Disclaimers : Ils ne sont pas à moi
Hellou, voici la nouvelle fic Haikyuu. Bon comme je l'ai annoncé dans la fic Haikyuu Quest, j'ai hésité entre faire une fic Omegaverse ou Gender Bender. Je vais donc écrire la fic Omegaverse d'abord, je ferai celle Gender Bender ensuite. Cela sera essentiellement du TsukiHina car on va dire que j'ai eu ma dose de couples classiques pour le moment donc il y aura pas mal de cracks parings. Je vous souhaite une bonne lecture. :)
Prologue :
Hinata le sentait. Cette sensation oppressante dans l'air, cette odeur acre qui emplissait ses narines. Une odeur forte et masculine. Des bruits de pas indiquaient que la personne était proche. Elle errait à la recherche de quelque chose. De quelqu'un.
Son corps tremblait légèrement, il se recroquevilla pour tenter de se calmer. La porte de sa chambre grinça. Une senteur tendre et légère embauma la pièce. Sa petite soeur.
"Grand frère, j'ai peur."
Hinata lui fit une place dans le lit. Tout comme lui, elle pouvait sentir cette présence. Natsu était une enfant précoce pour son âge et le roux regrettait que le médecin eut déterminé sa classe si tôt. Il la serra dans ses bras. Le parfum de Natsu le détendit un peu, le distrayant de ce relens de sueur, de cette fragrance de peur, de désespoir, d'une faim inassouvie.
Celle-ci s'éloigna pour faire place à un cri strident. Hinata boucha les oreilles de Natsu pendant que des larmes coulèrent de ses yeux. Il savait ce qu'il s'était passé, il en connaissait aussi la raison. Celui qui avait tué cette jeune fille n'allait pas faire long feu, non plus, le temps qu'il se rende compte de ce qu'il avait fait.
Une odeur du sang planait insidieusement.
"C'est fini, Natsu."
La petite fille s'endormit petit à petit, rassurée que le monstre soit parti. Shouyou, lui, eut énormément de mal á trouver le sommeil. La police retrouverait certainement les deux corps demain puis, lorsqu'elle examinerait le tueur, elle classerait certainement cette affaire comme un incident. C'en était devenu une habitude à force mais on n'y pouvait rien. On en parlerait certainement demain au lycée, donnant ainsi un prétexte de plus pour ne pas s'approcher des omegas, ce qui l'arrangeait en fin de compte. Aucun alpha ne l'importunerait ainsi.
