Bonjour, bonjour !
Alors, tout d'abord, je tenais à dire que cet OS m'avait été inspiré par le générateur de fanfiction "Bang-Bang Cul-Cul" de Dupond-et-Dupont ( http:#/#/archiveofourown.#org/works/4271400 enlevez les # ). Mais, comme je n'aime pas écrire des slash, et que j'ai tenu à garder une certaine liberté dans l'écriture, je me suis permise de corriger certains trucs. Et d'en enlever d'autres. Voilà.
Mais donc, avant tout, cet OS m'a été inspiré par ce générateur qui m'a bien fait rire. Et il n'est pas à exclure (voire il est fort probable) que j'en reposte d'autres dans le même genre par la suite.
Je tiens aussi à vous prévenir, c'est que le rating M n'est pas là pour rien. C'est même la composante essentielle de cet OS.
Bref, je vous laisse avec la description de ce que le générateur modifié par mes soins m'a apporté, et je vous souhaite une bonne lecture par la suite. Je vous retrouve juste en bas !
Personnage A : Ronald Weasley.
Personnage B : Minerva McGonagall.
Ooc ? : L'un des protagonistes est en réalité libéré sexuellement depuis des années et s'est tapé tout Poudlard, étudiants et professeurs confondus. Même Rusard. Si si.
Contexte : L'un de vos personnages se masturbe en pensant à l'être aimé, et alors qu'il atteint la jouissance, il crie son nom. C'est à ce moment que le dénommé débarque et décide aussitôt de participer à la partie. L'autre n'est que trop heureux de remettre le couvert, à deux cette fois…
Lieu : Un couloir de Poudlard. Un endroit idéal, à ne pas en douter.
Fin : Le/la meilleur(e) ami(e) de l'un des protagonistes débarque. Nonobstant que les deux soient à poils et recouverts de semence, il/elle accepte aussitôt ce nouvel amour. Awww.
La très respectable professeur de Métamorphose, Minerva McGonagall, était très secrète quant à sa vie privée. Jamais elle n'a livré le moindre indice sur sa famille, sur le type d'homme ou de femme qui lui plaisait, ou même sur sa couleur favorite. Quoique pour ce dernier point, le rouge devait sans doute être dans les favoris.
Pourtant, malgré toute cette dissimulation, l'honorable directrice de la maison Gryffondor était une femme charmante, qui méritait d'être connue. Elle avait des centres d'intérêts tout à fait intéressants, une conversation loin d'être ennuyeuse, et un goût particulier au niveau des hommes qu'elle aimait. A présent qu'elle était directrice de Poudlard, suite au regretté décès de feu Albus Dumbledore, l'écossaise avait plus de temps libre qu'elle n'en avait jamais eu.
C'était déroutant, d'avoir autant de temps pour soi, et de ne savoir qu'en faire. Depuis que la reconstruction de Poudlard était terminée, depuis que les choses roulaient à merveille sous sa direction, elle s'était longtemps cherché un passe-temps. Elle avait bien essayé de collectionner les sucreries moldues, comme son prédécesseur, mais elle n'avait guère tenu plus de deux jours. Elle avait aussi essayé la lecture de tout ce qui lui passait sous la main, à l'instar de son ancienne élève, Hermione Granger. Mais elle avait abandonné au bout de trois pages sur le traité des conventions sociales observées chez les elfes de maison au XVIème siècle.
A force de chercher quoi faire, la directrice de l'école de magie de Grande-Bretagne avait fini par s'abandonner à ses rêveries. Si elles étaient d'abord innocentes, et qu'elle fantasmait sur le style de vie qu'elle aurait pu avoir si elle n'avait pas décidé de devenir professeur, elles avaient vite dérivées. Elles étaient devenues plus… intimes. Seule, dans son grand bureau, elle s'était mise à imaginer son homme idéal. Très vite, ses pensées étaient encombrées de cette silhouette athlétique qui n'avait pas de visage. Ses rêves, la nuit, étaient de plus en plus chauds, de plus en plus osés. Mais ça ne restait que des rêves.
