Salut à tout le monde ! Je suis nouvelle sur le site et je suis carrément folle du Révolutionshipping, qu'il se passe dans l'ancienne Egypte ou à notre époque. Je suis aussi une grande adepte du Silentshipping. Voici la première fic que j'écris. Bonne lecture !

Le titre de la fic changera peut-être avec la suite de la fic.

La belle amazone

Le pharaon Atem s'ennuyait. Les coudes nonchalamment appuyés sur son trône, il somnolait presque. Rester assis toute la journée n'était décidément pas son fort. Il aurait bien voulu partir des jours entiers à l'aventure, au lieu de rester cloîtrer sur son trône en tentant de résoudre les quelques problèmes de son peuple. Qui n'étaient d'ailleurs pas bien important, car le plus important qu'il avait eu à résoudre cette semaine était de décider à qui était la poule qui se trouvait sur la frontière des terrains des deux égyptiens (je sais pas si les Egyptiens avaient des poulaillers mais franchement sa m'arrangerait beaucoup). Car ses temps-ci il n'y avait personne pour mettre les Egyptiens en danger de mort, ou permettre au chaos de prendre le dessus sur la paix qui régner dans le pays. Le pharaon avait bien tenté de convaincre son conseiller, Simon, de bien vouloir le laisser sortir du palais mais Simon l'avait tout de suite rappelé à l'ordre. Ce qui n'avait pas plu au pharaon, qui avait piqué une colère noire et refusa pendant deux jours de sortir de sa chambre. Mais maintenant tout était revenu dans l'ordre et le pharaon revenait participer à la justice de son pays.

Un égyptien : Pharaon, fils d'Horus et de la luminosité de Râ, je te prie de me redonner ce qui met dû.

Le pharaon, perdu dans ses pensées, sursauta et regarda l'homme qui venait de lui parler avec un air d'incompréhension.

Heureusement pour lui, Simon, qui avait écouter, lui chuchota :

« Il a gagné le procès. Il vous demande la permission de récupérer le coq que son voisin lui a volé. »

Le pharaon : Ah ! Oui, bien sûr, tu peux récupérer ton coq.

L'égyptien : Merci, vôtre grandeur sérénissime. Que vôtre règne soit……

Mais il fut coupé par l'arrivée de nombreux gardes, qui essayaient de retenir une jeune fille qui gesticulait dans tout les sens en disant :

Je n'ai rien fait ! Je n'ai rien volé ! Lâchez-moi, mais lâchez-moi !

A quoi un des gardes lui répondit en lui donnant un soufflet :

Tait-toi, sale garce et incline toi devant ton pharaon !

Un des gardes la força à se mettre à genou, alors qu'elle était encore un peu assommée par le soufflet qu'elle avait reçue. On ne pouvait voir de son visage que ses yeux d'un bleu pur comme celui du Nil et ses cheveux châtain foncé car elle portait un voile.

Le pharaon ne put s'empêcher d'être surpris par cette intrusion peu commune et regarda la jeune fille dans les yeux. Ce fut sa première erreur. Les yeux de l'accusée le paralysaient, l'envoûtaient. Il se perdit dans ses pupilles bleu pendant quelques minutes qui lui sembla être des heures. Le pharaon ne reprit ses esprit que lorsque la jeune fille détourna les yeux.

Le pharaon se dit alors : Mais que s'est-il passé ?

Le pharaon n'eut pas le temps de trouver une réponse à sa question que déjà le garde, qui lui avait mit un soufflet, commença à raconter les préjudices de la jeune fille :

Cette fille a essayé de voler de la nourriture à un marchand. Il l'a prise sur le fait et ….

Mais l'accusée ne laissa pas le temps au garde de continuer :

C'est faux ! C'est le marchand qui m'a proposé de prendre de sa nourriture et qui m'a faîte accusée après. Pharaon, tu dois me croire !

Celui-ci n'eut pas le temps de répondre. Le garde était déjà en train de la réprimander en la fouettant :

Mais où tu te crois, pauvre garce ! Chez toi ! On s'adresse au pharaon sur un autre ton et on ne le tutoies pas. Je te préviens, si tu refais encore….

Cette fois-ci, ce fut le pharaon qui l'interrompit, fou de rage :

Et toi ! De quel droit oses-tu, insolent, fouetter une jeune fille alors qu'elle exprimait sa vision des choses. Si je ne l'ai pas reprise sur la façon dont elle m'a parlé, c'est que je n'en avais pas envie !

Le garde, gêné et confus, ne put que répondre :

Je suis désolé, mon pharaon, cela ne se reproduira plus.

Atem ne décoléra pas :

Ce n'est pas en t'excusant que tu seras laver de ta faute. Tu seras enlevé de ta fonction de garde et tu passeras dix ans dans un cachot ou tu feras des travaux forcés. Regarde dans quelle état est la jeune fille !

La jeune fille était en effet en piteux état. Elle gisait avec de grosses rayures sur le corps, conséquence de la violence du garde. Celui-ci, d'ailleurs, partit pour le cachot, escorté par deux autres gardes après s'être excusé près de la jeune fille, qui avait commençait à ce réveiller. Le pharaon, qui s'était levé, l'aida à se relever.

En ce qui concerne la jeune fille, elle restera au palais le temps que je jugerai utile pour qu'elle se rétablisse.

Les prêtres et Simon, qui étaient présents, furent stupéfait par cette décision qui n'était pas dans les habitudes de leur souverain.

D'ailleurs le prêtre Seth fit entendre son opinion sur la décision d'Atem :

« Pharaon, ce n'est pas la peine de la garder ici, on peut toujours la loger autre part et… »

Le pharaon lui lança un regard glacé :

« Seth, je ne crois pas t'avoir demandé ton avis, après tout je suis le pharaon et si je décide que cette jeune femme doit rester ici, elle y restera. Est-ce bien clair Seth ?

Ce dernier, voyant la détermination de son souverain, ne put que répondre :

« Oui, pharaon. »

Le pharaon voulu retirer le voile de la jeune femme, qu'il tenait toujours dans ses bras, mais elle ne le lui permit pas :

« Je préfèrerai ne pas l'enlever, si cela ne vous dérange pas. »

« Tu sais, tu peux me tutoyer, mais dis-moi comment t'appelle-tu ?

Fin du 1er chapitre

Je sais, je suis sadique !

Mais qui est la jeune fille aux yeux bleus et aux cheveux châtains qui arrive a envoûter notre pharaon préféré. Mystère…

Vous le saurez au prochain chapitre ! Mais il ne sera posté avant le 2 août car je pars en vacance. Alors je vous laisse mariné ce premier chapitre.

Laissez-moi des reviews je veux savoir ce que vous en pensez. Que ce soit des critiques ou autres choses j'accepte tout. Rendez-vous au prochain chapitre.