Série :
Ooka : Gundam Wing !
Duo : Désespoir Story.
Ooka : Chut raconte pas tout !
Auteur :
Ooka : La folle qui habite en face du cimetière !
Duo : Véridique. Elle a qu'à traverser la route pour aller jouer avec les tombes.
Ooka : C'est beau la vie !
Genre :
Ooka : POV de Duo !
Duo : Hélas.
Ooka : Un peu de OOC peut être.
Duo : Sûrement.
Ooka : Song fic ! En tout cas, ce chapitre.
Duo : La chanson est de Kyo, c'est « Je saigne encore ».
Ooka : Et puis voilà !
Duo : Tu oublies d'ajouter angst, noir, très noir, désespoir, horreur, détérioration mentale et physique de ma personne,…
Ooka : Des détails tout ça.
Duo : … je vais faire un meurtre là…
Disclaimers :
Ooka : Duo est pas à moi.
Duo : Ce qui ne t'empêche pas de me massacrer.
Ooka : Les autres zigotos non plus d'ailleurs.
Les autres G-boys : Même remarque que celle faite par Duo.
Petit blabla :
Ooka : J'avais envie de faire une fanfic avec cette chanson lol désolée !
Duo : Désolée, tu parles !
Ooka : Tu m'en veux tant que ça ?
Duo : OUI !
Quatre : Il y a de quoi quand même…
Ooka : Snif, bande de méchants ! Je suis une auteuse incomprise !
Wufei : Ca se dit pas « auteuse ».
Ooka : Bin moi je le dis na ! Maintenant, laissez-moi faire le chapitre 01 !
Duo : Qui m'aide à la retenir ?
¤GROS silence¤
Duo : … merci les gars, je m'en souviendrai.
Préambule : Je saigne encore…
Je cours dans la rue. Joyeux. Comme toujours. Je rigole tout seul. Il fait beau. Il fait chaud. L'été est là. Finis les gros pulls d'hiver. Finis les imperméables. Finie la tristesse de la pluie. Finis les sombres nuages qui gâchent la journée. Tout est beau. Aucune raison d'être déprimé. Et pourtant… moi, je le suis. Mais je ne le montre pas. Pas question. Moi, je suis comme le Soldat Parfait. A ma manière. Pas question de montrer mes sentiments. C'est juste que lui il ne montre pas sa gaieté, à supposer que ça lui arrive d'être heureux. Moi, c'est ma tristesse que je refuse d'afficher.
Je continue de courir. Je souris aux gens. Certains me rendent mes sourires. Sympa. Mais j'en ai vite marre et j'arrête. Je me cache à l'ombre des immeubles. C'est bien joli de paraître joyeux… encore faut-il pouvoir le rester longtemps. Moi, je craque. J'en ai assez. Je me dépêche de rentrer chez nous. Enfin « chez nous »… pas exactement. Ca fait longtemps qu'on a plus de vrai « chez nous ». Disons que je retourne plutôt à « la planque du moment ». Un vieil appartement mité dans une citée.
Je rentre, je lance un « Coucou je suis rentré !» et je pose les sacs en plastique sur la table de la cuisine. Je n'entends aucune réponse. Personne ? Ca serait bien. Je n'ai pas envie de jouer les petits rigolos. Je jette un coup d'œil dans le salon. Pas âme qui vive. Même pas la télé. Je soupire. Apparemment, je suis bel et bien seul. Tant mieux. Je vais pouvoir ronchonner tranquillement.
Je me laisse tomber sur le canapé, croise bras et jambes, et fixe l'écran sans vie du téléviseur. J'en ai marre, oui, parfaitement. Pourquoi ? Parce qu'un certain Perfect Soldier me pompe l'air. Et, surtout, parce que j'ai mal.
Mal d'avoir des sentiments.
Mal de devoir les cacher.
Mal de ne pas pouvoir les contrôler.
Mal de savoir que je n'ai pas le droit de les montrer.
