Bonjour !

C'est la première fic que je poste, sur HP (pour ceux qui me suivent sur EC, la suite est en cours d'écriture).

J'espère qu'elle vous plaira et que vous vous embarquerez avec moi. Elle risque d'être assez longue, et je suis en train de l'écrire donc le rythme des updated sera assez variable. Cependant, je peux vous promettre qu'elle ne sera pas abandonnée, je déteste les fics qui sont laissées en cours de route.

On se situe presque seize ans après la guerre. On verra donc passer des personnages existants mais aussi des oc. Je garde l'univers tel quel, et j'essaye d'être la plus fidèle possible au canon (donc spoiler sur les 7 tomes). Le début est peut-être un peu cliché mais il faut bien démarrer quelque part. Je vous laisserai juger.

Je précise également que je suis une grande admiratrice de deux auteures : Ellana-san et Alohomora ("Les cicatrices du temps" et "Les portes" pour leurs fics respectives) et je vous encourage à aller lire leurs écrits qui sont d'une qualité fantastique. J'ai demandé l'autorisation à Alohomora pour me servir de certains éléments qu'elle a pu inventer, je n'ai pas encore eu de réponse, donc si cela s'avérait être négatif, je supprimerai ma fiction.

Rien ne m'appartient (mis à part mes oc), je ne touche pas d'argent, et tout est à JKR. Merci à elle, toujours, pour ce monde.

Si vous voulez m'écrire, je vous lirai avec grand plaisir. J'aime les reviews ;)

Bonne lecture !

-EllyanaZoé

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PS : Ceci est le prologue, il est court. Je publie donc le premier chapitre dès maintenant.

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La première est née des fractures, la suivante des discordes,

Une autre des divisions et celle d'après des guerres,

La dernière est accouchée des hurlements.
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Elles sont l'ultime mise au monde,

Un pan de chair sur les déchirures des magies,

Un pont parmi les gouffres des âmes.
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Elles sont les voix des révoltes,

Des vies sur la ligne du temps,

Les soupirs de cœurs mortels sacrifiés.
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La morte-vivante se mettra en marche à l'aube des silences…

Et la cinquième sera le sang demandé

Du drapeau à élever.
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Ni le bien ni le mal,

Ni l'amour ni la haine,

Ni la conscience des Hommes.

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L'univers ne peut y survivre,

Cinq âmes comme gage

Il sera un jour où les peuples devront s'unir.
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(?) à M, P.E

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