Derrière le masque
Quand Alohomora, dans son dernier chapitre de "Le secret de ma mère" a mis l'adresse d'un fanart représentant Pansy, je suis allée voir, et ma vision de cette fille a complètement changé. Comme la plupart des gens, je m'étais imaginée cette fille comme une grosse brute, comme étant un garçon manqué. Après tout, elle traînait bien avec Malfoy, elle était froide...pourquoi elle aurait été belle? Enfin toujours est-il que ma vision a complètement changé. Et si elle était belle, séduisante. Enfin, comme certaine personne l'ont déjà dit avant moi, peut-être que ce personnage est prit pour ce qu'il n'est pas. Alors voici une autre fic sur elle. Et je vous conseille d'aller voir cette représentation, pour mieux entrer dans l'histoire. www- personal.umich.edu/%7Edcheng/od/graphics/pansysketch.jpg
N/A: Alors voici une fic Nc-17...cette fic ne fera pas plus de 7 chapitres, peut-être 6, je ne sais pas encore. Mais si vous aimez les histoires dramatiques qui viennent vous chercher, je vous conseille de la lire.
Chapitre 1
Assise sur son lit, elle se regardait dans le miroir qui lui faisait face. Depuis près de dix-sept ans, elle revenait ici, tous les étés. Elle retrouvait ce décors, celui qui lui était si familier. Ce grand lit à baldaquin, drapé bourgogne. Ses mûrs peints de la même couleur et tous les meubles sculptés dans un bois de rose. Une glace antique était posée dans un coin. Ses parents n'avaient rien refusé pour elle. Ou plutôt sa mère n'avait rien refusé, puisqu'elle n'avait jamais connu son père, celui-ci ayant disparut peu de temps après sa naissance.
Elle continuait de se scruter au détails près. Le reflet que lui renvoyait la glace aurait plu à bien des filles. Une adolescente, presque femme au regard magnifique. Une taille fine, avec des traits féminins à en faire craquer plus d'un. Des cheveux bruns, descendant jusqu'à la naissance de ses seins, et elle prenait soin de les laisser boucler dans le bas. Des yeux d'un noir profond, qui vous paralysait au moindre regard. Un nez fin et des douces lèvres rouges perlées venaient ajouter du charme à se regard profond. Elle laissait toujours son cou nue où elle accrochait une chaîne en argent. Cette image, c'était celle qui lui était renvoyée depuis des années. Mais souvent, elle baissait les yeux en la voyant, où se forçait à détourner le regard. Chaque fois, ce qu'elle voyait, ce n'était pas la femme de dix-sept ans, mais plutôt deux yeux noirs qui cherchaient à comprendre, deux yeux noirs avec une lueur de désespoir. Une lueur que personne d'autre n'avait su voir.
Trois petits coups frappés à la porte lui indiquèrent que le dîner était servie. Elle se leva lacement et ouvrit la porte pour faire signe à Sylvia qu'elle mangerait peut-être plus tard. Sylvia était la bonne du manoir. Cette somptueuse demeure où elle résidait depuis sa tendre enfance avec sa mère. Sa mère, là encore était un bien grand mot. Cette femme qui l'avait mis au monde lui ressemblait comme deux gouttes d'eau. Même cheveux, même nez, même bouche. La seule chose qui la distinguait étaient ses yeux. Les siens étaient beaucoup plus beaux que ceux de sa mère. Celle-ci semblait avoir vingt cinq ans, alors qu'elle en avait trente. Toujours à travailler et à faire ceci où cela, ne passant au manoir que pour dormir. Pansy avait alors été habitué à se débrouiller seule. Contrairement à d'autres, la solitude ne lui faisait pas peur. Elle était même venue à l'apprécier. Elle n'avait jamais eu les parents dont elle aurait eu besoin. Quant à Sylvia, elle aurait été plus digne de l'appeler sa mère, que cette femme qui l'avait enfanté. C'était elle qui l'avait élevé et lui avait porté le peu d'affection qu'elle avait reçu. Même si elle était vieille, selon elle, c'était la seule vraie personne en qui elle avait confiance.
