Bonjour les gens alors me voici avec un three shot déjà écris en intégralité alors si vous montré de l'enthousiasme pour ce dernier je pourrais vous le poster rapidement. Je tiens à vous informer que j'avais commencé celui ci y a plus de trois ans puis l'avait laissé en plan, c'était un cadeau pour Gillesinlove pour son anniversaire d'y a trois ans lol ça serait donc bah pour noël mdr !
Je le remercie pour sa relecture, ma béta étant très occupée n'a pas eu l'occasion de le corriger, je ne pense pas qu'il reste de faute mais si le cas échéant il en restait et bien désolée je ne prépare pas la dictée de pivot donc je suis désolée par avance !
Cette fic est très légère à l'époque ils n'étaient pas encore en couple mais ça allait venir, je pense ne pas m'être beaucoup éloigné de ce qu'est le couple.
Voila avant premier du second Nikki Heatet tout ce que ça implique ...
Voila mon petit Casketou tout vient à point à qui sait attendre (3ans Castle à attendu 4 tu vois jsuis plus rapide que Beckett lol) Merci à ma juju je sais que je te demande beaucoup je t'adore !
Chapitre 1
Je donnais la dernière touche de mascara à mon maquillage, m'observant dans la glace, je souris satisfaite du résultat, ce soir je sortais avec monsieur Castle, grand écrivain de polar et j'étais bien décidée à lui faire tourner la tête. C'était sa soirée, il serait à l'honneur et j'avais bien l'intention de faire de ce soir le notre.
J'ajustais ma robe lorsque la sonnette de mon appartement retentit, je jetais un dernier regard à mon image afin d'être certaine de mon charme puis allait ouvrir, le sourire aux lèvres.
Lorsque j'entrebâillais la porte, j'eus le souffle coupé, il était là devant moi un immense et magnifique bouquet de fleurs des champs, mes préférées. Il était si splendide dans son costume Armani noir anthracite si bien que je n'avais qu'une envie, lui enlever.
Il me souriait de son sourire si radieux lorsqu'il posa les yeux sur moi. Puis je vis son regard changer, s'assombrir, sa bouche s'ouvrir. Il me scruta de la tête aux pieds. Je portais une robe violette fendue en V sur le devant et un décolleté plongeant découvrant mon dos jusqu'aux reins. Ouvrant puis fermant la bouche Castle gobait les mouches, papillonnant des yeux, déglutissant, tandis que je me délectais de son émerveillement avec un sourire espiègle et conquérant.
« Castle tu vas rester figé encore longtemps ? » Le taquinais-je en unissant mes yeux aux siens.
Un long silence s'instaura entre nous, chacun observant l'autre avec envie, quel dommage que le temps nous soit compté…Après plusieurs minutes à nous contempler, je rompis le silence.
« J'en déduis que la robe te plait ! » Lui dis-je en m'approchant de lui pour déposer un baiser sur ses lèvres.
Mon action eut pour effet de le sortir de sa torpeur contemplative afin de répondre à mon baiser avec passion, m'arrachant un gémissement. Je sentis ses mains caresser mon dos dénudé, me rapprochant de lui encore un peu plus, exigeant l'accès à ma bouche que je lui accordais sans mal. Une danse lascive de nos langues commença, tel un ballet, elles virevoltaient l'une autour de l'autre, sensuellement. Je me sentais perdre pied dans ses bras, nous ne pouvions décidément pas continuer ainsi au risque de ne jamais nous rendre à notre soirée et même si cela ne m'aurais pas dérangé, c'était important pour lui.
« Rick… » Soufflais-je pantelante, m'amarrant à ses épaules pour ne pas chavirer.
« Mon dieu Kate tu es si superbe… » Murmura t-il son front contre le mien, les yeux fermés.
Je souris, tripotant le col de sa chemise sans me détacher de lui, me délectant de la chaleur de ses bras.
« Tu n'es pas mal non plus ! » Lui dis-je en mordant mes lèvres.