Et oui, je n'ai pas le droit de montrer mes sentiments. Ca étonne, hein ? Je l'ai découvert récemment. J'aime quelqu'un. Et c'est pas une simple attirance banale, sexuelle, ou amicale. Non, c'est de l'amour, dur comme fer. Je le sais. Je le sens. A chaque fois que je le vois, j'ai le cœur qui saute dans la poitrine. A chaque fois qu'il me frôle, par accident ou pas, je dois me retenir de trembler.
Et à chaque fois que je le vois m'ignorer, ou du moins ignorer ce que je ressens, je manque de hurler. Mais qu'est-ce que je peux faire, hein ? Lui dire ? Non. Il ne comprendrait même pas le sens de ces mots ! Ca m'énerve, mais c'est comme ça. De toute façon, il pense trop à ses missions. Il pense trop à la guerre. Il ne connaît que ça. Soldat jusqu'au bout des ongles.
Je sors de mes pensées. Est-ce que j'ai bien entendu ? On aurait dit un léger cri. Je me lève. Il me semble bien avoir perçu du bruit. Je m'avance dans le couloir sombre aux murs crades. Oui, cette fois j'en suis sûr. Il y a quelqu'un. Qui ? Quatre ? Wufei ? Trowa ? Ou Heero ? Ils ne m'ont pas entendu entrer ? Apparemment. Je m'approche de la porte d'une des chambres. Je pose l'oreille contre. Des bruits. Furtifs. C'est là.
Qui est-ce ? En tout cas, ils sont plusieurs. Je devrais frapper, dire quelques mots, préciser que je suis rentré, et repartir sur le canapé. Mais, je ne sais pas pourquoi, j'ai soudain envie d'espionner. Et puis… ces bruits… ils sont plutôt… suspects. Et moi, je suis curieux de nature, alors, forcément…
Je me baisse et jette un coup d'œil par le trou de la serrure. Par chance, il n'y a pas la clé. Je peux voir la chambre. Enfin, l'apercevoir, plutôt. Je vois un bout de chaise. Et le lit, juste en face.
Et les draps qui glissent par terre.
Et les deux corps nus.
Et Trowa.
Et Heero.
Je me mords les lèvres. Heero et Trowa ? Heero ET Trowa ? Je dois rêver. Ou cauchemarder plutôt. J'ai envie de partir, de détaler en courant. Mais je reste planté là, incapable de détourner les yeux. Je le vois, lui, poser ses mains sur le corps de celui que j'aime. Je le vois le faire réagir, gémir de plaisir. Je le vois se frotter contre lui, respirer son odeur.
Et je le vois, celui que je désire, répondre aux caresses. J'aperçois même son regard, un instant fugace, empli d'un sentiment que je ne lui avais jamais vu. Il le regarde, lui, pas moi. Un regard qui rend fort. Un regard d'amour. Un regard que je n'aurais jamais.
C'est trop dur. Trop injuste. Pourquoi lui et pas moi ? Pourquoi Trowa, grand silencieux aussi émotif qu'un mur ? Je ne le supporte pas. Et pourtant, je continue de regarder. Leurs étreintes. Leur passion. Je joue les voyeurs. Mais ça ne m'amuse pas du tout. J'ai mal. Je craque. Je me relève et je détale en faisant le moins de bruits possible. De toute façon, ils ne doivent pas faire attention à ce qui les entoure.
Je m'effondre sur le canapé. Je m'installe sur le dos et je regarde le plafond. Pourquoi ? Pourquoi lui ? Est-ce que si j'avais été parler à Heero ça aurait été moi ? Est-ce ma faute ? Non. J'ai déjà fait quelques… illusions sur le sujet. Un petit accident, ici et là. Une main qui s'attarde. Un regard un peu trop appuyé. Mais à chaque fois, je n'ai eu droit qu'à un air indifférent. Il s'en fiche, de moi.