Elle s'était assurée que sa nounou se soit bien éloignée, et elle était retournée s'asseoir sur son lit. Sur le meuble qui se trouvait dans le coin de la pièce, une panoplie d'effets de maquillage reposaient et dans la garde-robe qui se trouvait tout près, des vêtements étaient alignés. De tous, celui qu'elle préférait sans doute le plus, était l'uniforme de Poudlard. Celui-ci n'avait pas été acquis dans le but de l'acheter. Elle ne pouvait pas en dire autant des autres qui se retrouvaient là. Maintes fois, sa mère lui avait démontré une marque d'affection seulement en lui achetant un morceau de linge ou un parfum très dispendieux. Toute sa jeunesse, elle avait manqué et avait recherché cette tendresse que seule cette femme aurait pu lui procurer. Jamais elle n'avait réussis à la trouver. Peut-être était-ce pour ça qu'elle avait développer cet attitude de défensive contre quiconque l'approchait.
Des bruits de pas se firent entendre au rez-de-chaussé. Sa mère qui rentrait. Distraitement, elle tendit l'oreille pour voir où elle se dirigeait et comme à l'habitude, elle monta les escaliers et se rendit directement dans la chambre des maîtres. Dans ce cas, il aurait plutôt fallu dire, du maître. Jamais un autre homme n'était entré dans la vie de sa mère.
Elle reporta son attention à cette glace qui lui renvoyait la réalité. Elle se força à soutenir son regard, mais en fut incapable. Elle s'étendit sur cet immense lit qui avait accueilli tellement de larmes. Lors de son enfance, elle s'était promis à elle-même de ne jamais se laisser aller à pleurer devant sa mère ou qui que ce soit. Cela signifiait un signe de faiblesse et jamais devant cette femme elle ne se laisserait aller. Très souvent elle avait réussi à refouler sa tristesse et était venue la déverser sur ce lit.
Elle tourna la tête vers la grande fenêtre vitrée, de façon à être dos à la porte, qu'elle avait soigneusement verrouillée. Si elle poussait les deux vitres qui servaient de fenêtre, elle débouchait sur un petit balcon. Sa chambre étant au deuxième étage du manoir, elle avait une vue magnifique sur l'arrière de la sombre bâtisse qui lui servait de maison. Sur les côtés, s'offraient une magnifique forêt d'épinette et la cour débouchait sur une falaise, qui laissait apparaître la mer, un peu plus bas. Cette mer, combien de fois elle l'avait regardé, en pensant à lui? Le ciel était gris, ne présageant rien de très bon. Le silence et la lourde atmosphère la rendait mélancolique. Une larme vint embrasser sa peau de pêche, pour atterrir sur le matelas.
Un oiseau passa devant le mur vitré, un ver au bec. Étant enfant, elle avait toujours voulu voler comme un oiseau. La première personne à l'avoir aidé à réaliser se rêve c'était lui. Mais toutes ses illusions avait disparu en même temps que lui.
Elle en voulait au monde entier. Au moment où pour une fois, quelqu'un l'appréciait pour plus que son corps. Elle avait toujours été cynique avec ceux qui avait osé se frotter à elle. Ceux de qui elle s'était entouré n'était que de pauvres pervers ou simplement des filles qui la jalousait. Puis un jour, elle l'avait vu. Tranquillement, l'amour l'avait emporté sur l'amitié. Tant de choses tendres et douces il lui avait fait découvrir. Pour la première fois de sa vie, elle comprenait vraiment ce qu'était l'amour. Mais à peine avait-elle goûté aux fruits de cet amour, qu'on lui retirait. Sans un mot, il avait disparut de sa vie, sans qu'elle n'eut la moindre explication, le moindre adieux.
Elle ferma ses paupières pour empêcher les larmes de monter. Elle les réouvrit et recroisa son image dans le miroir qui semblait la narguer. Ses yeux étaient maintenant vide d'émotion, ayant perdu toute leur vivacité, tout leur charme.
Pendant des jours et des jours, elle était restée enfermée, à essayer de comprendre, à chercher un sens à ce qui était arrivé. Elle avait pleurer toute sa rage, mais rien ne pouvait la soulager de la souffrance qui l'habitait. Cela faisait près d'un an et demi et toujours elle vivait avec les fantômes qui l'habitaient. Après son départ, elle avait briser tous les liens qu'elle entretenait et s'était retrouvé dans sa solitude. Elle était encore la plus respecté, mais personne ne voulait se heurter à elle. Plusieurs la craignaient et d'autres étaient sous l'emprise de sa beauté. Mais elle s'en contrefichait. Tout ce qu'elle voulait, c'était lui, et maintenant, il n'était plus là.
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Bon alors je crois avoir réussi à camper mon personnage. L'histoire en tant que telle commence au prochain chapitre...qui est déjà écrit, mais qui sera pas publier si j'ai pas de reviews...c'est simple! So à vous de choisir si vous voulez que je vous donne la suite qui est écrit en bonne partie. Plus re reviews, plus viete elle arrive!
