Bonjour les amis )

Nouvelle fic', j'éspere que vous allez aimer. N'hésitez pas pas me donner votre avis!!

Publication tout les 5 jours.

...xXx...

Résumé : « Je suis belle, intelligente, séduisante et j'adore le Quidditch. Mon défaut ? Je me transforme en une putain de monstre sanguinaire toute les pleines lunes depuis les vacances…. »

Disclaimer : L'univers d'Harry Potter appartient à J.K. Rowling, blablabla. Les OC, l'histoire et certains lieu & détails m'appartiennent (Ben oui quand même ).

Rating : T. Pour le vocabulaire et certaines scènes érotique qui vont suivre. Vous êtes prévenus !

…xXx…

- Chapitre I -

Je jette un coup d'œil à ma montre. Il est minuit et quart. Malgré le fait qu'on soit en fin de mois d'aout, Il fait froid. Dans le ciel, la lune est pleine. Cela fait depuis une heure que je marche pour rentrer chez moi. J'habite à Camden Town, un quartier de Londres. Le vent vient ébouriffer mes longs cheveux châtain, tandis que je m'arrête afin de me battre avec la fermeture éclair de mon veston à manche courtes. Oui, d'accord, ce n'est pas ça qui va me tenir chaud, mais quand même !

- « Saloperie… »

Déclarant forfais, je reprends le chemin de ma maison après un long soupir agacé. Le raisonnement du claquement de mes talons aiguilles contre les pavés retentis dans la nuit. Je cherche minutieusement un petit paquet rouge dans mon sac à main. Une fois trouvé, j'en sors une cigarette et l'allume. Je sens la fumée âcre descendre le long de mon thorax et pénétrer mes poumons. Après avoir recraché une longue bouffée, je me sens moins frigide. Se serai stupide d'attraper un rhume deux semaines avant la rentrée scolaire et de ne pas profiter de ces maigres vacances qui me reste. Ma dernière rentrée scolaire. Rien que s'y penser, un sourire de nostalgie se dessine sur mon visage. Dans quelques mois, je devrai dire adieux au dortoir dans lequel j'ai habité durant 7 ans. Je n'aurai plus le plaisir de faire de longues veillées au coin du feu dans la salle commune avec mes amis. Je n'entendrai plus les déclarations enflammée de James Potter à sa jolie rousse tout les deux jours durant le déjeuner à la Grande Salle. Je ne ferai plus de longues balades nocturnes dans la Forêt Interdite. Je ne me retrouverai plus en retenue toute les semaines avec les Maraudeurs. C'est pour cela que cette année, je dois marquer un grand coup ! Que les murs du château se souviennent de moi, de longues années encore. Mon sourire, encore marqué sur mon visage, s'agrandi légèrement de malice. C'est sûr que la vie insouciante à Poudlard va énormément me manquer…

Je pénètre sans m'en rendre compte dans le parc qui se situe devant chez moi. C'est un raccourci que j'ai l'habitude de prendre, sa m'évite de faire un énorme détour.

Soudain un mauvais pressentiment me prend. Par reflex, je mets ma main dans la pochette arrière de mon sac, et sert ma baguette magique, qui ne me quitte jamais.

Je m'appelle Resha Stevenson. Grande, magnifique, yeux gris, sale caractère, change de couleur de cheveux comme de petit ami (à savoir très souvent), et n'étouffe pas de modestie. La plupart des gens me prennent pour une garce. Et vous savez quoi ? Ce n'est pas spécialement vrai, mais je n'ai jamais cherché à contredire quelqu'un. Ca fait parler de moi. Vous supposez sûrement que je suis à Serpentard, et bien j'ai le grand plaisir de vous affirmer que vous foutez le doigt jusqu'au coude dans le cul. Serdaigle est ma maison, et j'en suis très fière. Qui à dis que toutes les pimbêches de mon genre étaient sans cervelle ?

Ma mère est une Sang-Pur. Une Black plus précisément. Nihabella Black. Elle a été reniée et foutue à la porte à l'âge de 14 ans, car ces parents l'avaient promise à un certain Abraxas Malfoy (d'ailleurs, une de mes cousines va devoir se coltiner le fils). Ne partageant pas du tout leurs convictions et leurs idéaux, elle à eu le courage de s'opposer à leurs décision. Depuis, elle vit avec Jordan Stevenson, son meilleur ami de l'époque, devenu son petit ami, et enfin son mari. Une belle histoire d'amour que j'aimerai vivre à mon tour, mais ce n'est certainement pas avec mes coups d'une nuit que je vais y arriver ! Quoique pour le moment je n'aie que ça, et ça me convient très bien. Chaque chose en son temps, comme on dit.

