Résumé : Quand du jour au lendemain vous apprenez que vous venez d'un monde, que vous preniez pour un monde fictif et que vous avez des pouvoirs convoités par beaucoup de monde ?
Que feriez-vous ? Vous allez découvrir ce que Ryan et Angeline on fait.

Disclaimer : Les personnages de cette fanfic appartiennent à Square Enix, je ne gagne aucun profit en écrivant ces textes, juste l'appréciation des fans de Final fantasy.

Rating : T pour l'instant, j'hésite à le faire passer en M. Enfin ça dépendra de la tournure de l'histoire.

Note de Début : Comme vous l'aurez compris, ceci est ma première fiction, qui plus est sur Final Fantasy VII. Donc ne vous attendez pas à des merveilles, mais j'espère sincèrement qu'elle vous plaira et surtout dites moi les défauts si vous en trouvez, aussi petit soit-il. Sur ce bonne lecture.

Introduction : Arrivé Mouvementé

P.o.v Angeline

J'étais sur le chemin pour rentré à la maison, car j'avais fini les cours une heure plus tôt "mais ça , on s'en fou un peu", je me savais suivi par Alliana, une amie d'enfance qui, par la suite, est devenu la petite amie de mon frère Ryan qui est de deux ans mon aîné . Maintenant que j'y pense, je ne me suis même pas présenté, enfin, pour faire court, je m'appelle Angeline, j'ai 16 ans , je suis brune au yeux bleu . J'aime pas mal chose en faite, les mangas, les jeux vidéos "en particulier Final Fantasy VII, qui est de loin mon jeux préféré" mais, passons. En faite je suis une fille plutôt banale.
Même si au contraire des autres filles de mon entourage, je ne court pas faire les magasins des qu'il y a des soldes et, je ne hurle pas non plus à la vue d'une sourie ou d'un cafard "bien que je trouve les cafard vraiment immonde", après, je suis ce qu'on appel une fille simple. Euh … tout compte fait je ne suis pas à proprement dit, une fille simple ou banale, car j'ai un penchant certain pour les armes à feu et les sabres. Je sais, c'est très étrange comme passe temps, mais bon, je ne suis pas la seul dans ce cas, car mon frère aussi adore ça et, dès qu'il en a le temps, il s'entraîne avec moi pour voir les progrès que je fais. Une fois il m'a même dit que si je le voulais, je pourrais rentré dans l'armée pour être sniper tant mon acuité visuel est grande. Mais, en même temps il ne veut pas que j'y entre, car nos parents adoptif son mort en guerre lorsque j'avais cinq ans, car comme vous l'aurez sans doute compris, mes parents adoptif étaient militaire, de surcroît tireur d'élite, mais bon, depuis leurs morts, c'est notre nourrice Lisa qui s'occupe de nous "non sans peine je vous l'accorde". Quant à nos parents biologique le mystère reste entier, car l'on nous a dit qu'aucune personne n'avait un ADN correspondant de loin ou de près au notre et donc nous sommes en quelques sortes "Personnes". Bref retournons à l'histoire "sauf si mon monologue vous a gonflé et que vous vous êtes barré, pour cela, tant pis pour vous. Nah !"
(– Moi : Gogol la fille, mais on dira rien. – Alliana : Ça te va bien dire ça, c'est toi qu'il lui dicte ces pensée grosse c**** ! – Moi : Toi même d'abord. – Angeline : C'est fini oui ? – Moi et Alliana : Ouiiii . – Angeline : Bien, maintenant continue. Parce que moi j'aime bien ce que tu écries . – Moi : D'accord. ), bon, comme je le disais, Alliana me suivais, mais je faisais mine de rien, pour mieux la griller lorsqu'elle aura relâché son "attention" de vouloir se faire "discrète". Car personnellement, renverser deux pots de fleurs, se cogner dans quelqu'un, et avoir failli se faire écraser cinq fois en traversant sans faire attention au feux, j'appelle pas ça de la discrétion. Quand j'allais me retourné pour la prendre sur le fait j'ai ... atterri dans le torse d'un mec, "qui je trouve est plutôt bien musclé" j'ai voulu me dégagé mais, l'homme à poser ces mains autour de ma taille pour m'en empêcher.

- Mais lâchez-moi ! dis-je énervé d'un tel comportement.

- Et pourquoi le ferais-je ? dis l'inconnu d'un ton railleur.

- Parce que ... parce que …

- Eh ben mon Ange, ta perdu ta langue ? dis l'inconnu, qui s'avère être mon CRÉTIN de frère, qui est encore plus mort de rire qu'au départ.

- Ryan ! T'es vraiment qu'un crétin fini ! dis-je hors de moi, de par sa blague débile.

- Allez, soit pas fâché. dis-t-il d'un ton apaisant. Je ne voulais pas te faire peur tu sais.

-Alors pourquoi tu l'as fais ? dis-je peiné par mon propre comportement.

- Et bien j'ai vu "Miss Bond" à l'action, tellement absorbé par le fait de ne pas se faire repéré de toi, qu'elle a pas vu que le feu pour les piétons était passer au rouge et a failli se faire écraser par un 18tonnes . Et après avoir joué les cascadeurs pour la sauvé et l'avoir engueuler de son inconscience à ne pas regarder les feux quand elle marche, elle m'a expliquer que tu lui avais dit que tu rentré à la maison, mais que t'a pas pris la direction pour, donc elle t'as suivi, et par la suite moi aussi. dis-t-il de ce ton calme et apaisant que j'aime tant entendre lorsqu'il me parle.

- 6. dis-je simplement.

- Euh... pardon ? me dis-t-il étonné de ma réponse.

- Sa fait six fois que je manque de me faire écraser, enfin si c'est bien de ça qu'elle parle, hein, Angie ? dis Alliana un peu énerver et en même temps pas très fière de ses âneries.

- Oui. dis-je d'une voix faible.

- Va falloir qu'on parle de tes penchants à vouloir te faire écraser chouchou. dis mon frère d'un ton dur, mais avec un fin sourire aux lèvres.

- Oui monsieur. dis-t-elle avec un regard de chien battu et une mine enfantine.

- Bon si tu nous disais pourquoi tu ne rentré pas à la maison ? me dit soudainement Ryan d'un ton des plus sérieux.

- J'en … j'en sais rien. Je pensé être sur le chemin de la maison. dis-je décontenancée par ces paroles. Donc … si … on n'est pas … sur le chemin pour la maison ? On est où ?

Mon frère n'a pu avoir le temps de me répondre car un flash nous emporta et l'espace d'un instant j'ai cru voir l'image d'une personne qui m'est étrangement familière, mais qui pourtant je n'arrive à identifier. Ensuite j'ai atterri dans une sorte de marécage. Et c'est ainsi qu'a commencé mon aventure à la fois extraordinaire et, épouvantable.