Sur une terre où tout est entourer de sable, un chameau montré par un cavalier tirait une grosse caisse. Pour lui, s'en était pour sa vie, il devait vendre ses femmes pour l'argent. Chacune avait une particularité. Une savait faire la cuisine, une autre le lavage, une autre savait coudre de magnifiques vêtements. Une autre avait de magnifique forme savait faire plaisir aux hommes, mais la dernière, savait faire tout. Sauf ce qui était de donné du désir pour l'agente masculine. De ce côté-là, c'était une tigresse, mais d'un côté, si on l'approche doucement. La jeune femme est un magnifique chaton. Soupirant il s'essuya le front, il suait à grosse goute que cela en était décevant. Le désert est le pire endroit où il aurait put se trouver. Il prit la gourde accroché à sa hanche et en but une gorger.
- Raah ! Plus d'eau. Grogna-t-il, il doit y avoir un puits quelque part.
Il scruta l'horizon en plissant les yeux. Avec ce soleil infernal et ses filles qui se plaignaient, il n'arrivait pas à réfléchir. Il regardait encore et encore, mais rien ne venait. Frustrer, il fit avancé sa monture plus vite. Et puis, pour lui, plus vite il vendrait ses empoter de femme, plus vite il rentrera chez lui.
- Père, nous avons soif ! S'exclama une blonde, je vous en pris, donner nous de l'eau !
- Silence ! Cria-t-il en donnant un coup de talon dans le chameau, vous n'aurez pas d'eau.
La jeune femme retourna dans son coin. Chacune étaient différente, une blonde, une brune, une verte, une bleue, et une violette. Chacune avaient les yeux de couleurs différentes. La blonde avait des yeux or, la brune argent, la verte argent pâle, la bleue saphir et la violette émeraude. Pendant tous le voyage, il n'entendait que des supplications pour avoir de l'eau.
- SILENCE !
Puis le silence se fit, mais bizarrement, il n'avait pas entendu une seule fois la voit de la plus jeune. Tournant un peu la tête, il vit qu'elle était endormie. Une main sur le ventre, la jambe droite pliée et l'autre tendu, sa tête était appuyée sur deux petits barreaux. Autant que cela se face comme cela jusqu'à l'oasis où il devrait les mettre sur le marcher. Ensuite il n'en entendra plus parler. Enfin, il espérait.
Au bous d'une longue traverser, il aperçut enfin l'oasis. Ses arbres tropicaux qui l'entouraient avec une rizière juste à l'arrière. Les tentes des villageois et marchant étaient un peu espacer dans l'île. Il y avait même des touristes, de quoi avoir plus de cinq cent yens. Arrivé devant la porte du village, il arrêta son chameau et alla le détacher de la cage.
- C'est pour quoi ? Demanda une garde de l'île.
- Je suis le vendeur d'esclave.
- Ah oui, nous n'attendions que ton arrivé. Entre !
L'homme poussa sa cage sur une planche à roulette qui posa au sol et alla à l'emplacement qu'on lui avait donné. Enfin, il serait débarrasser de ses feignasses qui ne voulaient plus rien faire, et vue qu'il ne pouvait pas payer la nourriture, cela lui fera de l'argent. Il se mit en place, donna un coup derrière la tête de la plus jeune pour qu'elle se lève et se réveille et il alla se mettre en place.
- Mesdames et Messieurs, approchez ! Venez voir mes magnifiques femmes. Vous ne serez pas déçu de votre déplacement. Laissez moi vous présentez la plus vieille Hoshiyo !
La jeune femme habiller d'une jupe en haillon d'un marron clair et d'une brassière sur sa petite poitrine attacher par des cordes, fut tirer par les poignets du à la corde qui était attacher à ses mains. Elle avait de longs cheveux arrivant aux fesses, les yeux émeraude. Les hommes la regardaient intensément. Elle releva la tête, son visage était fin, sa frange était en deux partie sur son visage. Elle avait un bracelet à la cheville gauche.
- Attention messieurs, elle ne vaut que cinq cent yens. Reprit avec un sourire le vendeur, alors ?
- Moi je la prends. Je vous en offre mille yens.
- Vendu monsieur ! Sourit-il, va rejoindre ton acheteur !
La violette les mains attacher alla vers l'homme blond avec un bandeau sur l'œil gauche, et aux yeux vert pâle. Il lança la bourse au vendeur qui l'attrapa. Les trois autres regardaient partir Hoshiyo avec une grande peur dans le regard. Seule la plus jeune n'était pas aussi effrayer, elle était calme, mais s'endormait beaucoup.