Ma mère à toujours été l'idole de mon cousin Sirius. C'est chez nous qu'il venait lorsque les coups qu'il recevait entraînaient des blessures trop importantes…

J'ai toujours admiré son courage et son arrogance.

J'ai un frère jumeau, Rigel. Il est gardien dans l'équipe de Quidditch de Gryffondor, tandis que moi je suis la batteuse de l'équipe de ma maison. Il est légèrement plus grand que moi, malgré les talons vertigineux que j'ai l'habitude de porter. Ses cheveux sont légèrement plus foncés que les miens, mais nous possédons tout les deux les traits si harmonieux des black. Des yeux d'un gris si particulier, si limpides. Un regard hypnotisant. Ma fierté.

Je suis arrivée devant l'Allée. Cette horrible et longue Allée qui me donne des frissons chaque fois que j'y passe. Je ne suis jamais tranquille à ce moment là. Déjà que la franchir en pleine journée m'horripile, alors maintenant…

D'un geste nerveux, je tire une dernière fois sur ma clope avant de l'écraser avec mon talon. Je m'engage dans le chemin, tout en resserrant l'étreinte autour de ma baguette.

Je ne me sens pas tranquille.

Après quelques minutes, je sens quelque chose d'anormal. Ce quelque chose qui me pèse depuis que j'ai mis les pieds dans ce foutu parc. Ca s'approche. Je ne sais pas ce que c'est, mais ca m'angoisse au plus haut point …

Je m'arrête.

Derrière moi.

J'entends une respiration saccadée. Des pas effrité les feuilles mortes. Subitement je fais volte-face et brandit ma baguette.

Que je rabaisse aussi tôt.

Devant moi, se trouve un gros chien noir qui me fixe d'un regard amusé.

Attendez. Depuis quand les chiens ont un regard 'amusé' ?

Je deviens paranoïaque. Et quelque chose me dis que les neuf verres de Whisky Pur Feu que j'ai consommé durant la soirée au Trois-Balais y sont pour quelque chose.

Je détaille le chien, qui n'a toujours pas bougé de sa place. Je souris, et m'approche de lui afin de le caresser. J'ai toujours aimé les animaux, et ils me le rendent bien. Sauf cet hystérique d'hibou que mon père avait offert à Rigel le jour de son onzième anniversaire. Les traces de coup de bec que cette chose ignoble à laisser sur mon épaule ne me le fera jamais oublier.

Lorsque je tends ma main, le molosse vient joyeusement me la lécher en me mordillant les doigts.

- « Qu'est ce que tu fait là mon toutou ? Ta perdu ton maître ? Ah, mais non, tu n'as même pas de collier. T'es tout seul ? Mon dieu, voila que je me mets à parler à des chiens errants. C'est décider, j'arrête l'alcool… »

Après une énième caresse, je laisse le chien et me remet en route. Je suis bientôt arrivée à la sortie. Avant que je n'aie eu le temps de faire le moindre geste, un grognement sourd se fait entendre, et une masse noire s'abat sur moi. Je me retrouve étalée par terre, mon sac – et ma baguette-, 2 mètre plus loin. Je relève la tête, et aperçois, difficilement à cause de l'obscurité, le chien noir se battre avec un autre animal deux fois plus gros que lui. J'essaye de me relever, mais en vain, ma cheville s'est tordue lors de ma chute. Je cherche rapidement des yeux où se trouve mon sac. Une fois ma cible repérée, je rampe jusqu'à elle, ignorant la douleur et les broussailles qui écorchent mes bras nus. Avant que je n'atteigne mon but, je vois avec effroi que la bête inflige un dernier coup de griffe mortel au chien, qui maintenant gît par terre.

La bête lève les yeux vers moi.

Elle me regarde.

D'un regard Humain.

- « Oh mon Dieu.. » ai-je le temps de souffler avant que le loup-garou ne se jette sur moi.

Je ferme les yeux douloureusement. Mes mains tremblent. J'ai peur. Peur de la mort, à laquelle je n'avais jamais réellement pensé. Soudain, une pensée saugrenue me traverse l'esprit. Je n'ai pas fait de testament. Qui va hériter des douze pairs de chaussures dernier cri que je venais de me payer ? Je me traite mentalement d'idiote, tendis que je sens le souffle chaud du lycanthrope à quelques centimètres de ma nuque.

Tandis que je pensais à Rigel et Sirius, à mes parents, à mes chaussures, à tout les moments heureux que j'ai pu vivre, je sens une chaleur et une douleur insoutenable, indescriptible me traverser tout le corps. Je sens à peine les crocs du monstre desserrer mon cou, tandis que je sombre peu à peu dans l'obscurité. Dans l'inconnu total.

...xXx...

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