bonjour! bonsoir!
je sais que j'ai d'autres fanfictions de démarré (plus que je n'en ai publier) mais l'inspiration ne se contrôle pas, pas que je ne sois plus inspiré par les autres mais c'est juste que certaine fois si je n'écris pas, je deviens folle et puis je me suis dis qu'une fanfiction bleach en plus c'était que positif ;)
des reviews ne seraient pas de refus!
je suis en pause (courte) de mes fictions mais le stress me fait écrire quand même (même si ce n'est souvent pas grand chose.)
((désolé pour les répétitions, mais c'est une enfant, je précise car on m'a déjà fait la remarque lol))
Ysode
Prologue.
Aujourd'hui, il va pleuvoir. Je le sais, même si ils l'ont pas dit ce matin sur la place. Elle fait toujours cette tête là, la fille qui a une chaîne au fond du jardin quand il va pleuvoir. Elle à l'air... heureuse. Quand je vais jouer dans le jardin, je fais comme si je la voyais pas. Personne ne la voit donc cela ne change pas grand chose.
J'ai déjà vu des monstres aussi. C'est pour cela que j'ai fait un mur, dans ma tête. J'ai déjà vu un monstre manger un monsieur, il a dit que son énergie était forte, qu'il sentait bon. C'est quand il a commencé à manger que j'ai couru jusque chez moi. Et j'ai construit un mur, comme çà, je ne sent plus bon du tout. Parce que je dois avoir de l'énergie si je les vois. Et mon papa à toujours peur parce que il dit que je suis sa fragile petite fille. Je suis toujours malade, je ne sors pas souvent. J'ai souvent sommeil, maman dit que je manque d'énergie. Donc c'est dans ma tête l'énergie qui sent bon.
J'ai pas d'amis, mais je suis l'amie des autres enfants. Enfin pour eux je suis une amie mais je pense pas vraiment en être une. Être ami c'est être soit même, être sincère mais je ne fais que les copier. Quand Sakura-chan est tombé hier, à l'école, elle saignait beaucoup et elle pleurait beaucoup. J'ai rien ressenti, je l'ai aidé parce que sinon j'étais pas normale. Je l'aurai laissé sinon. Tout les adultes disent que je suis très gentille et que je m'inquiète beaucoup pour les autres. C'est pas vrai, sauf pour papa et maman. Même si ils se trompent sur moi, je les aime bien, pour de vrai. Surtout maman, elle est belle, j'aime bien son sourire. J'aime bien le regard de papa quand il nous voit moi ou maman.
« Ayame, mon ange, tu vas bien ? » me demande maman dans mon dos en plaçant chaleureusement ses mains sur mes épaules.
« Oui, maman. » souris-je à mon reflet dans la vitre. Elle le voit, j'en suis sûr.
Elle retira subitement sa main gauche de mon épaule pour la mettre devant sa bouche alors qu'une forte toux la prenait.
Je me retournais, inquiète.
« Maman, qu'est ce que tu as ? » lui demandais-je en prenant sa main droite entre mes petites mains.
« Ne t'inquiète pas mon ange, tout va bien, c'est fini. J'ai juste attrapé froid. » m'as-t-elle soulager en souriant.
Il a commencé à pleuvoir lors du dîner le soir. Quand maman m'a mis au lit, il s'est mis à pleuvoir bien plus fort. Avec la lumière de la lune maman était vraiment blanche. Elle m'a raconté une histoire et je me suis endormie. Maman aimait bien me raconter des histoires le soir. Moi j'aimais bien sa voix, douce, apaisante.
Je me suis réveillé dans la nuit, maman devait dormir alors j'ai pas fait de bruit. Papa devrait bientôt rentré à la maison, me dis-je en prenant un verre d'eau. Il pleuvait vraiment beaucoup dehors. Je suis partie me rendormir.
Le lendemain matin, j'ai vu papa dans la cuisine. Il était pas tout seul, il y avait plein de gens. J'ai vu maman aussi, elle était de dos et elle parlait à papa :
« chéri, répond moi s'il te plaît. Pourquoi tout le village est-il ici ? »
« oh, Ayame-chan, tu es réveillé. » il avait parlé d'un voix rauque.
