Disclaimer : Cette FanFiction ne vient pas de moi, elle vient de Xi-Ku, même si j'ai enlevé des fautes d'orthographe, (enlevez les espaces !): xi-ku. skyrock. com


Devant le rayons céréales, Izaya fulminait,. Entre ces doigts était froissée un petit bout de papier, ont pouvait y lire la liste des courses.

'' Maman , il fait peur le monsieur.'' L'enfant le montra du doigt.
'' Ne le regarde pas, mon chéri. '' Elle attrapa son enfant et partit du rayon.

« Shizuo, tu est mort quand je reviendrais. » Izaya jeta le papier par terre et l'écrasa sous sa semelle, sans oublier pour autant son rire psychopathe. Parce qu'on pouvait le dire : Izaya est un psychopathe. Et c'est sûrement ça qui a plût à Shizuo. Izaya était le seul que ne le voyait pas comme un monstre, enfin, il le voyait comme un monstre mais n'avait pas peur de lui. Et il avait des fesses... Hum Hum !

Oui, Shizuo aimait beaucoup les fesses d'Izaya. Ce qu'il se permettait bien de lui faire comprendre. Car savez-vous combien de fois Izaya s'est révélé être sous les caresses qu'il lui procurait ? Toute les nuits !

Izaya tandis le bras vers une conserve. Shizuo lui avait demandé de faire les courses après son ''boulot''. Ce qu'il détestait le plus au monde. Pas qu'il n'aimait pas voir les humains dans leurs vie quotidienne, mais ce qu'il n'appréciait pas c'est que la demande de son amant ressemblait plus à un ordre qu'à autre chose.

Il sortit du magasin. Sortant une glace de son sac et se l'enfournant dans la bouche, il se remit à réfléchir. « C'est vrai, quand ce moment, Shizu-chan prend son pied. Déjà, hier, il ma demandé de faire le lit ! Faire le lit ! Je suis pas une femme au foyer, merde ! » Il sortit la glace de sa bouche et lécha les gouttes qui glissait sur le bâtonnet. Il remarqua alors la forme provocatrice qu'elle avait. « Pas aussi grosse que celle de mon Shizu-chan. » Se dit-il, fier de son amant.

La porte s'ouvrit d'un seul coup devant lui. Devant lui, Shizuo nu avec un pantalon de pyjama et une serviette sur la tête se présentait. Izaya oublia alors ce dont il parlait . Il avait en fait, une parfaite vue sur le torse de son ''amour''. Il avait beau l'avoir vu plus d'une fois dans cette accoutrement, ses abdos lui faisait toujours le même effet.

Izaya poussa son amant du passage et jeta son sac de course sur la commode à côté de l'entrée, avant de se jeter sur Shizuo. Sa bouche pulpeuse prenant possession d'un des boutons de chair de son amant, il l'emmena petit à petit dans la chambre.