Résumé: Il s'agit d'un drabble. Kanda apprend grâce à une lettre les conséquences d'avoir brisé un cœur.

Disclaimer: Les personnages ne m'appartiennent pas … C'est dommage, j'aurai bien aimé avoir Kanda …

Note: J'espère que vous allez apprécier ce drabble déprimant. Bonne lecture.

Edit 07/2016: J'ai voulu corriger les fautes mais étant trop déprimant je l'ai fait en diagonale, signalé moi s'il reste des grosses fautes. J'ai modifié par rapport au review aussi, en espérant ne pas avoir trop modifié :)


Un cœur brisé

«Nos missions nous on séparées, nous qui étions pourtant inséparable. Je partais en mission lorsque tu rentrais et vice versa. Voilà ce que cela a donné, tu ne me remarque plus. J'ai l'impression de ne plus exister pour toi. Tous les habitants de la Congrégation me disent que ce n'est pas le cas, l'alcool m'a permis de croire en cela. On faisait la fête, j'avais un peu trop abusé sur le whisky coca, je t'ai avoué mon amour et tu me rejetais devant tout le monde, je me sentis honteuse. Tout le monde faisait semblant de rien mais ne parlais que de toi. Il ressassait tous des souvenir douloureux, des souvenir que j'aimerai oublier car ils parlaient de toi. Lorsque l'on c'était revu peu de temps après, tu m'avais dit bonjour et ne m'avais plus adressé un mot. Cela m'avait fait mal car je restais pour toi malgré la présence d'une personne que je détestais. Et toi, tu prenais toutes les filles de la Congrégation qui passait à côté de toi dans tes bras, tu rigolais avec ma meilleure amie, Lenalee, qui comme l'idiote qu'elle était a enfoncé le couteau dans la plaie « Tu as vu, il prend toutes les filles dans ses bras». Je sais que tu ne faisais cela qu'en ma présence, pour me faire comprendre de passer à autre chose. Mais tu ne me faisais souffrir et rien d'autre. Mes larmes coulaient, personnes ne le remarquer, c'est pour cela que lorsque tu liras cette courte lettre, je ne serai plus de ce monde. Je préfère en finir, je n'ai plus la force de sourire, je n'ai plus la force de faire semblant, je n'ai que la force d'en finir. Je te dis ses derniers mots dans ta langue natale, ce sera les derniers mots que j'aurai dit lorsque vous me trouverez en bas de la falaise. Sayonara, gomen. Ai shiteru. »