Je me demandais pourquoi il ne répondait pas à maman, pourtant elle avait demandé gentiment.
Maman se retourna vers moi et papa l'a traversé. Maman était très surprise. Maman avait une chaîne comme la fille au fond du jardin. Le visage de papa et des gens étaient très triste. J'avais compris, maman s'était pas réveillé.
J'ai pas pleurer, j'ai sourit à papa et aux gens. C'est le même sourire que je fais à l'école. Je suis sur que mes yeux sont tristes, mais ils le verrons pas. Je suis juste une petite fille de toute façon. Maman m'a parlé :
« Ayame, ma chérie, je suis désolé. Je ne sais pas si tu m'entend mais tu vas devoir être forte. Il faudra aider papa. »
je ne l'ai pas regarder mais je suis sur qu'elle a sourit. Je serais forte maman, lui promis-je en silence. J'ai fait un câlin à papa et je suis partie me laver. Je mangerais pas ce matin. Je n'aime pas le regards de ces gens sur moi.
Je fais toujours comme si je voyais pas maman. Je suis triste. Il n'a pas arrêté de pleuvoir. On enterre le corps de maman dans le cimetière du village. Maman est là, elle nous a suivit.
J'ai entendu des gens dire que j'étais courageuse parce que je n'ai pas pleurer. Je ne pleur toujours pas. Je peux pas pleuré, je suis jamais seule et maman veux que je soit forte.
La cérémonie est fini, je vois maman s'éloigner dans le jardin publique. Je l'a suivis. J'ai soudain très peur, il y a un monstre pas loin, maman l'a pas vu. Je veux pas qu'elle disparaisse.
Le monstre a vu maman.
Je me met à courir très vite. Vers maman.
Le monstre, il est arriver avant. J'ai entendu maman crié. J'ai couru encore plus vite. Je me suis mise devant maman.
« je veux pas que tu touche à maman, le monstre. » je l'ai dis trop calmement. Maman pleure derrière moi. Elle a vraiment peur, je pense pas qu'elle ai remarqué que je suis là.
« oh, petite humaine, tu peut me voir ? C'est bizarre, je ne sent aucun reiatsu venant de toi. Tu n'as pas de pression spirituelle. »
Je tentais de regardé le monstre sans ciller. L'énergie qui sentait bon était donc appeler de l'énergie spirituelle. Je réalisais soudain que j'étais impuissante là à me tenir bras écartés devant maman. Mais je ne bougeais pas.
Le monstre semblait réfléchir mais au bout de quelques interminables minutes, il attaqua pour rencontrer la lame d'un monsieur en noir. Je ne l'avais pas vu arriver mais moi aussi je serais morte si il n'était pas là.
Je me suis retournée vers maman. Je l'ai prise dans mes petits bras. Elle m'a enfin regarder. Surprise.
« Ayame... tu peux me voir ? »
« oui maman désolé mais c'était trop dure de te parler alors que tu ne vivais plus » lui révélais-je d'une voix triste. « il y a un monsieur qui s'occupe du monstre, tu n'as plus à avoir peur, il ne te mangeras pas. »
Elle à sourit. On est resté un moment dans les bras l'une de l'autre. Je ne sais même pas si il était long ou court ce moment. Le monsieur revenais, j'ai donc lâcher maman et je l'ai attendu.
« monsieur? » l'ai-je appelé mais il n'y prêta pas attention. J'ai donc agrippé son hakama noir.
« tu peut me voir gamine ? » lui demanda t-il surpris au possible.
« oui, monsieur. Merci de nous avoir sauver, maman et moi. » il me regarda avec tristesse. « Vous pouvez emmenez maman au paradis s'il vous plaît ? C'est trop dangereux ici. Elle a trop peur des monstres et je peux pas l'aider. » je voulais pas que maman parte encore une fois mais c'était mieux comme ça. Je devais être forte.
« c'est vraiment ta mère ? » lui demanda l'homme.
« oui monsieur, elle est morte il y a trois jours. » j'ai pas pu retenir une larme puis les autres.
