Coucou ! C'est ma première histoire sur Twilight et j'espère vraiment qu'elle va vous plaire =) !
Le couple principale : Embry/Lana
Ps 1 : Le résumé et titre sont temporaire et peuvent être changé. Aussi ce chapitre est un peu court, les autres tâcheront d'être plus longs et plus développés.
Ps : je cherche une bêta, si quelqu'un est intéressé(e ).
Voilà bonne lecture ! ^^
Lorsque Lana fut petite, souvent elle rêva d'un endroit qu'elle qualifiait de magique, merveilleux et fantastique. Ici tout était gigantesque et paraissait possible à la petite fille qui n'eut à l'époque que six petits printemps. Jamais elle n'eut posait un pied dans ce vaste endroit, et pourtant elle le savait, ici ces rêves les plus fous lui seraient réalisables. L'Université d'Oxford, Lana n'avait que six ans et déjà elle voulait y être admise, y étudiait et y faire de grandes choses. Les meilleurs écrivains, compositeurs, scientifiques, économistes, politiciens… Les plus grands passaient par ce chemin. Alors elle étudia et cela porta ses fruits elle intégra un établissement privé avec une bourse et obtint son diplôme avec avance. À tout juste seize ans les portes de l'Université s'ouvraient à elle. Bien sûr la vie n'est pas un long fleuve tranquille, tout ne peut être parfait en tout point. Elle ne voyait son père et son frère que durant les vacances scolaires. Alors, que fleurissait en tout lieu l'été, Lana arrivait dans son village natale La Push.
- Te voilà enfin Lana ! J't'attends depuis déjà une heure ! Lui reprocha Paul son frère aîné.
Elle lui fit un sourire auquel il répondit vivement par une accolade fraternelle bien que légèrement brusque. Lana s'empressa de monter dans la voiture, pressée de revoir son père et ses amis d'enfance. Les rêves ont toujours un prix à payer mais elle savait que cela valait le coup. Paul n'eut jamais accepté que sa petite sœur s'éloigne et d'un naturel coléreux et impulsif il ne parvenait pas à s'empêcher de le lui reprocher à longueur de temps.
- Ce que tu es fatigante bon sang ! J'ai l'impression que tu vas exploser, se plaignit-il.
- Je suis si heureuse ma vie est… wow je n'y crois pas je vais aller à Oxford ! Tu te rends compte ! S'exclama-t-elle enthousiaste. OX-FORD !
- Moi qui pensais que tu étais contente de nous revoir.
- Je le suis, idiot ! Répondit-elle joyeusement en lui donnant une tape.
Il lui adressa un regard des plus noir. Lana ? Elle s'en fichait, son frère elle l'aimait et ce fut réciproque. Bien sûre jamais ils ne se l'avoueraient et leur caractère antagonistes leur valaient bien quelques disputes par moment.
- Mon Dieu, est-ce bien Quil que je vois ? Demanda-t-elle ébahit. Dans mon dernier souvenir il n'était pas si musclé !
- J'ai toujours su que tu étais amoureuse de lui, mais laisse tombé il ne sera jamais pour toi, dit sèchement Paul sous-entendant qu'il fut imprégné de Claire.
- Deux choses Paul, premièrement je ne suis pas amoureuse de Quil ! C'est un de mes meilleurs amis, voilà tout. Deuxièmement je peux avoir tous les garçons que je veux qu'est-ce que tu crois ? Je… je plais à certaines personnes ! Se justifia-t-elle offusquée.
- Ah oui ?
- Tout à fait, je suis très courtisée par de beaux garçons qui plus est intelligents, brillants et même amusants.
- C'est pour ça que tu n'as jamais embrassé aucun garçon, j'ai compris ! Tu es si « courtisée » comme tu le dis si noblement, que le choix du garçon est trop difficile, s'esclaffa-t-il.
Elle ne pu répondre car il arrêta la voiture et Quil ouvrit vivement la porte de Lana. Lorsqu'elle fut debout, il la tira vers lui et l'enlaça. Il était devenu vraiment charmant, elle n'en cru pas ses yeux. Le contacte de sa peau la surpris, tant il fut brûlant. Tout comme son frère il devait au moins dépassé les 40°c de température corporelle. Était-ce quelque chose de propre aux mâle Amérindiens ? N'importe quoi.
- Quil tu… je n'arrive pas à croire que tu es tant changé en si peu de temps, déclara-t-elle vivement.
- Toi tu es toujours aussi moche, se moqua-t-il. Mais j'apprécie le compliment !
Un sourire franc et amicale se dessina sur les lèvres de Lana, en réalité il n'avait pas changé. Quil restait Quil et ceux pour longtemps encore. Elle se souvenait d'ailleurs de ces dernières vacances ici, (deux semaines durant lesquelles elle fut malade et ne put sortir) il était si déprimé que ses deux amis Jacob et Embry s'éloignent de lui. Aujourd'hui la situation dut s'être arrangée tant il paraissait heureux. Ils parlèrent sur le chemin elle, lui et Paul. Elle pensa brièvement qu'en effet peu pouvait suffire à être heureux. Elle oublia bien vite cette absurdité si vide sens, s'il en fallait peu pour être heureux les bancs d'Harvard, Cambridge, Yale, Oxford, St Andrews… ne seraient pas tant remplis. Lana passa l'après-midi avec son père puis alla se reposer après ce long et épuisant voyage.