Quand Alohomora, dans son dernier chapitre de "Le secret de ma mère" a mis l'adresse d'un fanart représentant Pansy, je suis allée voir, et ma vision de cette fille a complètement changé. Comme la plupart des gens, je m'étais imaginée cette fille comme une grosse brute, comme étant un garçon manqué. Après tout, elle traînait bien avec Malfoy, elle était froide...pourquoi elle aurait été belle? Enfin toujours est-il que ma vision a complètement changé. Et si elle était belle, séduisante. Enfin, comme certaine personne l'ont déjà dit avant moi, peut-être que ce personnage est prit pour ce qu'il n'est pas. Alors voici une autre fic sur elle. Et je vous conseille d'aller voir cette représentation, pour mieux entrer dans l'histoire. www- personal.umich.edu/%7Edcheng/od/graphics/pansysketch.jpg
N/A: Alors voici une fic Nc-17...cette fic ne fera pas plus de 7 chapitres, peut-être 6, je ne sais pas encore. Mais si vous aimez les histoires dramatiques qui viennent vous chercher, je vous conseille de la lire.
Chapitre 1
Assise sur son lit, elle se regardait dans le miroir qui lui faisait face. Depuis près de dix-sept ans, elle revenait ici, tous les étés. Elle retrouvait ce décors, celui qui lui était si familier. Ce grand lit à baldaquin, drapé bourgogne. Ses mûrs peints de la même couleur et tous les meubles sculptés dans un bois de rose. Une glace antique était posée dans un coin. Ses parents n'avaient rien refusé pour elle. Ou plutôt sa mère n'avait rien refusé, puisqu'elle n'avait jamais connu son père, celui-ci ayant disparut peu de temps après sa naissance.
Elle continuait de se scruter au détails près. Le reflet que lui renvoyait la glace aurait plu à bien des filles. Une adolescente, presque femme au regard magnifique. Une taille fine, avec des traits féminins à en faire craquer plus d'un. Des cheveux bruns, descendant jusqu'à la naissance de ses seins, et elle prenait soin de les laisser boucler dans le bas. Des yeux d'un noir profond, qui vous paralysait au moindre regard. Un nez fin et des douces lèvres rouges perlées venaient ajouter du charme à se regard profond. Elle laissait toujours son cou nue où elle accrochait une chaîne en argent. Cette image, c'était celle qui lui était renvoyée depuis des années. Mais souvent, elle baissait les yeux en la voyant, où se forçait à détourner le regard. Chaque fois, ce qu'elle voyait, ce n'était pas la femme de dix-sept ans, mais plutôt deux yeux noirs qui cherchaient à comprendre, deux yeux noirs avec une lueur de désespoir. Une lueur que personne d'autre n'avait su voir.
Trois petits coups frappés à la porte lui indiquèrent que le dîner était servie. Elle se leva lacement et ouvrit la porte pour faire signe à Sylvia qu'elle mangerait peut-être plus tard. Sylvia était la bonne du manoir. Cette somptueuse demeure où elle résidait depuis sa tendre enfance avec sa mère. Sa mère, là encore était un bien grand mot. Cette femme qui l'avait mis au monde lui ressemblait comme deux gouttes d'eau. Même cheveux, même nez, même bouche. La seule chose qui la distinguait étaient ses yeux. Les siens étaient beaucoup plus beaux que ceux de sa mère. Celle-ci semblait avoir vingt cinq ans, alors qu'elle en avait trente. Toujours à travailler et à faire ceci où cela, ne passant au manoir que pour dormir. Pansy avait alors été habitué à se débrouiller seule. Contrairement à d'autres, la solitude ne lui faisait pas peur. Elle était même venue à l'apprécier. Elle n'avait jamais eu les parents dont elle aurait eu besoin. Quant à Sylvia, elle aurait été plus digne de l'appeler sa mère, que cette femme qui l'avait enfanté. C'était elle qui l'avait élevé et lui avait porté le peu d'affection qu'elle avait reçu. Même si elle était vieille, selon elle, c'était la seule vraie personne en qui elle avait confiance.
Elle s'était assurée que sa nounou se soit bien éloignée, et elle était retournée s'asseoir sur son lit. Sur le meuble qui se trouvait dans le coin de la pièce, une panoplie d'effets de maquillage reposaient et dans la garde-robe qui se trouvait tout près, des vêtements étaient alignés. De tous, celui qu'elle préférait sans doute le plus, était l'uniforme de Poudlard. Celui-ci n'avait pas été acquis dans le but de l'acheter. Elle ne pouvait pas en dire autant des autres qui se retrouvaient là. Maintes fois, sa mère lui avait démontré une marque d'affection seulement en lui achetant un morceau de linge ou un parfum très dispendieux. Toute sa jeunesse, elle avait manqué et avait recherché cette tendresse que seule cette femme aurait pu lui procurer. Jamais elle n'avait réussis à la trouver. Peut-être était-ce pour ça qu'elle avait développer cet attitude de défensive contre quiconque l'approchait.