Pourtant, au fil du temps, l'envie de retrouver ces sensations orgasmiques et oniriques l'avait titillée. Elle profitait parfois de trouver une salle de classe vide pour s'initier à cette pratique qu'elle avait longtemps tenu pour « sale » et « gênante ». Au fur et à mesure qu'elle progressait, son fantasme prenait forme. Après la silhouette sportive de son homme idéal était venu son style vestimentaire (surtout lorsqu'elle s'imaginait qu'il lui offrait un striptease époustouflant). Puis, alors qu'elle fantasmait sur un homme svelte et musclé, engoncé dans l'uniforme de la maison Gryffondor, il est apparu très vite qu'elle avait un faible pour la couleur de cheveux rousse. Et, peu à peu, son fantasme a pris corps, et elle a retrouvé l'un de ses anciens élèves dans le portrait dressé mentalement.
Elle se sentait coupable. Il était bien plus jeune qu'elle, et n'avait sans doute aucune idée de la place qu'il tenait dans les rêveries de son ancienne professeur de métamorphose. Mais malgré cette culpabilité, l'écossaise ne pouvait s'empêcher de se documenter sur ce qu'il devenait. Apprendre qu'il était toujours célibataire fut hautement érotique. Tellement qu'elle ressentait de plus en plus souvent l'envie de se faire plaisir en pensant à lui.
Et c'est ainsi qu'une nuit, alors que la respectable directrice remontait à son bureau, elle fut prise d'une envie subite. Personne ne traînait plus dans les couloirs à cette heure-ci. Les élèves dormaient, les professeurs aussi, et les fantômes faisaient Merlin savait quoi, Merlin savait où. Se mordillant la lèvre avec anxiété, mais aussi avec impatience, l'ancienne Gryffondor s'adossa à côté d'une armure, dans un renfoncement du couloir. Ses doigts agiles trouvèrent aisément une faille dans sa tenue, s'infiltrant souplement sous sa robe de sorcière et sa jupe écossaise.
Son souffle se fit rapidement plus lourd, alors qu'elle glissait la pulpe de ses doigts sous l'élastique de sa culotte, et qu'elle massa son intimité déjà moite. Fermant les yeux, l'animagus se laissa aller à sn fantasme, imaginant la stature athlétique de son ancien élève. Elle haletait presque quand, dans son fantasme, il finissait son striptease et venait la plaquer avec autorité contre le mur. Ses doigts s'agitaient plus rapidement contre sa perle intime, alors que sa culotte était de plus en plus trempée. Minerva McGonagall avait peut-être soixante-quinze ans, mais elle était aussi excitée qu'une jeune fille en fleur. Elle n'était pas innocente non plus, et son savoir-faire s'était d'ailleurs beaucoup plus développé durant ces derniers mois que dans toute sa vie.
Alors que son fantasme atteignait le point critique, au moment où l'ancien Gryffondor la pénétrait activement, et avec une fougue impétueuse, l'honorable directrice arriva au point culminant de son plaisir, frottant frénétiquement son clitoris gonflé, glissant deux doigts dans son antre ruisselante. Elle s'arqua contre le mur, électrifiée par la vague de plaisir qui la consuma, et ne put se retenir de gémir le nom de son amant imaginaire.
« Oh, oui, Ronald ! »
La tête renversée contre le mur, l'ancienne professeur de métamorphose sentait ses jambes qui devenaient flageolante. Pourtant, malgré son état échevelé et tremblant, elle se ressaisit immédiatement au son de la lourde respiration qui résonna soudain non loin d'elle, suivit d'un bruit sourd, comme lorsque quelqu'un se rejetait brusquement contre un mur pour ne pas être vu. Elle n'eut cependant pas à attendre longtemps pour que le propriétaire de ce souffle se montre. Elle n'avait même pas eu le temps de saisir sa baguette, encore embrumée de son plaisir solitaire.
« Oh professeur, depuis le temps que j'en rêve, marmonna l'arrivant d'une voix rauque.