Les trois autres furent vendu pour 550 ¥. Il en restait que la plus jeune qui dormait debout. Un roux aux yeux vert marchait avec sa famille sur le marcher, et vit le vendeur d'esclave. Intriguer, il alla vers, suivit de sa jeune sœur et de ses parents.
- Voici la dernière. Elle est jeune, elle n'a que 16 ans. Elle vient de la même terre que nos ennemis. Abandonner par ses parents, elle est resté à la rue, jusqu'à ce que je la récupère.
Il tira sur la corde de la jeune fille qui se réveilla en tombant en avant, elle se releva en pliant les genoux, se qui fit lever son postérieur. Ses haillons n'étaient qu'une robe beige toute déchiré, haute d'un côté, faible de l'autre. Elle était soutenue par une corde à la taille et au niveau de la poitrine, ce qui soulignait celle-ci. Une fois debout, elle jeta ses cheveux en arrière, ses yeux en amande noir à l'ombre mais argenté au soleil, reflétait une grande fatigue. Le roux était étonné, puis leurs regards s'accrochèrent et il fut comme hypnotiser.
- Ne vous fier pas à ce joli morceau messieurs ! Sous son air de chat égarer se trouve une tigresse qui peut sortir ses griffes à tout moment. Elle sait tout faire, mais...je vous préviens, le plaisir n'est pas son fort.
- Viens Gaara, c'est vraiment ignoble ce qu'il fait à cette pauvre petite ! Déclara la mère du jeune homme en lui prenant le bras, allez, nous devons rentrer.
- Attendez mère. S'il vous plait, prenez-moi cette fille.
- Nous avons suffisamment de domestique à la villa mon fils. Pour quoi diable en veux-tu encore une ?
- Je veux qu'elle soit ma domestique personnelle !
- Et moi ! Je la veux comme amie ! Dit une petite blonde en tournant autour de son frère en sautillant. Si vous plait, père, mère, s'il vous plait !
- Très bien. Soupira le père en faisant demi-tour avec son fils et sa fille, nous revenons chérie.
- Quoi ? Ah non, je vous accompagne.
Toujours sur la scène, la jeune fille commençait à somnoler, quand pour une énième fois, le vendeur la tira. Mais cette fois ce fut fortement, au point que cet étirement lui brula les poignets et qu'elle cria.
- Arrête de toujours dormir espèce de trainer. Cracha le vendeur alors qu'elle bougeait les mains pour arrêter la brulure. Allez, debout !
- Non.
- Quoi ? S'étonna-t-il, tu oses te rebeller ! Petite écervelé.
Il leva un corde qui attachait ses poignets et la fouette au visage, une trace rouge lui fit une entaille à la joue, il la fouetta ensuite à la hanche, et dans un crie elle se mit sur le côté douloureux. Il continua de la fouettée devant les expressions choquer des acheteurs. Mais le roux qui en avait assez vue, bondit sur la scène.
Alors qu'un énième coup de fouet allait s'abattre sur elle, un jeune homme l'arrêta avec un avant bras. Avant d'arracher la corde des mains de l'homme.
- Qui es-tu petit impertinent ?
- Je suis votre acheteur. Je vous offre mille deux cent yens pour cette domestique.
- Mille...mille deux cent ! S'étonna le vendeur, je...oui, bien sur. Elle est à vous.
Le roux aida la jeune fille à se relever et il la soutenait, elle ne pleurait pas, mais elle semblait endormie. Sa petite sœur arriva et tira sur la vieille robe de la brune.
- C'est quoi ton nom ? Demanda-t-elle avec un sourire d'ange, moi c'est Temari. Lui c'est mon grand-frère Gaara et toi ?
- Ri...Ringo...Répondit-elle simplement avant de s'endormir dans les bras de son sauveur qui souriait.
- Hey ! Ne meurs pas ! Paniqua la petite blonde, Ringo-chan ! Réveille-toi !
- Du calme, elle n'est pas morte, elle c'est endormie.
- Rentrons, nous allons rater l'avion qui nous ramènera au Japon. Fit la mère étonné de voir son fils sourire.
Portant l'esclave comme une marier il suivit sa famille. Pour ensuite, l'installer à bord de la limousine et la placer de façon à ce que sa tête soit sur ses genoux. Il caressa ses cheveux en dégageant ses yeux. Il appréciait déjà cette jeune fille, et il promit de la protéger et de rester à ses côtés quoi qu'il arrive.