« Hum pas mal ? Ton regard dit bien plus ! » Me répondit-il en caressant mes reins de son pouce, m'arrachant un frisson d'envie.
Je souris encore un peu plus déposant un autre baiser sur ses lèvres, puis me détachais de lui, il me retint.
« Je n'ai pas envie d'y aller, je veux rester là avec toi pour te faire des câlins coquins, là-bas on ne pourra pas, nous ne sommes pas un couple aux yeux des autres ! » Marmonna t-il penaud, une moue adorable sur le visage qui me fit craquer.
Levant les yeux au ciel, je ne pus retenir un sourire à nouveau, il semblait qu'il était figé sur mon visage depuis que j'étais en couple avec lui.
« Dois-je te rappeler que tu es le maître de cérémonie pour l'avant première de Naked Heat ? » Rappelais-je en secouant la tête, amusée par sa réaction.
« Je m'en fous de tout ça, c'est ennuyeux ! » Me dit-il en embrassant mon cou. « J'ai des choses bien plus intéressantes en tête. » Ajouta-t-il en caressant ma cuisse, relevant le bas de ma jupe.
Je fermais les yeux tandis qu'il torturait ma peau.
« Castle… Ca fait partie de ton job, veux-tu que Gina te tues ? »
Il se redressa, me toisant avec un air boudeur en grimaçant.
« Rabat joie ! » Soupira t-il dans une mine déconfite. » J'aimerai que tu évites de parler de Cruella quand je te fais des câlins, ça détruit toute mon envie ! » Reprit-il me faisant sourire.
Je me soulevais sur la pointe des pieds, murmurant à son oreille malicieusement.
« Je te promets que si tu es un très gentil garçon, je te ferais goûter une somptueuse friandise. »
Je le vis déglutir alors que je m'éloignais en reculant mordant sensuellement ma lèvre inférieure, les mains croisées dans mon dos.
« Kate Beckett vous êtes une diablesse ! » Gronda t-il en agitant son index, un faux air réprobateur sur la face.
Je ris prenant ma veste après avoir mit les fleurs des champs dans un vase. Puis me tournais vers lui. Ses yeux brillaient d'amour et de sincérité, je l'observais en souriant, posant ma main sur sa joue, il mit la sienne sur la mienne, fermant les yeux en embrassant ma paume, faisant glisser son visage dans ma main dans un frôlement tendre. A nouveau je déposais mes lèvres sur les siennes dans un baiser doux et langoureux. Je me perdais dans celui-ci complètement déconnectée du monde lorsque mon amour le rompit. Je râlais, mécontente, ce qui le fit rire, j'aimais son rire, il était le plus beau son à mon oreille, comme une douce mélodie apaisante qui vous donne le sourire…
« Nous devrions y aller Kate, nous allons être en retard ! » me souffla t-il en remettant une de mes mèches de cheveux derrière mon oreille.
« Rabat joie » Reprochais-je avec un sourire, lui renvoyant ses paroles prononcées peu de temps auparavant.
Je pris mes clés, refermais l'appartement puis me saisissant du bras de mon petit ami, nous nous dirigeâmes vers l'ascenseur. Je n'aimais pas ces soirées de présentation, l'avant première de Naked Heat c'était bien, mais je préférais et de loin rester chez moi. Malgré le faite que mon partenaire ne m'incitait pas comme toujours à y assister, je voulais juste l'accompagner. Je savais que Nathalie y serait et qu'elle avait des vues sur lui. Et j'étais définitivement jalouse pour la première fois de ma vie. Elle l'avait embrassé une fois et je ne permettrais pas que cela se reproduise. A l'époque je n'avais aucun droit sur lui mais aujourd'hui, Richard Castle était la propriété exclusive de Kate Beckett et j'étais bien décidée à ce que cela le reste pour toujours.
Officiellement aux yeux du monde, nous n'étions que muse et écrivain donc, je ne pouvais pas me montrer possessive mais je sentais que si Rodhès s'approchait de trop près de mon Castle, je risquais de voir rouge !