LE LENDEMAIN :
Alors qu'elle aller rejoindre Quil à la falaise rendez-vous qu'il lui avait donné hier soir elle rencontra la douce Léah.
- Le petit génie est de retour, hein ? Dit-elle froidement.
- Ne doute pas que je sois ravie de te revoir mais il faut que j'aille rejoindre Quil, répondit poliment Lana.
- N'espère pas qu'il s'emmourache de toi ma pauvre, si tu savais… ricana-t-elle. On dirait que toi est moi on va être dans le même bateau, une histoire lamentablement similaire à cause de crétins et de stupidités ancestrales.
Son visage s'était assombrit. Lana ne comprenait pas trop ce qu'elle tentait de lui dire mais elle éprouva grande compassion pour elle. Elle et Sam partageait un amour jusque là pur et sincère quand soudain il s'est épris pour une raison étrange de sa cousine Emily. On se serait crut dans une tragédie grec donc Léah serait l'héroïne. Lana salua gentiment Léah puis alla rejoindre son ami à la falaise. Il ne fut pas seul. Paul, Sam, Jacob, Seth et Embry furent aussi présent.
- Je n'en crois pas mes yeux, vous êtes tous si… elle ne finit pas sa phrase.
- Beau ? Suggéra Seth en riant.
Jacob ébouriffa les cheveux de ce dernier en riant, tandis qu'elle lui fit un sourire chaleureux. Elle croisa ensuite le regard d'Embry qui la fixa intensément ce qui l'a fit rougir instantanément. Elle détourna immédiatement son attention vers son frère qui lui semblait regarder furieusement Embry.
- Ne me dis pas que tu… ? S'énerva Paul.
- Ça suffit Paul ! Ça ne se contrôle pas et je suis bien placé pour le savoir, rétorqua Sam.
Pour une raison qu'elle ignora Lana se sentit incroyablement mal à l'aise et aurait tout donné pour être ailleurs. Son vœux fut entendu puisque pour faire diversion Quil trouva bon de courir vers elle et sauter de la falaise à ses côtés. Elle avait toujours eu peur de cela et cria de toutes ses forces. La chute ne dura que quelques secondes, mais cela lui parut être une éternité. Elle ferma les yeux de toute ces forces se laissant violemment atterrir dans la mer. Elle mis la tête hors de l'eau tout comme lui et aperçu les autres les fixer d'en haut. Ils arrivèrent assez vite et Sam regarda furieusement Quil.
- Fais pas la tête Lana ! Avoue que c'était drôle quand même !
Avez-vous peur des araignées ? Imaginez être poussé vivant dans un cercueil remplit de ces sales bestioles. Voilà ce qu'elle avait ressentit. Alors faire la tête ? Oui, et elle était en droit de le faire.
- Est-ce que ça va ? Demanda Embry inquiet.
Lana sortit de l'eau tant bien que mal suivit de Quil. Son cœur battait à une vitesse incroyable, elle avait été poussé d'une falaise bon sang ! UNE FALAISE. Elle touchait du bout des doigts son rêve de petite fille et elle avait frôlé l'arrêt cardiaque. Elle avait faillit mourir deux mois avant l'extase suprême, le bonheur à l'état pur, elle ne pouvait pas mourir avant d'être entrée au moins une fois dans la faculté de ses rêves. Elle fusilla Quil du regard.
- Lana, tu devrais rentrer, suggéra Paul.
- Tu as raison, en plus je meurs de froid maintenant.
Elle adressa à nouveau un regard noir à Quil puis s'en alla rageusement. Ils attendirent qu'elle parte pour enfin parler librement.
- Je crois qu'elle risque de m'en vouloir longtemps, en même temps il fallait bien faire diversion, se justifia Quil.
- Manquer de la tuer c'est en effet une diversion plus que convaincante, ria Jacob.
- Le problème n'est pas là ! Sur des milliards de filles il a fallut qu'il s'imprègne de MA petite sœur !
- Paul ! On ne choisit pas, arrête ça ! Dit Sam agacé.
Embry bouleversé resta silencieux. Que pouvait-il dire ? Que pouvait-il faire ? S'imprégner de la sœur de Paul était probablement la pire chose qu'il est pu lui arrivait. Mais Lana était si belle selon lui. Lorsque ses yeux bruns l'avaient regardé c'est comme si la terre s'était arrêtée de tourner. Plus personne n'existait c'était juste elle. Lana, l'intelligente, la jolie, l'amusante, la délicieuse petite sœur de ce satané Paul ! Comment n'avait-il pas remarqué la douce symphonie de son rire plutôt ? Il avait besoin de la voir, de la toucher, d'être avec elle.
Merci bien !
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