Et je comprends pourquoi maintenant. Ce n'est pas moi qu'il veut. Ca fait mal de le savoir. Je ne suis rien pour lui. Au mieux un camarade. Je ferme les yeux. J'ai la tête qui tourne. Je dois me calmer. Ne pas perdre pied. Zen, rester zen. C'est comme ça, point barre. Je n'y peux rien. Mais…
Il a le droit de poser ses mains sur ton corps
Moi non. Trowa peut… je l'ai vu. Et moi… moi…
Il a le droit de respirer ton odeur
Il ne s'est pas gêné. Se frottant contre toi. Et… et toi, tu l'attirais contre ton corps, le désirant, le cherchant. Entremêlés.
Il a même droit aux regards qui le rendent plus fort
Et moi ? J'ai droit aux regards indifférents. Froids. Agacés même.
Mets-moi la chaleur de ta voix dans le cœur
C'est trop demander ? Un peu de chaleur, au moins dans la voix. Mais non. Froideur. Indifférence. Agacement. Rien de plus. Mais lui… lui, il t'entend gémir de plaisir. Murmurer des mots tendres à l'oreille ? Ca ne te ressemblerait pas mais après tout pourquoi pas ? Et moi… moi…
Et ça fait mal
Je le sens. On dirait que mon cœur vient d'être saigné à blanc. Je pose une main dessus en soupirant. J'ai rarement eu aussi mal.
Crois-moi
Tu peux me croire, je t'assure. Ca fait mal. Comme…
Une lame enfoncée loin dans mon âme
Plus acérée que toutes celles que j'ai pû lancer dans ma vie. Je laisse échapper un petit gémissement plaintif qui n'a rien à voir avec les tiens. Je me sens déchiré. Blessé. Ca fait si mal…
- Duo ?
Je me redresse d'un bond. Heero me regarde. L'air indifférent, comme toujours. A peine surpris dans son débardeur vert et son spandex moulant. Je reprends aussitôt mon masque de rigolo.
- Ah je t'avais pas entendu Hee-chan ! dis-je joyeusement. Ca va ?
- Hn. Ca fait longtemps que tu es là ?
- Quelques minutes. J'ai posé les courses sur la table. Ya que Trowa et toi ici ?
Il hausse un sourcil. Ouais, c'est louche que je sache qu'il y a Trowa alors que je ne t'ai pas vu, soi-disant. Bah, je m'en fiche. J'ai envie qu'il devine que je les ai vus. Que j'en souffre. Mais, en même temps, je veux cacher ma peine. Ma blessure.
- Quatre et Wufei sont partis inspecter une usine hors de la ville, fait Heero.
Je le regarde. Il sait. Son air froid et indifférent ne me trompe pas. Il a deviné. Mais il ne dit rien à ce sujet. Il ne donne pas l'impression de deviner que j'ai mal à cause de ça. Heero se détourne et commence à faire quelques pas, sans doute pour retourner voir Trowa. Je ne peux pas m'empêcher de lâcher ces mots.
- Je vous ai vus.
Heero s'immobilise. J'ignore s'il a compris par ma voix à quel point j'ai mal. Mais il hausse les épaules. Et retourne dans la chambre. Je me rallonge en me mordant les lèvres. Il s'en fout. Il s'en fout complètement.
Regarde en toi
Jette un coup d'œil en toi Heero ! Je suis sûr que moi, si je le pouvais, je verrais à quel point tu t'en fiches. Je suis certain que tu as devinéà ma voix, à mon ton, que je souffre. Que ça me fait mal.
Même pas l'ombre d'une larme
Tu t'en fiches. Complètement. Ca ne te viendrait même pas à l'idée d'esquisser un air navré. Désolé. Pour moi. Non, même pas. Je te déteste. Tu m'as ouvert le cœur. J'ai mal. J'ai une lame enfoncée dans l'âme. Et tu t'en fiches.
¤¤¤¤
Quelques jours. J'aurais tenu quelques jours. Je n'en peux plus. Vous savoir ensembles… te voir avec lui… ces petits détails qui parlent d'eux-mêmes… Je relève la tête. Une petite brise m'ébouriffe les cheveux. Il fait bon. Une belle journée. Comme l'autre. Mais je ne découvrirai plus rien, je crois. Je ne lui ai pas parlé. Je n'ai rien dit à personne. J'ai réfléchi. Et je craque. Bien plus qu'avant.