Une limousine nous attendait au pied de mon immeuble, je me figeais, le regardais, les sourcils, froncés, bras croisés.
« C'est ça que tu appelles sans fioriture ? » M'exclamais-je dans un ton de reproche.
« Désolé mais Gina… » S'excusa t-il penaud en m'ouvrant la portière.
Je levais les yeux au ciel encore elle…elle m'agaçait au plus au point, je savais qu'elle était son éditrice mais je ne pouvais m'empêcher d'être jalouse, quand je pensais à elle, je sentais la migraine pointer et des envies de meurtre naître. Ils avaient quand même essayés deux fois et même si cela n'avait pas marché, ces tentatives prouvaient un attachement certain entre eux, elle régissait en quelque sorte sa vie. Sa vie professionnelle bien sur mais fut un temps, elle régissait aussi le personnel et peut être voulait-elle remettre une troisième fois le couvert, ne disait-on pas jamais deux sans trois ?
Comme s'il avait lu dans mes pensés, Castle se pencha sur moi, embrassant ma joue.
« Ne sois pas jalouse mon amour, il n'y a que toi dans mon cœur et ça restera ainsi jusqu'à mon dernier soupire. » Me dit-il d'un ton empli de tendresse.
Comment douter de lui, impossible, chaque seconde, il me prouvait son amour, non, j'avais confiance en Richard Castle mais pas aux vautours qui lui tournaient autours, ce soir j'allais devoir être vigilante. Alors que la limousine se stoppait devant notre lieu de soirée.
« Je ne suis aucunement jalouse monsieur Castle, pff ! Vraiment jalouse de quoi ? » Affirmais-je désinvolte. « D'une blonde décolorée, superficielle, aux seins certainement refaits et dont les seules préoccupations sont de savoir combien de livres tu as vendus et quand tu rendras ton prochain chapitre et qui… » Continuais-je avant de m'interrompre devant le sourire niait de mon partenaire.
Roulant des yeux, je secouais la tête, haussant les épaules dans une attitude détachée, c'est l'impression que je voulais donner alors que tout mon être criait, il est à moi, je détestais ce sentiment de possessivité, j'avais l'impression d'être une gamine capricieuse qui cache ses jouets de peur qu'on lui vole. Castle s'en délectait bien sur, son sourire de débile pouvait le confirmer, les hommes tous les même…
Je sentais que cette soirée serait une épreuve, comment jouer la nonchalance alors que je savais très bien que mon écrivain serait entouré de belles femmes qui ne demandaient pas mieux qu'il les tripote en signant leur poitrine. Je savais bien qu'il ne le faisait plus depuis bien longtemps et là encore je savais que c'était pour moi, pour me prouver qu'il pouvait changer qu'il n'était plus ce play boy ramenant une fille différente chaque soir. D'ailleurs, j'avais réalisé que tout ceci n'était qu'une façade, un rôle qu'il jouait pour ne pas montrer le vrai Richard Castle ou plutôt Rodgers, l'homme aimant et attentionné envers les gens qu'il aime.
Je sentis la main de mon partenaire se glisser dans la mienne me faisant tourner la tête vers lui. Il se pencha sur moi.
« Nous voici arrivés dans l'arène tu es prêtes ? » Me murmura t-il doucement à l'oreille, caressant le dos de ma main avec son pouce.
Je le regardais retenant un soupir, non, je n'étais pas vraiment prête, je n'aimais pas ces soirées, où tout n'était que luxe et étalage de richesse, où les gens vous regardaient de haut cherchant vos faiblesses pour mieux vous les balancer au visage.
« Si je te dis non on fait demi tour ? » Lui dis-je en mordillant les lèvres nerveusement.
Embrassant ma main, il la serra fort dans la sienne.
« N'oublies pas que je suis là, je ne laisserais pas les loups affamés attaquer le petit chaperon rouge ! » Répliqua t-il en caressant ma joue.
Je levais les yeux au ciel, laissant planer un sourire, et soufflais longuement.
