Résumé: Tout à commencé lorsqu'ils naquirent. Au début, ils n'avaient ni renommée, ni talent, ce n'étaient que deux nourrissons ordinaires. Et puis un jour leur nom inspira la peur et le respect. Mais avant d'être les dragons jumeaux de Sabertooth, ils n'étaient que Sting et Rogue.
Ou comment inventer un passé à des personnages secondaires.
Les personnages et l'Univers de Fairy Tail appartiennent à son créateur.
Il est possible que certains éléments diffèrent du manga. Avis aux puritains: c'est Mon histoire je fais ce que je veux nah! Mais toutes les divergences seront expliquées et détaillée.
Love you guys
Le nouveau née, 6 mois
À l'Orphelina à Enka
A L'orphelina Sainte Pétronille à Enka on connaissait parfaitement celle que tous nommaient avec crainte la Directrice. On utilisait son nom en échange de l'obéissance des enfants qui le murmuraient avec crainte comme on ose à peine évoquer les fantômes et les monstres. Enka était un pays hivernal, insulaire, coupé du continent par une mer violente et capricieuse. C'était un terreaux idéal pour certaines installations de mauvaises réputations, La Directrice menait l'un d'eux d'une main de fer.
Les nones de l'établissement de Sainte Pétronille avaient appris à apprécier les visites strictement professionnelles de cette femme intimidante toujours en tailleur écarlate. Si on ignorait tout de sa véritable identité, on savait qu'elle venait une fois par trimestre à l'Orphelina, elle repartait presque systématiquement avec des enfants qu'elle emmenait dieu sait où.
Enka était à lors en pleine guerre civile, les orphelinats devaient parquer les enfants en surplus, et les religieuses cédaient donc volontiers les pupilles de la nation. Même à des femmes aux objectifs plus qu'ambiguës si ce n'étaient inconnus. On savait vaguement que l'Institut menait des expériences sur des enfants, du genre qu'on ne voulait pas qu'opérer sur sa propre progéniture mais qui ne dérangeaient nullement si on l'effectuait sur des orphelins sans attache.
Cette fois ci la Directrice était venu avec une adolescente en blouse blanche, nattée, un air survolté et affirmé. La directrice venait toujours accompagné d'un médecin de sa compagnie nébuleuse qui procédait aux inspections des enfants. Si un médecin trouvait parmi les locataires du pensionna un candidat les satisfaisants, il faisait signe à la Directrice et cette dernière décidait si oui ou non elle prendrait la bouche à nourrir. Généralement, la Directrice se fiait à son instinct là où les médecins qu'elle rameutait avec elle exposaient toutes sortes d'arguments scientifique.
La Mère suppérieure arriva avec panache pour son rendez vous trimestriel. Les deux femmes échangèrent des politesses hypocrites, puis la Mère mena les deux extérieurs dans une salle où elle avait regroupé le nouvel arrivage d'enfants. Dix-sept, tous plus jeune que 4 ans, et de toutes les villes dévastées de là régions. En entendant que certain venait de Gdrast, la ville qui avait subie une attaque chimique, le docteur élimina deux d'entres eux. Les autres provenaient de villes détruites par le feu ou les armes, comme aucun élément survenus n'avait put altérer sur le long terme la santé des rejetons, elle les examina.
Après son inspection docteur ordonna à six d'entre eux d'avancer, le septième, un bébé de quelques mois, elle le porta elle même jusqu'à la femme en rouge. La Directrice en sélectionna trois, comme on s'approprie des bêtes de sommes. Elle ne demanda pas leur nom, la doctoresse qui l'accompagnait plaça autour de leur poignets trois numéro et ce fut tout.
C'est ici que 712 fut choisit avec 456 et 237 par la Directrice. 456 était un môme de 2 ans, 237 une gamine de 4, puisque la Directrice refusait toute progéniture plus âgé et 712 venait d'atteindre, supposait on, son 6e mois. Tous les trois venaient d'un carnage produit à Enhtry, une sombre histoire de bombe. Ils n'étaient pas parentés, puisque la Directrice ne prenait jamais de famille, ou séparait les frères les sœurs.
La Mère suppérieure, remercia courtoisement. La voiture transportant les enfants disparut dans le brouillard. Jamais plus aucun de ces enfants ne foula le sol d'Enka.
