Harry Potter

«Temps longs »

Chapitre 1

Voilà une nouvelle année qui commençait pour la rentrée des sorciers à Poudlard. Tout en espérant que rien de ce qui c'était passée des années précédentes se poursuivent ou recommence dans cette nouvelle année. Rien d'étonnant, chaque fois Harry et ses amis subissaient de la douleur à tour de rôle, de la souffrance et de la tristesse. Par contre, chaque fois ils en ressortaient courageusement. C'était bien lassant, avoir des cours, des devoirs, des examens pour ensuite courir un danger, voir ceux qu'on aime mourir et ressortir de tout ce cauchemar sans rien… Mais l'esprit lui, n'oublie rien. Tandis que Harry retournait chez les Dursdley et qu'il y restait enfermé, maltraité et bien solitaire puisque tout n'arrangeait rien avec son « maudit » cousin. Ce qui le faisait le plus souffrir, c'était que Dumbledore l'y obligeait. Encore plus Lupin et les gens de l'Ordre du Phénix qui ne semblait ne pas être en peine pour le laisser là-bas.

Ron lui, devais suivre sa famille, ses parents qui faisaient partit de l'Ordre. Hermione était chez ses parents, moldue. Elle au moins ses parents l'aimaient et tenais à elle, tandis que lui… c'était tout autre chose. Harry ne devait rien dire, il ne devait pas avoir son mots et devait rester dans un trou à attendre que les vacances se finissent pour retomber dans une nouvelle année, un nouveau cauchemar. Pourtant il avait mieux hâte de risquer sa vie que de rester chez les Dursdley. Sa fête avait passé, elle commençait chaque fois vers la fin des vacances et toujours sans le moindre cadeau, le moindre « Bonne fête pour tes 16 ans ». Au moins il recevait des lettres de la part de ses amis et quelques cadeaux fabriqués par Mme Weasley. Toujours les mêmes chandails de laine, mais il en retrouvait toujours une joie de les porter ou l'attention que Mme Weasley lui portait à lui fabriqué de beaux gilets.

Il ne supportait plus de repenser à toute c'est dure épreuve qu'il avait du endurer, sois seul, avec Ron ou Hermione. Il les avait toujours mis en danger, il réussissait toujours à s'en sortir. Mais chaque fois, il redoutait que le pire arrive, que tout se finisse pour de bon. L'année dernière il avait perdu Sirius… Son bon vieux Sirius, tellement il le regrettait de les avoir emmener dans une impasse. Dans un piège qu'il ne lui était en rien que sa curiosité trop grande. Jamais, non jamais tout ses rêves lui aurait tant procurer se désire de savoir, rien de tout cela aurait arrivé. Sirius serait auprès de lui à le comprendre et l'aimer. Maintenant tout les membres de sa famille se retrouvait là-haut, parmi les nuages. Que lui arriverait-il dans les prochaines années? Il voulait mourir, retrouver ses parents et vivre parmi eux dans un monde blanc et sans magie, sans danger. C'était impossible, c'était lui, lui le seul, lui à pouvoir vaincre Voldemort, lui à lui résister, lui à courir tout les épreuves les plus sanglantes, lui à qui il avait tout perdu à sa naissance, lui qui ne voulait simplement être cru.

Ses pensées était trop lourde et trop malheureuse pour qu'il puisse y survivre. Pourtant, elle le chassait toujours et il en avait mal. Ses yeux bleues était fixe et regardait l'extérieur. Devant sa fenêtre, Harry ne retrouvait aucun autre endroit aussi tranquille et paisible. Il pleuvait, il s'empressait de regarder les gouttelettes tombé, lentement, rapidement. Un long soupir sortit de ses lèvres, embuant la partie de la vitre qui reflétait son visage. Il était pourtant fatiguer, mais ne voulait se coucher. Harry referait tout ces cauchemar, culpabiliser, Voldemort, piège ou encore Sirius…

Cette pauvre harpie ne cesse de jacasser!

