Chapitre 1 : La rébellion
J'entendis un cout de canon au beau milieu de la nuit.
Je sursautai et j'avais peur. J'enfilais mes chaussons de plume, et me dirigeait vers le salon. Le long et ténébreux couloir qui séparait ma chambre du salon, me glaçait le sang. Une lumière s'échappait du salon. Mes parents étaient blottis l'un contre l'autre sur le canapé, devants la vitre qui nous servait de télé. Leur visage était horrifié. Je commençai à m'inquiéter.
-Mère que se passe t-il ? Lui fis-je inquiète.
Mais elle ne me répondait pas. Soudain quelqu'un sonna à la porte, mon père se leva, il regarda par le petit trou en haut de la porte, et il déclara :
-C'est bon, ils sont là!
Il ouvrit la porte, de là jaillit des pacificateurs.
Ma mère me mit un manteau sur le dos, puis on se dirigea vers la porte pour sortir de la maison. On courait, mais je ne comprenais pas pourquoi. Un pacificateur, qui apparemment trouvait que je ne courais pas assez vite, me pris comme un vulgaire sac de pomme de terre, sur le dos.
L'immeuble ou je vit est assez grand, il nous fallu assez longtemps pour rejoindre l'ascenseur qui est au bout du couloir. Une fois que nous arrivâmes dehors, c'était mon visage qui était horrifié. Je ne sais pas comment décrire ce que j'ai vu. Je ne reconnaissais plus le Capitole. Il y avait des tours détruites, des flammes, des pacificateurs tiraient sur d'autre personne que je n'avais jamais vu auparavant. Ils étaient vêtus de haillons, les cheveux sales, on aurait dit qu'ils venaient d'une autre planète, ils avaient l'air très pauvres. Il y avait des hommes, des femmes, des enfants et même des bébés. Mais les pacificateurs tiraient sur tout le monde, ils n'avaient aucune pitié. On monta dans un hélicoptère, à l'intérieur se trouvait d'autre personne du capitole la plupart pleuraient. Tandis que l'hélicoptère s'éloignait du capitole, je sentis une larme glisser sur ma joue. C'était la fin.