— Mr Weasley ? s'étonna alors l'écossaise en laissant retomber sa main contre le mur. »
Elle était à mi-chemin entre la honte de s'être fait surprendre par l'acteur principal de ses fantasmes, et l'excitation de le voir aussi… réceptif à ce qu'il venait de voir et d'entendre.
« Vous n'imaginez même pas l'ampleur de mon désir, professeur, gronda le rouquin en s'approchant de plus belle. Toutes ces années, j'ai attendu. J'ai pris mon mal en patience, gagnant en expérience pour vous plaire. Toutes ces années, soupira-t-il en arrivant contre elle, enfouissant son nez dans son cou. »
L'ancienne professeur de métamorphose ne savait pas trop comment réagir. Une partie d'elle était secrètement ravie de ces aveux, alors qu'une autre lui enjoignait de le repousser, que ce n'était pas moralement acceptable. Mais quand les lèvres de l'ancien Gryffondor suçotèrent la peau tendre de son cou, toutes les objections que pouvait avoir la conscience de l'animagus s'évanouirent.
« Oh, Ronald, soupira-t-elle en venant l'agripper par la nuque. »
Elle l'embrassa avec tant de ferveur que le rouquin se plaqua contre elle, lui faisant deviner son érection d'une taille impressionnante en la frottant contre sa cuisse. Il commença par laisser ses mains explorer le corps vénérable de la directrice au travers de sa robe de sorcière. Mais, bien vite, il perdit patience et la retroussa sur sa taille, de même que la jupe écossaise. Minerva hoqueta de surprise et de plaisir tandis qu'il arrachait sans ménagement sa culotte trempée, venant glisser ses doigts épais contre sa fente encore gonflée et sensible.
Ne désirant pas être en reste, elle fit descendre ses mains le long de son dos, le griffant avec ferveur alors qu'il explorait son intimité rougie, jusqu'à arriver à la ceinture qui maintenait le jean sur ses hanches étroites. Elle batailla quelque peu, n'étant pas habituée à ces frusques moldues, mais finalement, elle réussit à la déboucler et fit glisser le vêtement sur les cuisses de son ancien élève.
Mordillant ses lèvres, le Weasley ne tarda pas à faire dériver sa bouche avide contre l'oreille de la directrice, lui susurrant des cochonneries hautement érotiques, faisant frissonner l'écossaise d'impatience. Il avoua avoir emmagasiné pas mal d'expérience afin d'être à sa hauteur, dévoilant sans complexe qu'il n'avait pas hésité à flirter et à séduire chaque femme du château. D'un rire rauque, elle finit par réussir à libérer l'imposante baguette de chair de son ancien élève, faisant descendre le caleçon sur ses cuisses. Il se frotta à elle, agitant toujours ses doigts dans son antre humide, afin de faire glisser les vêtements plus bas, jusqu'à ce qu'ils lui tombent sur les chevilles.
« Je vous veux, professeur, finit-il par lâcher d'un ton pressant et qui ne laissait pas de place à la protestation. »
Sans plus attendre, il arrêta ses sollicitations digitales pour saisir la directrice par les hanches, et la plaquer plus haut sur le mur. Elle entoura ses hanches de ses cuisses, encore agile pour son âge, et il la pénétra alors avec vigueur, se frayant aisément un passage dans cette inimité lubrifiée quoiqu'étonnement étroite.
« Plus fort, commanda alors Minerva, plantant ses ongles dans les épaules de Ron, contractant ses muscles pour répondre à ses coups de reins. »
Il obéit, et il la pilonnait à présent avec force, haletant et grognant sous le plaisir qui irradiait son corps. Dans la fièvre qui le saisit, il poussa même le vice jusqu'à venir mordre la peau tendre du cou de l'animagus, finissant par lui faire une belle marque, un beau suçon à arborer. Il releva la tête, un sourire pervers déformant ses lèvres.
« Vous n'imaginez même pas tout ce que j'ai toujours eu envie de vous faire, professeur, gronda-t-il en poussant rapidement, faisant claquer ses hanches contre les cuisses écartées de l'écossaise.