Entrant dans la chambre de Harry, son cousin Dursdley se mit à faire des pas infernale tout en bourrassent quelques objets qui se trouvait sur son passage, les mains en l'air en les balayant avec hystérie. Hedwidge voletait au dessus du cousin grassouillet, ses plumes revolèrent un peut partout, celle-ci espérait attaquer Dursdley mais à la vue d'Harry elle s'arrêta et se percha à ses côtés, sur le rebord de la fenêtre. Le jeune garçon qui s'était assoupit, ouvra les yeux bêtement après ce vacarme et haussa un sourcil en voyant Dursdley.

Qui t'a permis d'entrer? Grogna le jeune homme.

Ta stupide mouette ne cesse de hurler et c'est très énervant. Si tu ne l'as fait taire, papa va l'empailler et se faire un jolie trophée auprès du foyer.

Hedwidge semblait tout entendre, quoi qu'il disait, elle se mit à faire un houhoulement avec certains yeux innocents.

N'y compte pas, sinon c'est moi qui va t'empailler en cochon! S'écria Harry en sortant sa baguette tout en la pointant vers son cousin.

Je m'en fiche, tu as pas le droit d'utiliser de la magie en dehors de ton école de cinglé. Se moqua Dursdley. En plus, ma gang viendras te cassé les jambes.

Harry soupira. Dursdley commençait royalement à l'énerver, surtout de sa voix grave et grinçante, rien ne lui donnait envie de lui faire une jolie peur pour une fois, peut-être comme l'année dernière….

Je ne crois pas que ton père connaisse tes cher « amis ». Et puis, à quoi cela pourrait te servir de partir une folie familiale tandis que je fiche le camps d'main. T'aimerais surtout pas que tes parents te déteste comme moi, le gros Dursdleychinou n'aurait put ses petits parents pour le défendre et l'embellir de petit jouet pour le bac à sable?

Harry sentait que tout ses paroles pompait son cousin à telle point de le frapper, mais qu'il essai! Il n'a pas que la magie qui blesse une personne. Pour embellir le tout, le jeune sorcier se mit à rire d'un ton moqueur et la goutte explosa. Dursdley se jetait sur lui, mais Harry lui jeta un de ses vieux bouquins épais qui écrasa la tête de son gros cousin. Avec un sourire sur les lèvres, il fixa Dursdley s'éclipser par les houhoulement de Hedwidge. Le garçon se retourna vers sa chouette, avec un sourire vainqueur il flatta son jolie volatile blanc en dessous du menton. Elle semblait apprécier avec ses jolies yeux caramel et dans un murmure :

Tant fait pas Hedwidge, bientôt tout seras finis et on ne remettra plus jamais les pieds ici. Tu peux me croire…

Satisfaite, la chouette blanche lâcha plusieurs houhoulement gaie. Le garçon posa un dernier regard par la fenêtre, même sous la pluie les temps semblait plus en plus sombre. Il se dirigea vers la porte, la referma, repris son bouquin et le déposa à son chevet. Les lunettes placé, il se laissa tombé dans son lit d'une façon lasse, trop lâche d'enlever ses vêtements il voulait dormir et se retrouver à demain, dans le train.

Harry avait retrouver ses amis à la gare King'cross et heureusement cette fois-ci personne avait essayer de barré le plate-forme 9 ¾ ou encore avait suivit à sa sécurité. Bien qu'il croyait que Lupin, Fol Œil et Tonks serait à ses côtés ou encore lui demanderait des nouvelles de ses vacances, des Dursdley qui l'aurait embêter, mais il n'avait personne. Simplement Mr et Mme Weasley qui les avait reconduit au Poudlard Express. Avant son départ, il aurait aimé revoir Fred et George, mais il était pas là. La seule explication que lui avait fournis Mr Weasley était que les jumeaux devait resté à la cachette, à l'affût des attaques ou d'être repérer par des mangemorts, tout lui paressait stupide mais devant le grognement de Mme Weasley ce n'était peut-être pas la bonne raison. Évidemment depuis que les jumeaux avait quitter Poudlard en plein milieu de l'année, elle devait être vraiment en colère, ou en pétard selon certaine expression des jumeaux. Harry se mit à sourire derrière cette pensée.

