Bien le bonjour ou bien le bonsoir, d'abord, je vous souhaite la bienvenue en espérant que vous allez bien. Je viens vous présenter ma première Fan Fiction :) Donc j'en fais une rapide présentation ci-dessous :
Titre : Lose Yourself (inspiration de la chanson "Kim" de Eminem et comme vous pouvez le voir le titre est celui d'une chanson du chanteur)
Créatrice : CalieLoue
Les personnages (mise à parte les inconnues) ne m'appartiennent pas mais ils appartiennent à The Vampire Diaries.
Voilà donc mon premier chapitre immédiatement :
" Imagine no possessions
I wonder if you can
No need for greed or hunger
A brotherhood of man"
- Lady. G -
PDV Caroline
-1 décembre 2013, plus d'un an après la transformation d'Elena, 21h30 – Mystic Fall's-
Je le voyais là, devant moi, tenant Elena avec force et faim. Je ne voyais que son dos mais je le reconnaissais parfaitement, tout comme ma meilleure amie. Il avait plaqué fermement le dos d'Elena à son torse et ses crocs nageaient dans sa gorge. Ses mains à elle le long de son corps immobile, je subissais ce spectacle depuis plusieurs minutes et ça en devenait insupportable. Mes points étaient serrés contre mes hanches et la main de Damon était plaqué contre ma bouche pour étouffer mes hurlements de colère, son bras était enroulé autour de ma taille pour m'empêcher d'aller les séparer. Et j'en avais envie, ne plus la voir se faire mordre par ce monstre, ne plus la voir à sa merci. Je devais vraiment la lui arracher, mais Stefan et Damon ne semblaient vouloir me laisser faire un seul pas. Avec toute la force que je su rassembler, je brisai l'étreinte que Damon avait construit et courrais à vitesse vampirique vers Elena. J'avais sentis une étrange poigne sur mon poignet mais j'avais arrivé à m'en extirper. Je les séparais et assénais un coup violent à la mâchoire de l'Originel qui heurta un des rochers à plusieurs mètres. Il se releva rapidement et avant qu'il ne m'atteigne j'ordonnais à Elena de rejoindre les frères Salvatores et de rentrer au manoir. Elle courra à vitesse vampirique tout comme Klaus qui se trouva en quelques secondes devant moi. Ses mains se posèrent sur mes épaules et me poussèrent dans un bruit assourdissant contre un tronc d'arbre qui vacilla. Ma respiration en fût couper. Je repoussa ses mains d'un coup de poignet et le repoussai à mon tour, il recula de quelques pas seulement. Son regard était jaune, littéralement ! Signe que sa transformation allait se déclarer. J'eus soudainement plus peur et tentai de m'échapper en courant à travers la forêt. Mais c'était sans compter sur la rapidité de Klaus qui enveloppa mon bras pour me tourner vers lui. Respire Caroline ! Je tentais sans grande réussite de me libérer de sa poigne de fer. Seulement ma colère accumuler et nos batailles multipliés en 1 an m'avait permis de trouver ses points faibles. Je savais très bien comme le talon était celui d'Achille que le dos était le point faible de Klaus. C'est pour cela qu'en quelques secondes je me hissais dans les arbres, hors de sa vu, attendant quelques secondes à le fixer se tourner et lever les yeux, je me laissais retomber sans un bruit sur son dos, plaçant mes pieds sur ses hanches pour ne pas glisser, jambes fléchis et bras enrouler et serrant son cou, j'enfonçai mon genoux sur sa colonne vertébrale et ses jambes cédèrent sous ce coup, il tomba à terre, ses genoux creuser dans le sol humide de la forêt. Je me détachais de lui et le frappa d'un brusque cou de talon afin qu'il tombe en avant. Je passai devant son visage qu'il leva sur moi, je lui souriais victorieusement et posai ma main sur ma hanche pour lui envoyer un regard qui signifiait "Tu vois, c'est toi qui est à terre !". Ce regard dû l'agacer car sa main se referma sur ma cheville et sans que je ne réalise quoi que se soit, je me retrouvais sur les brindilles de bois. Klaus avait posé sa main sur mon cou en signe de "Si tu bouge, je te tus" et un genoux de chaque côtés de mon corps pour m'empêcher de faire tout geste à son égard. J'essayai en vain de me détacher de lui mais sa main sur ma gorge retenait toute mon attention. Mes deux mains vinrent la rejoindre pour tenter de la séparer de ma peau. Mais plus j'y arrivais plus il appuyais me provoquant une respiration douloureuse et atténuée.
