Titre : Et peut-être...
Rating : K+ au as où owo
Personnages/Paring : Erzsébet "Elizaveta" Héderváry/Hongrie || Gilbert Beilschmidt/Prusse. PruHun. Sans sous-entendu ni rien, hein, gros PruHun, point.
Genre : Hum, Drama, Romance, Hurt/Comfort I think ?
Disclaimer : Les personnages et l'univers appartiennent à Hidekaz Himaruya. Enfin, cette histoire m'appartient. L'image ne m'appartient pas mais ELLE EST TROP BELLE BLBLBLBL.
N/A :
JE SUIS EN MANQUE AAAARG.
En manque de PruHun, hein.
Putain que j'aime ce couple et blbl, pourquoi les seules fics que je trouve sur eux font souffrir mes feelz, hein ? *sobs*
Bref. Sincèrement, si vous avez à m'en conseiller, autant en français qu'en anglais ou en allemand (soyons fous), je vous en prie. /crève/
Bref bref bref. Sinon. Tout va bien chez vous ? *meurt* J'espère en tout cas owo o/
Pour ce qui suit... C'est un petit drabble écrit il y a un certain moment, que j'ai retrouvé en fouillant dans mes papiers. Voilà. Ne vous attendez pas à quelque chose de très long ou développé, c'est... Un drabble quoi. /crève/
Pour le contexte... Eh bien, univers canon, durant la Guerre Froide - sans date fixe. Sinoooon... Vous remarquerez que j'appelle Hongrie Erzsébet. C'est l'équivalent hongrois d'Elizaveta, en fait (qui est russe. Je refuse qu'Hongrie porte un prénom russe bigsfhi /shot/), donc je continuerais de l'appeler ainsi car c'est juste, plus cohérent quoi. /crève/
Bref bref bref bref, je vais arrêter de vous embêter *keur*
Bonne lecture ~ :3
ET PEUT-ÊTRE...
Elle se sentait tellement perdue, tellement seule, et soudainement si craintive, parfois, perdue dans cette grande maison russe. Elle observait les gens autour d'elle qui semblait répéter une chorégraphie bien rythmée ; et alors elle tremblait, un peu, doucement. Et alors lui apparaissait, devant elle, avec son sourire doux et ses yeux brillant, et il murmurait, constamment, comme une douce mélodie jamais oubliée.
« Erzsi... Erzsi... »
Et ce prénom presque effacé de sa mémoire revenait, doucement, comme voulant hanter le souvenir quelconque de deux enfants blottit l'un contre l'autre à la lueur d'un feu, yeux dans les yeux, répétant toujours cette même litanie, ces mêmes surnoms qui leurs dévoraient les lèvres.
« Erzsi... Gil... »
Et puis alors que les autres continuaient leur chorégraphie lui s'approchait, et lui prenait la main, et lui souriait toujours, toujours en l'appelant, comme avant, quand elle était le petit Erzsi, la jeune Erzsébet, Elizaveta pour tout le monde – plus simple, tellement plus simple. Et alors elle arrêtait de trembler ; et peut-être qu'elle lui souriait, parfois aussi – parce qu'il était là, encore, que sa présence lui faisait du bien, simplement du bien. Parce qu'il tenait bon alors elle ferait pareil. Parce que tant que Gil serait là elle serait toujours Erzsi. Ils s'échapperaient de l'hiver russe, ils briseront les murs et les armées si il le fallait – mais leurs yeux pétilleraient de nouveaux, leurs sourires se feront échos, leurs mains resteront liées. Parce qu'ils le méritaient. Parce qu'ils voulaient goûter à la paix.
Et peut-être parce qu'ils s'aimaient, aussi.
Voilà, j'espère que ça a été *keur* N'hésitez pas à laisser un petit mot !
Je vous aime fort, bisous à tous ! *câlin*
Sinon, petite minute d'auto-pub :
J'ai une page fb et un twitter à présent, si cela vous intéresse owo Les liens sont en haut de mon profil o/
