7 septembre 1859 :
Je décide d'écrire ce journal. Pourquoi ? J'ai tant de chose à dire….Cela fait maintenant un mois que je désespère. Un mois de faiblesse et de démence, un mois d'emprisonnement, attendant le verdict dû aux pirates. Pirates, je l'ai ét j'ai connue la vie, la mort, parfois même les deux réunis, et c'est ainsi, pirate, que je mourrais. . Pourquoi les juges prennent t'ils autan de temps pour me punir ? La pendaison sera sûrement la fin de cet emprisonnement. D'après les dires du gardien, je serais présentée aux juges aujourd'hui… C'est pour cela que je décide d'écrire. Ecrire les annales de ma vie peu banale, raconter mes aventures…et Jack…Et Jack…
Qui sais ? Peu être qu'un jour, quelqu'un trouvera ce journal… Après …Mais je n'ai pas peur. Au contraire. Je suis sereine, de la sérénité des personnes âgées attendant leur inévitable sort. J'attends. J'attends du haut de mes 57 ans. Mais je dois revenir sur ce que j'ai dit au début. Mon passé. Mon terrible et merveilleux passé, plein d'aventures, de vols et d'abordages. Mon passé de pirate.
Shannon retrempa sa plume dans son encrier, et refis glisser son stylet sur les pages beige de son cahier. Elle soupira et regarda les murs de pierre de sa cellule.
Je n'ai pas toujours été pirate. Il ut un temps où mon visage n'avais pas le teint bruni par le soleil, un temps ou mes mains n'avaient pas la moindre trace du moindre travail physique. Il ut un temps où je vivait dans le luxe des grandes maisons victoriennes. Il ut un temps où je m'appelais Victoria Norrigton. La fille du Commodore. Cela peut vous paraître étrange qu'un homme comme lui puisse avoir la moindre épouse. Et pourtant. Il avait enfin trouvé son épouse parfaite. Non pas Elisabeth Swann comme certains pourrait le penser, mais bien quelqu'un d'autre. Elle répondait sous le nom d'Alexandra Mckinley, écossaise d'origine. Mais je ne connais rien d'elle. Elle est morte quelque temps après ma naissance.
Quelqu'un actionna le verrou de la lourde porte de barreaux surprise, Shannon fit tomber sa plume. Elle se baissa et le ramassa.
« J'en ais marre de toute cette crasse… »Pensa t'elle. Puis, au prix d'un léger mal de dos, elle se releva et fit face à l'homme qui venait d'entrer.
« Venez, »lui dit il
Elle le suivi.
La femme fut remise dans sa cellule quelques heures plus tard. Les traits de son visage ne reflétés plus la moindre expression. Elle ferma les yeux et s'allongea sur sa couchette.
18 septembre 1859 :
J'ai été présenté aux juges hier. Je sais maintenant ma sentence. Je l'avais toujours sus. Même lors de ma prime jeunesse.
Verdict : pendue haut et court jusqu'a se que mort s'ensuive. Telles furent les paroles des juges. Et pourtant…je n'ai pas peur…Comment pourrai je avoir peur de quelque chose que je ne connais pas ?
Maintenant que je pense à ça, je ne peux pas m'empêcher de penser à Jack. Jack…..Il survécut à trois pendaison, le bougre….Et c'est dans une pendaison justement qu'il m'as connue…et qu'il à fait de moi ce que je suis aujourd'hui !
En effet, lors d'une de ses pendaisons, son équipage est intervenu se jetant dans le publique dans lequel je faisais partie, ses hommes l'arrachèrent à la corde qui s'était déjà enroulée autour de sa gorge. Sparrow, libéré, récupéra son épée et fit face aux gardes. Bien qu'ils étaient quatre aux coté de Jack, le surnombre allait bientôt avoir raison d'eux.
Soudain, Sparrow cria :
- UN OTAGE ! IL NOUS FAUT UN OTAGE !
Une femme noire (que plus tard je connaîtrait sous le non d'Anna maria) s'approcha de moi en pointant son arme sur ma tête. Terrifiée, j'attrapai la main de mon père commodore en la serrant de toutes mes forces.
-Viens. Dit elle doucement. LACHEZ LA ! Cria t'elle ensuite a mon père.
Je senti sa main trembler, mais il ne me lâcha pas.
La femme tira une balle en l'air. Puis, lentement, je sentis sa main se desserrer.
Sparrow m'attrapa violement le bras puis, il posa son arme sur ma tempe. Je tremblais.
« NE TIREZ PAS ! »Cria mon père aux soldats. Puis, il se tourna vers le pirate.
-Laissez la partir.
Jack lui rendit un grand sourire.
-Et non, dommage.
-Que voulez vous ?
-Juste m'enfuir de Port Royal sans vos putains de soldats à mes basques.
Mon père sera les dents, comme si il été opposé à un grave dilemme.
-C'est d'accord.
-Très bien !
Sparrow commença prudemment à marcher à reculons, suivi de sa bande, son arme toujours sur moi. Puis, ils se mirent tous à courir en me tirant violement. Je dus les suivre. Les gardes pointèrent leurs armes sur nous.
« NON ! Cria mon père. ILS ONT MA FILLE ! POURSUIVEZ LES ! »
Ils s'élancèrent. Quand à moi, je me jugeai perdue. Les pirates se jetèrent dans des barques, et se mirent à ramer jusqu'à un navire où des personnes les attendaient .Ils hissèrent les voiles et je vis doucement s'éloigner le rivage, d'où je pouvait encore voire mon père ainsi que ses soldats regarder avec impuissance le Black Pearl s'éloigner vers le large.
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ben voila c'est le premier chapitre (assé cour je c)…mais c aussi ma premier fic alors siouplé soyé indulgent^^et je c ke listoir semele un peu les pinceaux mé bon…
Ben g pu kune chose a dire….reviews ?