-Pourquoi ?!
Je fronçais les sourcils, ne comprenant le sens exacte de sa question. Il compris dans quel état d'esprit je me trouvais et répéta :
-Pourquoi m'en vouloir à ce point ?
-Tu... tu plaisante ? dis-je entre plusieurs toussotements.
-Non ! Réponds !
-Parce que... tu es détestable... dégouttant ! Monstrueux ! Tant de... de chose ignobles ! Et tu ne fais rien... pour que je t'apprécie... réellement !
Après un bref regard meurtrier, sa main desserra mon cou sans pour autant s'en détacher. Il me sourit niaisement alors qu'il déclara sous me regard outré :
-Tu as peur !
-De quoi ? De toi ? Aurais-je fait ça si c'était le cas ?!
-Pas de moi, de toi, Love !
Je fronçai à nouveau les sourcils sous ma propre question : Pourquoi aurais-je peur de moi-même ? Et ne trouvant aucune réponse je la lui posai, il répondit ce que j'aurais préféré ne jamais entendre :
-Tes sentiments pour moi ne sont pas haine ! Et tu as peur de ça, car tes amis seraient trop bêtes pour comprendre !
Je grognai brusquement, je repoussais sans ménagement Klaus qui retomba contre un arbre et l'y plaquais en le frappant de mon point au visage.
-Jamais ! Jamais je n'éprouverais ne serait-ce que de la compassion pour toi !
Mon dos rencontra brutalement un arbre et Klaus m'y rejoignis en m'y appuyant avec force pour que je ne puisse pas fuir à ses mots qui je le savais, retentiraient dans ma tête.
-Tu te voile la face Caroline ! Tu ferme les yeux et tu crois me haïr plus que tout le monde mais tu me hais pour être comme je suis avec toi !
-Violent ? Arrogant ? Monstrueux ! Oui je te hais pour être un monstre, c'est si étonnant ?!
-Protecteur ! Ouvre les yeux !
Sa seconde phrase était dites sous un tout autre ton que le mot précédent, elle était dite sans cris, sans rage, avec une douceur et telle une caresse sur mon visage. Après cette baisse de colère, la haine remonta en moi et je le repoussais une nouvelle fois sur un autre tronc qui chancela. Le tenant à la gorge je lui criai :
-Je sais ce que je vois Klaus ! Et tu n'es pas aussi charmant qu'à l'extérieur !
Je posai une main sur ma bouche sous mes paroles, est-ce que je venais de dire qu'il était "charmant" ? Rien que ça ?! Outch ! Je le vis sourire sous mon allusion et je me sentis extrêmement mal, je voulu disparaître ! Je reculai brusquement loin de lui tendis qu'il s'approchait, je lui hurlais de ne pas s'approcher, de me laisser partir ! Rien y faisait, il avançait d'une démarche provocatrice et féline. Quand mon dos rencontra le tronc d'un arbre, je dû m'arrêter, regardant Klaus s'approcher de plus en plus. Une angoisse naissait lentement au creux de mon ventre, et une boule de peur se forma dans ma gorge. Quand ses mains se posèrent sur ma taille je repoussai d'un coup brusque des poignets ses paumes et lui donna un coup de poing sur la poitrine, ce qui le fit tomber. Je voulus faire demi- tout et rentrer en courant chez moi, sauter sur mon lit et ne plus réfléchir à tout ça ! Mais une main se referma sur mon poignet alors que j'avais parcouru déjà une centaine de mètres, je fus une nouvelle fois plaqué à un arbre mais plus violemment cette fois. Son visage plein de colère s'approcha du mien, serrant mon cou avec une main, me faisant suffoquer de douleur. Je vis soudainement se visage se transformer devant mes yeux, sur une partie de ses joues, de longues veine bleutés apparaissaient et le blanc de ses yeux devint rouge sang. Il entre-ouvrit les lèvres, dévoilant deux canines aiguisés. J'inspirais comme je le pus pour calmer ma peur. Oui, j'avais peur, peur de l'homme qui se trouvait devant moi, peur car à cet instant, je sus qu'il en était capable contrairement à ce que l'on m'avait fait croire durant toute cette année, oui, il était capable de me faire du mal, sans que je m'en rende compte, je l'avais dit, je l'avais dit à voix haute :
-Il en ai capable... Seigneur, il en ai capable...