Le Poudlard Express se mit en fonction assez vite, les trois amis eurent simplement le temps de salué les Weasley qui se retrouvèrent à chercher un compartiment vide. Il y avait tellement de gens que c'était beaucoup trop difficile. Au moins, ils n'étaient pas tombé sur le groupe de Malefoy, un miracle en début d'année. Enfin, Hermione trouva le compartiment parfait et les trois amies s'y installèrent. Comme d'habitude il n'était que le trio, Ginny devait sans doute être avec Luna et ses amis ou encore son petit copain, tandis qu'au jumeaux…. Enfin…

Pendant le trajet, les quelques heures passé tout était silencieux, enfin, pour Harry qui n'entendait plus Hermione et Ron se chamailler. Simplement le fait de voir le paysage à l'extérieur de la fenêtre était une joie, un espoir pour lui de se retrouver dans le monde de la magie avec ses amis. Plusieurs fois, le sorcier remarqua de nombreux arbres, des lacs ou encore des champs à perte de vue. Alors qu'il allait fermer les yeux pour un peut de silence, Hermione se mit à hurler après Ron, pas étonnant. Le jeune garçon tourna légèrement la tête pour en voir ce qui en était : Ron tenait un vieux bouquins dans ses mains, de sa grandeur il le perchait au bout de ses bras, impossible pour Hermione. Sois Ron y trouvait un certains plaisir à toujours lui enlever ses livres « d'intellectuel » ou alors c'était une approche très subtile.

« C'est deux là vont finir ensemble dans un avenir proche. Sa se vois si bien! » Pensa Harry avec un air légèrement moqueur.

Ron! Rend moi ça immédiatement sinon….

Sinon quoi? Tu vas me transformer en rat? Susurra le rouquin avec un rire moqueur.

Tu ne devrais pas Ron, 'mione est calé en la matière. Répondit Harry avec une voix dédaigneuse avant de se retourner vers la fenêtre.

Hermione s'était jeté sur Ron pour essayer de reprendre son bien. Du coup elle tomba sur lui et dans un fracas ils tombèrent contre le sofa du compartiment, ses cheveux légèrement bouclés tombèrent dans le visage du sorcier roux. Mais Ron éloigna toujours le bouquin de la porter d'Hermione. Avant qu'ils ne réagissent, leur regard croisèrent celui de leur ami. Tout deux arrêtèrent spontanément de bouger.

Quoi? Demanda la jeune fille sans broncher.

Rien rien…

La sorcière lâcha un soupir et afficha un regard sévère.

D'accord, d'accord. Simplement le fait de vous voir ainsi, pas l'un par dessus l'autre, mais le fait que vous vous chamailler souvent et bien…. Je me dit que le destin vous réuniras.

Hermione et Ron se regardèrent, elle ne semblait pas savoir aperçut d'être sur Ron, même si toutefois elle trouvait, d'une certaine façon confortable, elle le nierais. De cette tactique caché, elle en profita pour lui piqua son livre d'un air triomphale tout en se rassissant sagement dans son coin.

- Beurk!!! S'écrièrent les deux amis tout en se tassant dans des coins opposées.

Sur le coup, la sorcière se mit à rougir, il ne c'était rien passé et Ron n'était qu'un espèce de goinfre! Ignorant tout, Hermione ouvrit son livre et le feuilleta. Ron regarda Harry d'un air un peut perdu, mais il savait bien que Harry c'était fait une plaisir de les ridiculiser tout les deux, malgré tout, le rouquin resta « évacher ».

Sa suffit! J'en ai complètement marre de te voir rigoler de….

Vicky?!! Demanda Ron avec un sourire narquois.

Grrr! Arrête de l'appeler comme ça!

Pourquoi? Répliqua le jeune sorcier avec un air de défis.

Parce que je te dévisse la tête! Grogna Hermione.

Voilà, tout était repartie pour les cher « tourtereaux » ce que Harry prit un énorme plaisir à les voir ainsi même si ce n'était que pure amitié délirante. Sans doute, n'aurait-il pas de tranquillité dans un avenir proche avec eux. Pour une fois que tout pourrait allé silencieusement dans le Poudlard Express, Harry se détourna vers ses deux amis avec un air las.

