Disclamer: Les personnages appartiennent à J.K.Rowling, mais l'histoire est mienne.

Il ne me reste plus qu'à souhaiter être lue. :D


Je n'aime pas les histoires tristes, où tout le monde pleurt tellement s'est émouvant. Non, je n'ai jamais aimé. Ce n'est pas que je n'aime pas la tristesse, mais les histoires tristes sont.. trop tristes. Alors, quand, à l'âge où il le fallut, on me demanda de choisir mon destin, de créer mon histoire, je l'écrivis. Et ce ne fut pas une histoire triste.

Dans les près voisins de Londres, le soleil brille tout l'été, et la neige tombe tout au long de l'hiver, pas de pluie, pas de vent, le soleil et la neige pour seuls climats. Un beau quartier, des maisons riches, où l'herbe ne pousse jamais plus qu'il ne faut, les arbres ne tombent pas, des habitants charmants, sympathiques mais pas trop imposants, le genre de voisins à qui ont peut parler mais qui ne posent jamais les questions, attendant simplement votre récit. Nous habitons ce havre de paix, l'homme de ma vie & moi. Nous avons un petit chat, il s'appelle Mouki, il est tigré, un peu foncé, le ventre et les bouts de pattes blancs,et il est adorable. Mon tendre est beau, sa peau est douce, ses yeux dont je ne saurais définir la couleur m'ont obsédés et attirés au premier regard. c'est un homme fabuleux, il est si attentionné qu'il remarque tout, d'une humeur massacreuse il peut trouver l'origine, et d'un grand sourire, il devine les sous-entendus.

Lorsque nous nous sommes rencontrés, il m'a tendu la main et sa beauté m'a empoisonné, il semblait si parfait, si fier et si peu sûr de lui en même temps, je l'ai caressée et il a rougi, il était si mignon les pommettes gonflées. Nous avons passé beaucoup de temps ensemble, à discuter, lire, faire nos devoirs et à raconter nos malchances. Un jour, j'ai pleuré de devoir le quitter, la fin de la dernière année à ses côtés m'émouvait tant, et il m'a enlacé, puis embrassé. Doucement, prudemment, mal assuré, alors j'ai répondu, ma langue a léché sa lèvre et la sienne l'a rejointe. Nous ne sommes pas allés plus loin, nous ne le voulions pas. Nous nous sommes couchés, ensemble. Au creux de ses bras, contre son torse qui se soulevait, j'étais bien, je sentais son parfum m'envahir et sa main sous la mienne, posée sur mon ventre m'apaiser. Au matin, il sentait le gel douche, ses cheveux étaient mouillés et il ne dormait plus, comme si il pouvait me faire croire qu'il sentait si bon en se réveillant ! Quand je lui ai dit qu'il n'était pas obligé de sentir bon pour me plaire, il était si gêné que ses cheveux en tremblaient.

Depuis cette nuit nous dormons l'un contre l'autre tous les soirs. Cela fait quelques temps déjà et jamais encore nous n'avons été plus loin que de simples baisers, et caresses délicates. Tout ça est plaisant, je l'avoue, mais mon histoire mérite tout de même un plus, vous ne croyez pas ?

Oui, c'est bien ce que je pensais, il n'y ait bien qu'un chose qui vous intéresse !

Donc, je fais vite un merveilleux repas pour mon merveilleux homme au travail. Il est 19h30, il ne va pas tarder et j'ai presque fini, j'ajoute un peu de décoration à la table et la porte s'ouvre, on est en été et le soleil brille encore, en voyant la table il me sourit tendrement. Il pose son sac et me rejoint, il sent si bon. Nous nous installons et il mange comme un petit goret en me faisant des compliments la bouche pleine, pas si romantique que ça mon dîner ! Le plat finit, il me regarde de ses beaux yeux et glisse une fleur rouge dans derrière mon oreille en s'approchant, je l'embrasse et je souris contre ses lèvres. Le dessert arrive et mon petit homme mange enfin correctement ! Il n'en est pas de même pour moi et je me retrouve avec du jus de framboise jusque sur le nez. Je m'efforce de tout en enlever discrètement mais son regard amusé me prouve que je ne suis pas doué pour la discrétion, il se penche vers moi et lèche ce qu'il reste. Un sursaut d'excitation s'empare de moi et je me jette sur lui, passe mes bras autour de son cou et accroche mes jambes autour de lui pour qu'il me soulève, ce qu'il fait. Il m'emmène à la chambre où il m'allonge sur le lit. Debout devant moi, les cheveux en bataille, le souffle court et un léger sourire dessiné sur ses lèvres rougies, je ne l'ai jamais trouvé plus beau. Il m'embrasse dans le cou, murmure à mon oreille en me mordant le lobe, je gémis malgré moi. Ses caresses sont tendres, ses mains douces glissent sur mon corps et je tremble de bonheur, de plaisir. Nos vêtements volent je ne sais comment et sa peau nue contre la mienne m'ébouillante. Le creux de mes reins est en feu, ses doigts parcourent mon corps et s'arrêtent sur mes fesses, qu'il remonte en me prenant dessous. Je crie, il m'a touché. Je prends une de ses mains et la caresse, je l'embrasse, la lèche. Je prends deux doigts et les mets dans ma bouche, une fois mouillés je les libère, il sait quoi en faire, et il le fait. Doucement il en rentre un en moi, je n'ai pas mal, aux deuxième ça ne va plus. Alors il me touche encore, il me mord et je sais qu'il se retient, pour moi. Mais j'ai mal, je n'aime pas avoir mal. Peu à peu je me laisse aller, et je ne sens même pas le troisième doigt. Lorsqu'il les enlève je me sens vide, ouvert et sans protection. Mais ça ne dure pas, son sexe tendu est prêt devant mon entre, il attend que je le lui permette, ce que je fais. Je l'embrasse et lui dis un faible "oui". J'ai mal à son entrée, je crie et il s'arrête, il me rassure et m'embrasse, me mord encore, lèche mon torse jusqu'à ce que je bouge autour de lui. Les vas et viens sont lents, pénibles, puis il accélère. Une sensation étrangère me chatouille le bas ventre et je ne peux plus empêcher les gémissements de sortir de moi. Il rentre, sort, re-rentre, re-sort, il ne fais plus que ça et je bouge avec lui tellement c'est bon. Je vois trouble, j'ouvre à peine les yeux et lorsqu'il relève ma tête pour me voir je le sens jouir en moi et ses yeux flous me font perdre le contrôle. Quelques lourds allers-retours marquent la fin de nos ébats et nous nous endormons, nus, l'un contre l'autre, l'un dans l'autre.

Oui, lorsque l'on me demanda d'écrire mon histoire je l'écrivis comme ça. Et ce ne fut pas une histoire triste.


Je répondrai aux reviews, et si jamais une faute ou deux vous a interpelé, n'hésitez pas à me le dire, j'essaie d'en faire le moins possible mais je n'suis pas encore tout à fait au point ! :) Je mettrai une suite bientôt, j'en ai déjà l'idée et la suite sera certainement la fin ! Si, par hasard, vous avez lu mon autre fiction, c'est normal qu'elle ne soit plus publiée, je la réécris en entier et je la republierai ensuite !

Merci, bisous.

A.