Je l'avais susurrer pour moi-même mais grâce à son ouï fine, il m'avait entendu. Il desserra son emprise sur mon cou et articula :
-Jamais je ne lèverais la main sur toi, j'en ai déjà trop fais !
-Ne te défile pas Klaus ! Tus-moi, fais le ! le provoquais-je.
-Arrête Caroline ! Vas-t-en !
-Tus-moi ! Suis-je ton véritable...
J'avais entrepris de lui tourner autour en faisant glisser ma main sur son dos de façon provocante, quand j'arrivais devant lui je posai mes paumes sur ses muscles et murmurai :
-Point faible ?
-Non, tu ne l'es pas Caroline, tu es juste, celle à qui il ne faut pas toucher...
-Je ne t'appartiens pas ! crachais-je.
-Tu peux avoir tout les petit-amis que tu le souhaite, je ne m'y opposerais jamais, sauf la seconde où il lèvera la main sur toi d'une quelconque façon !
-Ah oui et que feras-tu, hein ? Tu m'enlèveras, me donnant comme explication un simple "C'est pour ton bien !", tu m'emmèneras visiter de jolie pays, m'offrira des...
Je détachais mon collier en or qu'il m'avait offert il y avait de cela trois mois et le lui jetais en lâchant :
-Bijoux débiles couvert d'aconit pour me protéger ! Et à la fin je fuirais encore rejoindre Elena et Bonnie, comme je l'ai fait les deux dernière fois ?! Ouvre les yeux, toi ! Je ne veux pas de toi et reste à te morfondre dans ta vie misérable en espérant qu'un jour je te saute dans les bras ! Rêve Klaus ! Tes parents te haïssaient, tes parents ! Seule ta sœur, Elijah et Kol sont là pour toi, et lorsqu'ils en auront assez, ils te planteront comme tout le monde là fait ! Tu es insignifiant, monstrueux ! Tu n'es qu'un monstre !
Je le repoussais violemment et m'en alla lentement à travers les arbres, sous cette lune pleine et blanche qui inondait mon passage de lumière. Je ne me retournais pas et continuais. C'est au bout de quelques minutes que je sus l'erreur que je venais de commettre : Créer le plus gros des mensonge de toute ma vie.
Car oui, je ne pensais pas du tout que c'était de sa faute si ses parents le haïssaient, non, je ne pensais pas non plus que sa famille le laisserait seul, il serait toujours entouré de Rebekah qui l'aimait profondément et de ses deux frères. Je regrettais et je savais déjà que j'allais le regretter encore plus au fil des prochaines heures de culpabilité.
J'entrai dans la maison, les mains tremblantes sur ma clé, peinant pour ouvrir. Puis je refermais la porte dans un bruit sec et m'y adossais. Ma respiration était saccadée et je n'arrivais plus à respirer correctement. Seulement je posai le trousseau de clés dans un bol en bois et avançais vers les escalier pour monter dans ma chambre. Les larmes allaient déjà s'écouler sur mes joues quand une main se plaquait sur ma bouche m'arrachant un hoquet de peur et de surprise. Mes mains se placèrent sur celle de l'inconnu dans l'espoir de m'en détacher, mais il resserra sa poigne tout en me tirant vers la porte d'entrée. J'avais peur, j'étais tellement effrayer que j'avais cessé de respirer. Sa force était incroyable, je tentais de ne pas trébucher, et reculais à la vitesse où il avançait. Quand j'entendis la porte s'ouvrir, sa main glissa mais je n'eus pas le temps de hurler qu'il l'avait replacer, mais cette fois, il ne pinçait pas mon nez. Et son odeur corporel enivra mon nez et je pus reconnaître son identité en moins de quelques secondes. Tyler !
Voili voilou tout le monde, j'espère que ce chapitre vous a plus et que vous me laisserez quelques Reviews pour me faire part de votre avis sur ce premier chapitre. La suite arrivera bientôt étant déjà écrite :) Je vous pleins de bisoux à vous tous :)
Calie