Des bruits de pas se firent entendre au rez-de-chaussé. Sa mère qui rentrait. Distraitement, elle tendit l'oreille pour voir où elle se dirigeait et comme à l'habitude, elle monta les escaliers et se rendit directement dans la chambre des maîtres. Dans ce cas, il aurait plutôt fallu dire, du maître. Jamais un autre homme n'était entré dans la vie de sa mère.
Elle reporta son attention à cette glace qui lui renvoyait la réalité. Elle se força à soutenir son regard, mais en fut incapable. Elle s'étendit sur cet immense lit qui avait accueilli tellement de larmes. Lors de son enfance, elle s'était promis à elle-même de ne jamais se laisser aller à pleurer devant sa mère ou qui que ce soit. Cela signifiait un signe de faiblesse et jamais devant cette femme elle ne se laisserait aller. Très souvent elle avait réussi à refouler sa tristesse et était venue la déverser sur ce lit.
Elle tourna la tête vers la grande fenêtre vitrée, de façon à être dos à la porte, qu'elle avait soigneusement verrouillée. Si elle poussait les deux vitres qui servaient de fenêtre, elle débouchait sur un petit balcon. Sa chambre étant au deuxième étage du manoir, elle avait une vue magnifique sur l'arrière de la sombre bâtisse qui lui servait de maison. Sur les côtés, s'offraient une magnifique forêt d'épinette et la cour débouchait sur une falaise, qui laissait apparaître la mer, un peu plus bas. Cette mer, combien de fois elle l'avait regardé, en pensant à lui? Le ciel était gris, ne présageant rien de très bon. Le silence et la lourde atmosphère la rendait mélancolique. Une larme vint embrasser sa peau de pêche, pour atterrir sur le matelas.
Un oiseau passa devant le mur vitré, un ver au bec. Étant enfant, elle avait toujours voulu voler comme un oiseau. La première personne à l'avoir aidé à réaliser se rêve c'était lui. Mais toutes ses illusions avait disparu en même temps que lui.
Elle en voulait au monde entier. Au moment où pour une fois, quelqu'un l'appréciait pour plus que son corps. Elle avait toujours été cynique avec ceux qui avait osé se frotter à elle. Ceux de qui elle s'était entouré n'était que de pauvres pervers ou simplement des filles qui la jalousait. Puis un jour, elle l'avait vu. Tranquillement, l'amour l'avait emporté sur l'amitié. Tant de choses tendres et douces il lui avait fait découvrir. Pour la première fois de sa vie, elle comprenait vraiment ce qu'était l'amour. Mais à peine avait-elle goûté aux fruits de cet amour, qu'on lui retirait. Sans un mot, il avait disparut de sa vie, sans qu'elle n'eut la moindre explication, le moindre adieux.
Elle ferma ses paupières pour empêcher les larmes de monter. Elle les réouvrit et recroisa son image dans le miroir qui semblait la narguer. Ses yeux étaient maintenant vide d'émotion, ayant perdu toute leur vivacité, tout leur charme.
Pendant des jours et des jours, elle était restée enfermée, à essayer de comprendre, à chercher un sens à ce qui était arrivé. Elle avait pleurer toute sa rage, mais rien ne pouvait la soulager de la souffrance qui l'habitait. Cela faisait près d'un an et demi et toujours elle vivait avec les fantômes qui l'habitaient. Après son départ, elle avait briser tous les liens qu'elle entretenait et s'était retrouvé dans sa solitude. Elle était encore la plus respecté, mais personne ne voulait se heurter à elle. Plusieurs la craignaient et d'autres étaient sous l'emprise de sa beauté. Mais elle s'en contrefichait. Tout ce qu'elle voulait, c'était lui, et maintenant, il n'était plus là.
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Bon alors je crois avoir réussi à camper mon personnage. L'histoire en tant que telle commence au prochain chapitre...qui est déjà écrit, mais qui sera pas publier si j'ai pas de reviews...c'est simple! So à vous de choisir si vous voulez que je vous donne la suite qui est écrit en bonne partie. Plus re reviews, plus viete elle arrive!
