Titre: les contes des mille et une nuit - Aladin naturellement, modifié de ma part légèrement seulement

Auteure:Mimi, moi par l'occurrence

Couple: Eum! Surprise… Non je blague SasuNaru!

Béta-lectrice: Mirty

Disclamer: ils ne seront jamais à moi. Le film et les chansons appartiennent à Walt Disney, bien sûr, et l'histoire à son auteur.

Note: Alors je ne suis pas douée avec le français, je ne vous cacherais pas que parfois mes écrits peuvent être incompréhensibles ou illisibles, cela dépend des gens. Mais j'essais de m'améliorer, comme quand on apprend à marcher, même si ce n'est pas parfait, s'il vous plaît, les commentaires uniquement blessants et dédaigneux, gardez les dans vos têtes. Je risque de faire des fautes, je ne suis pas une machine alors pardonnez moi pour des erreurs d'inattention ou autre. Et de même pour ma Béta. Merci!

En cette fin d'après-midi, le soleil éclairant le désert cuisant sous la chaleur suffocante du soleil, on pouvait apercevoir sur le chemin un jeune homme grand, les cheveux bruns, la peau basanée - comme la plupart des hommes qu'on peut trouver en Arabie - mais il avait également d'étranges tatouages en forme de triangle rouge sur les joues. De plus il se promenait dans un désert où toute personne normale aurait hallucinée ou serait tombée inconsciente. Par contre l'homme avait l'air heureux et nullement dérangé par la chaleur étouffante. Son regard était allumé par la malice et le bonheur ainsi qu'autre chose mais on ne pouvait dire quoi encore. Ce bel homme se baladait en chameau. Celui-ci était chargé de bagages et plein d'autres choses que l'on ne pouvait distinguer. Le chameau marchait d'un pas rapide pour se diriger vers une ville avec un magnifique château majestueux, immense, un réel plaisir pour les yeux… mais avant tout ce château était chaleureux et accueillant. Si on tendait l'oreille, on pouvait distinctement entendre la voix chaude et grave de l'homme chanter :

Moi je viens d'un pays de désert infini,
Où les caravanes rêvent et flânent.
Où, pendant ton sommeil,
Les serpents t'ensorcellent!
C'est bizarr
e ça ?
Mais, eh, c'est chez moi!

Sur ce passage, on pouvait clairement dire qu'il chantait avec une pointe d'amusement.


Quand le vent vient de l'Est,
Le soleil est à l'Ouest,

A cet instant, on voyait le magnifique soleil se coucher, et plonger le désert cuisant dans l'obscurité la plus totale et dans un froid glacial. En même temps en vent souffla, comme si le jeune homme le contrôlait selon ses envies


Et s'endort dans les sables d'or...
C'est l'instant envoûtant,
Vole en tapis volant,
Vers la magie des nuits d'Orient !

Le jeune homme entra dans la ville où se trouvait le fabuleux palais


Oh nuits d'Arabie,
Mille et une folies.
Insomnie d'amour,
Plus chaude à minuit
Qu'au soleil,
en plein jour!

Sur la place du marché, on pouvait voir un cracheur de feu amuser les dernières personnes qui restaient, puis le jeune homme termina sa chanson :


Oh nuits d'Arabie,
Au parfum de velours.
Pour le fou qui se perd,
Au coeur du désert,

Fatal est l'amour!

Le chameau épuisé par sa journée de marche s'écrasa littéralement au sol.

Le jeune homme se leva et descendit des bagages, et nous remarquant, il fit :

- Ho ! Bonjour mon ami !

Ceci avec amusement et joie dans sa voix. Puis il installa rapidement son commerce et commença :

- Tu veux quelque chose ?... J'ai de tout, bijoux majestueux, panier, tout...tout je te dis ! Regarde ! Cette boite je les ramener de mon dernier voyage n'est-elle pas magnifique ?!

Se rendant compte que ce n'est qu'un escroc, ou quelque chose dans le genre, tu commences à partir, mais il te retient :

- Non…Non ne part pas !

Dit le jeune homme en tenant une lampe, tout à fait normale à tes yeux

- Regarde ! Cette lampe est magique ! Tu ne me crois pas, pourtant elle a fait des choses merveilleuses !! Sans elle, il n'y aurait pas eu cette magnifique histoire. Attend je te la raconte, fit l'homme d'une voix mystérieuse.

- Installe-toi bien ! Cette histoire est longue et merveilleuse, alors prépare toi à être surpris !