« Allons-y ! » Fis- je en lâchant sa main, lui faisant signe d'ouvrir la portière.
A peine fûmes-nous sortis de la voiture qu'une horde de photographes nous assaillirent, les photos provenant de leurs appareils, m'éblouissaient. J'avais oublié ce détail, dans ces soirées les photos fusaient, j'avais l'impression d'être un monument historique qu'un asiatique prenait en photo sous tous les angles possibles. La lumière des flashs fusait tant que j'avais l'impression d'être dans une boite de nuit sous les stroboscopes. Je tournais la tête vers mon romancier qui me souriait tendant son bras que je pris sans hésiter, j'avais vraiment besoin de lui pour endurer cette soirée et puis une muse pouvait très bien arriver au bras de son écrivain sans que cela paraisse suspect, c'était même arrivé une fois.
J'observais Castle, il semblait être dans son élément, souriant, serrant des mains, saluant les gens d'un signe de la main ou de la tête, j'avais l'impression qu'il était partout à la fois, qu'il voyait tous le monde et n'oubliait personne. Il me voyait toujours dans mon élément mais pour ma part le voir évoluer dans le sien était si rare, j'étais impressionnée, vraiment, il semblait si à l'aise. Un photographe arriva à notre niveau m'interpellant
« Détective Beckett vous êtes somptueuse, une photo s'il vous plait ! » Me demanda t-il en fixant son appareil à son œil.
Je regardais mon partenaire qui posa sa main sur la mienne celle qui accrochait son bras.
« Tu n'es pas obligée Kate, je peux le faire partir si tu ne veux pas. » Me murmura t-il en se penchant sur moi.
Je hochais la tête négativement.
« Non je t'accompagne pour le pire comme pour le meilleure, même si je ne vois pas le meilleure arriver ! » Lui dis je en m'accrochant un peu plus à son bras en pinçant mes lèvres réalisant ce que je venais de dire, comme un échange de vœux.
Il me fit un sourire étincelant que je lui rendis, toujours connectés comme si nous étions seuls au monde, et cela s'avérait encore plus vrai depuis que nous étions en couple.
« Tournez-vous vers moi s'il vous plait » S'exclama le paparazzi, coupant ainsi notre connexion.
Nous tournant vers le photographe nous prîmes la pose, nos sourires radieux toujours sur le visage. Un clic immortalisa cet instant puis nous reprîmes notre route. Lorsque nous pénétrâmes dans l'immense salle de projection, Gina vint à notre rencontre, elle prit Castle par le bras l'attirant à elle et après m'avoir salué brièvement, l'amena avec elle sans plus se préoccuper de ma présence comme si je n'étais qu'une simple fan ayant demandé un autographe à son idole. Cette attitude me déplaisait fortement et ce n'était pas l'envie qui me manquait d'expliquer à cette femme le savoir vivre mais je me souvins qu'a cette soirée nous étions seulement muse et écrivain alors rentrant mes griffes acérées, je serrais les dents, prenant mon mal en patience.
« Gina, où m'emmènes-tu ? Je suis avec Kate là ! » Cria t-il en tirant son bras de son emprise.
« Oh ta muse peut se passer de toi 5 minutes, il y a une conférence de presse avec les acteurs, tu dois t'y rendre ! » Gronda Gina en me lançant un regard noir de mépris.
Je vis Rick se tordre pour m'observer, s'excusant du regard de ne pouvoir tenir sa promesse. Je soupirais, voila que ça commençait, je sentais que mes pires craintes se réalisaient, Gina avait mit le grappin sur Castle et allait se l'accaparer pour le détourner de moi et je ne pouvais rien dire, et tout cela parce que je ne voulais pas que notre relation soit dévoilée. Je me sentais bien idiote à cet instant.
Dans un soupir, je scrutais la salle, les gens parlaient entre eux, je n'en connaissais aucun, bien que nous soyons à New York, exigence de Rick pour l'avant première sachant que je ne pourrais pas m'absenter de la ville comme cela.
