Il se met à gémir doucement et je rigole.

Il me fait tomber sur le lit et commence à me déshabiller.

Je fais de même, trop pressé de sentir son érection contre la mienne.

Une fois nus l'un contre l'autre, on s'embrasse encore et encore.

Je sens sa langue dans mon cou puis il arrête, je sens son souffle chaud, calme et doux.

Il ne bouge plus, qu'est ce qu'il lui prend ?

- Hé Reita, ça va pas ?

Rien. J'entends alors un ronflement… c'est pas qu'il dort cet idiot quand même ?

Je le sens frissonner.

Je mets mes bras autour de son corps et l'encercle pour le réchauffer.

Je n'ose pas m'enlever mais heureusement il le fait tout seul et se retrouve à mes cotés.

Je rabats alors la couverture sur nous et m'endors moi aussi collé à lui.

Une chaleur sur mon visage me réveille. J'ouvre un oeil et vois des rays de soleil. Mon oreiller est chaud et doux, je le sens aussi légèrement bougé sous moi.

Qu'est ce que c'est ?

J'ouvre en grand les yeux pour y découvrir que mon oreiller n'est autre que le torse imberbe de mon cher bassiste préféré.

Je ne comprends pas tout de suite, c'est pas la première fois après tout.

Quand je sens une bonne odeur sortir de la cuisine.

fin du chapitre 1