J'ai toujours mal. Ca ne fait que quelques jours, mais même après ce laps de temps court, j'aurais cru que ça passerait. Un peu. Mais non. C'est toujours aussi douloureux.
Et je saigne encore
Mon cœur est toujours blessé. Ouvert. Mon sang coule en moi. Dans mon âme meurtrie. Sur cette lame qui s'enfonce un peu plus chaque seconde. Je ferme un instant les yeux. Quand je les rouvre, je souris. Devant moi, c'est le canal qui traverse la ville. Un petit fil d'eau. Profond. Encadré par des chemins de promenade. Et des arbres. Un endroit sympathique. Agréable. L'endroit idéal.
Je souris à la mort
Oui, c'est ce que je fais. Je baisse un peu les yeux sans lâcher mon sourire. Je vois le manche qui dépasse de mon ventre. J'aperçois un peu la lame. Et je vois le sang qui coule. Sur ma main qui tient toujours le couteau. Sur ma veste noire. Ca fait une grande tâche bien visible.
Tout ce rouge sur mon corps
Il y en tellement. J'ai beaucoup tué, mais je suis encore étonné de constater à quel point mon corps peut contenir autant de sang.
Je te blesse dans un dernier effort
C'est ta faute. Je te l'ai dit. Et tu le sais. Tu le sais que je vous ai espionnés. Je vous ai vus, pendant ces jours. J'ai été malade. Même pas de jalousie, non. Seulement de douleur. Blessé. Meurtri.
Il aime caresser ton visage quand tu t'endors
Je vous ai vus dans la chambre. Lui passant doucement sa main sur toi. Ronronnant presque sous les caresses.
Et toi tu te permets de dire encore encore
Ces gémissements… ces cris, parfois. Comment supporter ça ?
Je sais que ce qui ne tue pas nous rend plus fort
C'est ce qu'on dit. Des épreuves. De la douleur. Et, au final, de la force, de la détermination. Mais c'est trop pour moi. C'est trop tard.
Mais moi, mais moi je suis déjà mort
Ou pas loin. Mon sang coule. Je l'aperçois qui serpente entre mes pieds et coule jusqu'au bord du canal. C'est fini pour moi. Je ne peux plus le supporter. Ca ne me rendra pas plus fort. Ca me tuera. Ca me tue.
Ca fait mal
Et pas qu'un peu. Tu m'as fait plus mal que ce couteau enfoncé dans mes tripes.
Crois-moi
Je ne mens pas. Ca fait vraiment un mal de chien, tu peux me croire Heero.
Une lame enfoncée loin dans mon âme
Enfoncée plus profondément que ce couteau. Mon cœur saigne encore et je crois qu'il ne s'arrêtera jamais. Qu'importe la guerre quand je meurs à l'intérieur ? Si encore tu m'aidais… si encore tu faisais un peu attention à moi… si encore tu regrettais… au moins un peu… mais…
Regarde en toi
Cherche un peu. Oh pas longtemps. Il n'y a pas besoin de fouiller. De chercher midi à quatorze heure. Tu ne trouveras rien.
Même pas l'ombre d'une larme
Tu t'en fiches. Seul Trowa compte. Pas moi.
Et je saigne encore
Autant à l'intérieur qu'à l'extérieur. Je n'arrive pas à refermer la blessure.
Je souris à la mort
Mes lèvres ne m'obéissent plus. Je souris. La mort va venir me prendre. Enfin. Elle a pris tant de monde avant moi. Elle m'a si souvent délaissé. Et, enfin, elle va venir. Je vais me faire engueuler par Solo. Après tous ses efforts… mais tant pis.
Tout ce rouge sur mon corps
C'est trop tard. Désolé mec. Désolé les gars. C'est comme ça. Je crève. D'amour. C'est con, je sais. Mais j'en peux plus. Tout mon sang coule sur moi. Me recouvre. Je dois faire peur.