Il s'est accroupi à ma hauteur. Maman était derrière moi, elle ne disait rien. Elle devait sûrement pleuré. J'étais triste moi aussi.
« je ne sent pas ton reiatsu gamine » sourit l'homme.
« je la cache sinon les monstres viendrons me manger. »
« on les appel des hollows chez nous. Je m'appelle Kyouraku Shunsui, pour te servir jeune damoiselle » lui sourit le dieu de la mort.
« vous voulez sentir mon reiatsu Kyouraku-sama ? » lui demandais-je d'une petite voix, j'étais toute rouge. Il avait réussit à faire passer mes larmes.
« si tu veux bien gamine, je suis curieux. » il m'a fait un clin d'œil.
Je me suis concentré très fort et j'ai passer le mur. C'était bizarre, je me sentais moins fatiguer. J'ai rouvert mes yeux que j'avais fermé sous l'effort pour voir que Kyouraku-sama semblait stupéfait. Mais il avait pas perdu son sourire.
« tu en as du reiatsu gamine, je sais même pas comment tu arrive à le masquer. Tu m'écraserais presque. » je savais pas si il plaisantait. « tu peux le masquer maintenant sinon tu vas rameuter tout les hollows du coin. »
« oui, Kyougraku-sama. » lui dis-je. Cela m'a pris longtemps mais j'ai réussi. J'ai souris au shinigami. « Maman » l'appelais-je « Tu dois pas être triste, je m'occuperais au mieux de papa. C'est plus pour toi ici. » je ne m'étais pas retourner certaine de la voir pleuré. « Kyouraku-sama, il s'appelle comment votre monde ? »
« la soul society. Vous savez madame, c'est vraiment une jolie gamine courageuse que vous avez là. »
« Oui, Kyouraku-sama. » lui dis ma mère la voix rauque. « J'ai toujours été, je suis et serais toujours fière de toi, mon ange » me dis ma mère en me prenant dans ses bras pour la dernière fois. « tu as grandi trop vite » me chuchota t-elle. On se sépara.
« vous pouvez y allez » avons nous annoncé ma mère et moi d'une même voix.
Le gentil shinigami prit en main un de ses deux katanas et posa doucement le bout de le garde de celui-ci sur le front de maman. C'est dans la lumière qu'elle disparu.
« Kyouraku-sama, il y a une fille au fond de mon jardin, vous pourriez l'envoyer à la soul society s'il vous plaît ? »
« oui bien sur gamine » lui sourit-il. « dis, tu t'appelle comment ? »
« Ayame Yamamoto, Kyouraku-sama »
« hé bien Ayame-chan tu as le même nom de famille qu'une personne que je connais. et tu as le nom d'une fleur en guise de prénom. j'aime bien les fleurs » il lui sourit gentiment. « et tu peux oublier le "sama" si tu veux. »
j'étais vraiment très rouge maintenant. « non Kyouraku-sama, vous êtes gentil. »
« tu as quel age Ayame-chan ? » m'interrogea t-il.
« j'ai bientôt 6 ans » lui dis-je. « on est arrivés » ajoutais-je.
Je l'ai guider jusque dans le jardin et lui ai indiqué la fille. Je lui ai dis qu'elle savait pas que je pouvais la voir. Il y est aller seul pour lui faire pareille qu'a maman. Moi, j'ai couper des fleurs pour Kyouraku-sama. Je lui ai fais un gros bouquet. J'ai attendu. Quand il est revenu, j'étais assise dans l'herbe, j'étais en trin de détaché mes cheveux pour nouer les fleurs à l'aide de mon ruban. Je lui ai ensuite tendu les fleurs.
« merci Ayame-chan, c'est jolie. Moins que toi bien-sur » rajouta le shinigami en me fessant un autre clin d'œil. « je vais devoir y aller. » lui annonça t-il.
« oui, Kyouraku-sama. Au revoir ! » je lui fis un petit sourire. « je dois allée voir comment va papa. » ajoutais-je.
C'est après m'avoir embrassé sur le front qu'il partit. Je l'aimais bien lui aussi, pour de vrai. Je suis repartis à la maison. Papa était vraiment triste. Moi aussi mais je savais que maman était bien, j'en étais persuadée.