Vous pourriez pas être sage pour une fois? On va peut-être mourir cette année, alors rappelai vous de faire la paix et de vous dire « je t'aime ». S'écria-t-il et qui lui fit un malin plaisir à leur répondre.

Comme si Pattenrond avait entendue les paroles d'Harry, celle-ci se leva des genoux d'Hermione et sauta sur le sol et mordilla la cheville du sorcier qui lâcha un gémissement d'un soubresaut. La chatte sauta sur les genoux du garçon, tourna en boule et s'y installa confortablement en ronronnant. Rien à faire, il lui caressa la tête.

Pendant le reste du trajet, Harry avait trouver le silence bien apaisant. Hermione avait décidé de payé une tonne de friandise à Ron, lorsque le raque était apparut à leur compartiment et de se fait, il ne se passerait plus rien de gênant, puisque le sorcier roux serait trop occuper à se goinfrer dans les friandises, comme elle l'avait prédit!

Lorsqu'ils arrivèrent afin à destination : Gare de Pré-au-Lard. Le trio regardèrent les gens se faufiler dans l'allée centrale comme de jeune enfant empressée de rentrer aux pays des merveilles. Comment pouvaient-ils ignoré que Voldemort était de retour et que Poudlard serait plus dangereux? C'était stupide de leur part, mais Harry ne devait pas parler, lui-même et ses mais étaient revenu. Heureux de ne pas avoir vu Malefoy encore, le petit groupe sortirent du compartiment, mais Ron s'enroula dans une bosse et se retint tout près du mur, la friandise lui cala dans la gorge et il se mit à tousser orageusement. Hermione déclina la tête avec un soupir, alors que Harry s'était jeté au bras de Neville pour l'aider à se relever. Ce n'était pas le tapis, ni un sac mais bien Neville que Ron avait faillit pilé et qui s'était en fait étouffer avec son bonbon.

Neville ça va? Demanda le garçon en l'aidant.

Oui oui, répondit-il. Bonne vacance?

Après mure réflexion, Neville trouvait bien sa question idiote. Passé des vacances chez les Dursdley on n'appelait pas sa de « belle » vacance. Après tout, il le comprenait très bien. Lui il ne lui restait que sa grand-mère, dont quelques fois elle lui faisait une certaine peur.

Bah… tu sais comment c'est en général chez les Dursdley. Fit-il avec un faible sourire.

Mouais..

Hermione venait d'afficher son épinglette de préfète et regarda Ron qui avait la bouche plaine de bonbons ainsi que Neville qui était dans l'allée. Joyeuse de démasquer tout le monde :

'lut! Répondit Ronald.

Ron, tu devrais pas manger autant de bonbon, tu vas devenir aussi énorme qu'un ballon. Enfin, ce ne sera pas mon problème…. Oh! Neville, toi tu devrais pas resté dans l'allée comme ça.

Hé! Mais c'est toi qui m'a payé tout ça en me disant que « Profites-en puisque c'est bien manger » Rétorqua Ron à la défensive.

La jeune sorcière ignora tout simplement le jeune homme roux. Pas la peine de recommencer tout se chamaillement et ils allaient bientôt entrée à Poudlard, alors en temps que préfète elle devait faire bonne preuve. Deux préfets à se jeter des bêtises n'est pas très encourageant, surtout qu'ils devaient montrer l'exemple.

J'espère que tu es content de retrouver notre bonne vieille 'mione. Demanda Harry à l'intention de Neville alors qu'ils sortirent du train.

Les quatre amis se dirigèrent à l'extérieur, dans la pluie à la recherche d'une diligence libre qui pourrait tous les abrités. Mais chaque fois elle était pleine ou d'autre faisait signe qu'il était garder en prétendait qu'il était garder à leur amis, alors qu'il ne voulait qu'être seule. Enfin, les garçons aperçurent Hermione entrer dans une diligence et ceux-ci s'approchèrent aux pas de courses dans cette pluie. C'était Ginny et Luna, heureux de voir des personnes connaissables, ils embarquèrent à leur tour.

Salut! S'écrièrent les deux jeunes gryffondor d'une même voix.