Je te blesse dans un dernier effort
C'est mon seul souhait. Que tu ais mal à cause de ça. Dans un dernier effort… le couteau dans mes tripes… j'espère que ça te blesse… Je ne ferai rien pour arrêter le sang. J'ai essayé, pendant ces quelques jours.
Mais je saigne encore
Je n'ai pas réussi à arrêter le sang. Je n'ai pas réussi à me soigner. Et tu n'as rien fait pour m'aider.
Je souris à la mort
Impossible de m'en empêcher. Je sais que je ne devrais pas. Je suis un lâche. J'abandonne mes amis en pleine guerre. Alors qu'Oz est là, tout près. Mais je souris quand même. Je meurs. Désolé les gars, mais c'est comme ça. Alors, comme j'ai toujours été un rigolo, et bien je le reste jusqu'au bout. Jusqu'à la mort.
Mais je saigne encore,
Ca continue. Je ne réussirai pas à l'arrêter même si je le voulais. Je laisse couler.
Tout ce rouge sur mon corps
Il y en a tellement… Je sens le sol se dérober sous mes jambes. Je glisse. Et je sens le froid de l'eau. A moins que ce ne soit celui de la mort. Je crois que je suis tombé dans le canal. Bah, c'est pas important.
Tout ce rouge sur mon corps
Le sang se dilue dans l'eau. Je le vois, tout autour de moi. Il se décolle un peu de mon corps. Mais il en reste encore beaucoup. Je ferme les yeux.
Tout ce rouge sur mon corps
Il y en a toujours autant. Sur mon corps. Sur mon cœur blessé. J'ai toujours été seul. Ou presque. Les morts ne comptent pas comme compagnie, ne te vexe pas Solo. J'ai toujours été seul dans l'obscurité. Personne pour m'aider. Personne pour m'accompagner. Je t'aime Heero. Mais ce n'est pas partagé. J'ai mal. Je saigne. Je ne peux le supporter. Alors je pars. Souriant, toujours.
Je ne peux plus respirer. Je flotte. Tout est sombre. Néant. Détruit. J'ai toujours été seul. Je le suis encore. Seul dans la mort. Seul dans le noir…
¤¤¤¤¤¤¤¤
Duo : Toi… toi…
Ooka : Oui ?
Duo : Tu es privée de biscuits au chocolat jusqu'à nouvel ordre.
Ooka : Mais heu ! Je te jure que c'est pas leur faute ! J'avais déjà ce préambule en tête quand je rentrais à pied du lycée tout à l'heure !
Duo : M'en fiche !
Heero : C'est morbide.
Duo : Toi viens pas commenter ! Sale méchant !
Heero : J'y suis pour rien moi ! C'est elle !
Ooka : Gnagnagna.
Trowa : Ai-je à me plaindre ?
Quatre : TROWAAAAAAAAAAA ! C'est pas juste qu'il soit pas avec moi !
Ooka : Je sais, je casse les couples traditionnels, mais bon… j'fais ce que j'veux d'abord na !
Duo : C'est bien ça le problème ! Je veux pas mourir !
Ooka : C'est que le préambule Duduchoupinoudamouradoré !
Duo : … si ça c'est que le préambule alors qu'est-ce que ça va être après…
Ooka : Surprise !
Duo : J'aime pas ce genre de surprise…
Ooka : Tais-toi, j'écris la suite !
Duo : Ô rage, ô désespoir…
Petite note à part : Alors voilà, petit préambule (enfin petit... lol) j'ai corrigé les fautes, oui, je me suis relue pour une fois ! Cela dit c'est pas impossible qu'il en reste encore... Bref c'est une fanfic que j'ai beaucoup écrit dessus en deux jours, mais j'ai pas le temps de mettre tout ce que j'ai fait (à savoir... beaucoup de chapitres lol !) maintenant. Enfin bref tout ça pour dire quoi déjà ? Ah oui bin... ya pas grand chose mais si vous voulez laisser des reviews, je vous en empêcherai pas du tout ! La suite mercredi ! Voilà ! Ah une dernière chose : me tuez pas...