— Alors montrez-moi, Ronald, répondit la concernée dans un soupir rauque, entrant sans complexe dans le fantasme qui agitait son ancien étudiant. »
Avec un rictus sournois, le lion se retira soudainement, faisant gémir son amante de frustration.
« A quatre pattes, ordonna-t-il d'une voix sourde, en se délestant de son jean et de son caleçon qui étaient restés sur ses chevilles. »
Attrapant sa baguette rapidement, il les déshabilla totalement d'un simple mouvement, avant de la laisser tomber sur le sol dallé. Sa large main enveloppa son sexe alors qu'il s'écartait de la directrice et l'observait se mettre en position. Il serrait sa chair enflammée avec ardeur et sa main faisait de rapides allers-et-retours sur la rigidité mâle. Quand il jugea que c'était bon, que Minerva était assez cambrée pour lui, il s'agenouilla derrière elle et revint investir son antre rougie, faisant claquer son bassin contre ses fesses. Elle gémissait sans retenue, certaine que personne ne les entendrait. Tout le monde dormait à cette heure après tout. Enfin, normalement.
Après dix minutes d'intenses coups de reins, le rouquin n'en pouvait plus. Rouge, il haletait autant que sa compagne. Mais son regard brillait toujours de cette concupiscence avide alors qu'il besognait son ancienne professeur. Cette dernière se cambra brusquement, le plaisir dévastateur de l'orgasme déferlant dans son corps mûr, alors qu'il agrippait ses hanches avec force.
« Pour votre âge, vous êtes encore endurante, professeur, félicita-t-il d'un un grognement, avant de s'extraire totalement de son intimité bouillante. »
Il se plaça devant elle, insolemment, alors qu'il lui ordonnait de ne pas bouger.
« J'ai toujours voulu faire ça, lui confia-t-il en venant se masturber au-dessus de son visage. »
Il l'observait avec passion, avec que sa main s'agitait frénétiquement sur sa virilité tendue. Minerva observait avec un désir avide le gland violacé qui suintait devant elle, jusqu'à ce qu'il finisse par se lâcher avec un grognement rauque. Plusieurs jets de semence atterrirent sur le visage de l'écossaise qui avait relevé ses prunelles vers le visage contracté de plaisir du rouquin. Elle-même avait jouit, quelques instants plus tôt, alors qu'il la prenait avec force. Et voir ce même plaisir sur les traits de son fantasme, c'était indescriptible.
Haletant, Ron s'adossa finalement contre le mur, sa main caressant presque paresseusement sa vigueur mâle qui -lentement- perdait de sa dureté. Il souriait, une expression apaisée détendant ses traits. Minerva s'assit sur ses talons, léchant ses lèvres avec une félicité semblable à la sienne.
« J'avais tellement envie de vous, professeur, soupira l'homme avec un sourire comblé. Je ne serais pas contre reproduire ça, si vous le voulez bien. »
La directrice allait acquiescer, toute velléité de protestation de la part de sa conscience ayant disparu avec l'orgasme fulgurant qu'il venait de lui prodiguer, quand un bruit de course lui fit dresser l'oreille.
« Ron ! Ah, tu es là. Oh, bonjour professeur. Euh. Kingsley attend dans votre bureau professeur. Ron, j'suis fier de toi mec, je savais bien que tu finirais par y arriver. »
Sous les yeux éberlués de l'animagus, Harry Potter venait de débarquer. Après un temps de flottement, où il avait laissé son regard alterner de l'un à l'autre dans un état de confusion intense, il s'était vite reprit et ses yeux avaient brillés de malice. A présent, il posait ses prunelles émeraude sur l'écossaise avec un soupçon d'amusement, mais nulle trace de jugement.
« Vous venez ? Kingsley était plutôt impatient quand on est arrivés. Heureusement que j'avais la carte des maraudeurs pour vous retrouver. »
Bon, voilà. J'espère que ça vous a plu, que ça vous a fait rire ou sourire et que vous ne pensez pas avoir perdu votre temps :)
A bientôt pour un prochain OS (je peux d'ors et déjà vous dire le pairing, il s'agit de Rodolphus Lestrange et de Poppy Pomfresh) !