Je souris suspectant aussi mon écrivain de s'être arrangé pour que cette dernière se fasse ici pour ne pas à avoir à me quitter. Notre toute nouvelle relation était si fusionnelle, nous passions tout notre temps ensemble, comme si chaque seconde sans l'autre nous coûtait, comme si notre vie en dépendait. Habituellement j'aurais détesté cela, avoir toujours mon petit ami dans les pattes à sans cesse être sur mon dos, à m'envoyer des sms pour savoir ce que je faisais, où j'étais, si j'allais bien. Mais bizarrement cela n'était pas du tout le cas bien au contraire, chaque seconde à ses cotés était un plaisir. Il était tendre et attentionné mais cela je n'en avais pas douté une seconde au vue de son attitude lorsque nous étions simples partenaires. J'aimais lorsque nous parlions de tout et de rien, lui me parlant de sa passion pour l'écriture, d'Alexis, moi lui parlant de mon enfance, de ma vie avec ma mère sous son regard fasciné comme si je lui contais la plus merveilleuse des histoires. Et que dire de nos moments intimes, jamais encore je n'avais vécu une telle jouissance avec un homme. Au-delà de tout plaisir, j'avais le sentiment que je faisais l'amour pour la première fois à chaque étreinte avec lui. Je redécouvrais mon corps, dans ses bras, je me sentais femme, j'étais moi, enfin…
« Kate ! » M'interpella la voix de l'objet de mes pensées.
Je relevais la tête surprise, je le voyais arriver en courant le sourire aux lèvres. Fronçant les sourcils, je l'interrogeais du regard, l'interview ne pouvait pas être déjà finie. M'attrapant par la main il m'attira à sa suite :
« Ri…Castle où allons nous ? » Le questionnais-je.
« Viens, ils te veulent dans l'interview ! » M'informa-t-il heureux.
Je me stoppais, croisant les bras, le regardant d'un air suspicieux.
« Castle… ? » Grognais-je entre mes dents.
Je trouvais ce revirement de situation assez curieuse, un temps il ne voulait que l'écrivain et voilà qu'il voulait la muse à présent, ça sentait le caprice de gamin à plein nez.
« Qu'est-ce que tu as fais ? » Lui demandais-je en avançant, tandis que lui reculait les bras en l'air en guise de soumission
« Rien, je n'ai riiiiiiiien fait ! » Me répondit-il, le regard fuyant, tournant rapidement la tête de droite à gauche pour chercher une quelconque issue.
Je le toisais sévèrement ne croyant pas une seconde son affirmation.
« Castle ! » Aboyais-je, lui lançant un regard noir qui le fit déglutir.
Je souris satisfaite d'avoir toujours cette emprise sur lui malgré l'évolution de notre relation, rien ne changeait dans notre dynamique, nous étions toujours sur cette même longueur d'onde, cette même osmose, partenaires dans tous les sens du terme...
Il continuait à reculer, bientôt, il fut acculé contre le mur, me donnant ainsi une dominance sur lui.
« Plus d'échappatoire Castle, déballes ton sac ! » Ordonnais-je sur mon ton de flic en plein interrogatoire.
J'entendais les gens parler, chuchoter et rire certainement que la scène devait être divertissante à leurs yeux.
« Bien en fait un des journalistes m'a demandé de parler de Nikki Heat et il se pourrait que je lui ai dit que la concernée étant présente qu'elle serait sûrement la mieux placée pour parler de son alter ego de papier. » M'annonça t-il penaud, baissant la tête en triturant ses doigts.
« Quoi ? » Hurlais-je attirant l'attention sur nous un peu plus, le faisant sursauter par la même occasion.
Il fallait toujours qu'il parle trop, j'étais venue pour lui faire plaisir, pour l'accompagner parce que nous étions en couple et qu'en tant que petite amie c'était mon devoir mais jamais au grand jamais je n'étais d'accord pour jouer les starlettes, il allait me le payer quoi qu'il arrive…
Voila c'est à vous la suite demain si vous êtes de bons petits sachez que le chapitres 3 est M !
