Titre:Je t'emmènerai jusqu'en enfer
Auteur :The sasuGay
Disclaimer : Ces personnages ne sont pas les miens ! Je me permets de les emprunter à notre cher Masashi Kishimoto !
Couple : Narusasu et d'autre à découvrir.
Raiting: M
Note de l'auteur : Bonjour tout le monde, voici ma première fan fiction à chapitre ! J'essayerai de vous postez un chapitre au moins tout les deux semaines, mais si je peux en poster une fois par semaine je le ferais évidement.
Les personnages sont un peu ooc, et je pense qu'il y aura un lemon mais quand et où, aucune idée.
Oh et je me suis corrigé une fois, je me suis fait corriger une fois et j'ai utilisé un logiciel de correction ! Il ne devrait pas y avoir de faute.
Sur ce,
Bonne lecture !
Tokyo, 22 avril 2035 11 h 00.
La ville de Tokyo était inconsciente. La mégalopole semblait morte, il n'y avait aucun bruit, aucune forme de vie. Les buildings, si dominants et si caractéristiques à Tokyo, étaient vides et endommagés. Leurs vitres étaient brisées et un capharnaüm régnait dans les bureaux auparavant si organisés.
Quant aux rues, des voitures y étaient arrêtées comme si les conducteurs avaient tout simplement disparus en un instant. Seules quelques portières encore ouvertes laissaient croire qu'ils avaient tous fuis en abandonnant leurs véhicules. Ceux-ci étaient à présent en piteux état.
Il y avait du sang sur les carrosseries, sur les sièges, les volants et sur les pares-brises qui avaient été souvent fissuré, voir brisé. Des airbags étaient même déclenchés. Tout laissaient croire qu'une guerre avait éclaté dans les rues de Tokyo.
Les trottoirs, auparavant si propre, étaient tout autant en piteux état que les buildings ou les voitures. Toutes sortes de déchet jonchaient les rues : du verre provenant des vitrines éclatées, des mouchoirs et vêtements immaculés de sang, des bouts de caoutchouc provenant des roues éclatées, de la nourriture décomposée, ... Toutes sortes de choses rendaient cette ville, en cette si belle journée ensoleillée, glauque et triste.
La nature avait commencé à reprendre ses marques dans la ville. Les buissons habituellement si bien taillés s'étalaient là où ils n'avaient pas le droit auparavant. Les animaux erraient dans les rues comme bon leur semblait, ne se souciant plus de la fourrière ou des humains qui les dominaient. Ils pillaient les magasins abandonnés par les hommes pour se nourrir et dormaient dans les buissons ou encore dans les appartements abandonnés.
Pourtant, un jeune homme aux yeux noirs et aux cheveux bruns coiffés en épi à l'arrière de la tête, s'y baladait comme si le chaos autour de lui n'existait pas. Il marchait d'un pas paisible, presque joyeux. Une musique entraînante était diffusée dans les oreillettes qu'il avait dans chacune de ses oreilles, rendant sa démarche presque dansante.
Il était habillé d'un pantalon treillis qui ne ressemblait en rien à un vrai équipement militaire. La coupe du pantalon était faite pour mettre un fessier en valeurs, seul sa couleur, ses poches et les Rangers qu'il portait aux pieds, rappelait une tenue militaire. Celle-ci était accompagnée d'un débardeur beige et d'une veste en cuir. Seules les armes qu'il portait nous prouvaient qu'il n'était pas un simple visiteur qui ne se rendait pas compte du chaos autour de lui. Et il était chargé. Il portait un lance-roquette et un fusil à pompe sanglés à son dos et un pistolet qui tenait à sa ceinture accompagnée de plusieurs balles et grenades.
Et pourtant, il se baladait tel un touriste. Il prenait des photos, faisait du shopping gratuit dans les magasins abandonné et fumait des cigarettes qu'il venait de prendre dans le conbini du coin.
Au bout de deux heures, il sentit son téléphone vibrer dans sa poche. Il le sortit et regarda l'écran. En voyant le nom « Suigetsu » s'afficher, il poussa un long soupir en levant les yeux au ciel et décrocha :
- Al...
- Putain Sasuke, tu fais le touriste ou quoi ?! T'es où ? Tu fais quoi ? T'as fait la mission ou tu te grattes le cul devant un temple bouddhiste ?! Le coupa une voix masculine qui semblait déplaire au-dit Sasuke qui éloigna le téléphone de son oreille, attendant que l'autre finisse sa tirade.
- C'est bon t'as fini ? Alors, tout d'abord, t'es pas obligé de crier. Deuxièmement, je ne suis pas devant un temple bouddhiste mais shintoïste. Et, troisièmement, non, je n'ai pas encore fait la mission car il n'y a pas un seul spécimen Zombie intéressant. Et puis, je profite de ce beau soleil que tu ne peux pas voir de là où tu es car les poissons pas frais comme toi restent dans leur mare !
- VAS TE FAIRE FO...Bip Bip Bip.
Sasuke raccrocha. Il savait très bien que dans Tokyo, trouver un mort-vivant était très simple. Il suffisait de faire du bruit et, même si le soleil n'était pas apprécié de ces spécimens, leur soif de chair l'emporterait sur leur animosité envers cette sphère chaude et lumineuse.
Mais Sasuke n'en avait pas envie pour le moment. Il voulait simplement profiter de cette ville dont il avait toujours rêvé de visiter. Et puis, malgré le désordre qui régnait autours de lui, Tokyo restait impressionnante.
Finalement, après avoir profité de son après-midi, en voyant le soleil se coucher il décida de s'occuper de sa mission. Il envoya un SMS à Suigetsu : « Je démarre, je suis à l'hôpital d'Ikebukuro. Je t'attends comme on avait prévue. Ne sois pas en retard. L'adresse est :... » et il compléta son message avec l'adresse où il se trouvait.
Il s'approcha de l'hôpital, prit une pince coupante qu'il venait de piquer dans un magasin et coupa la chaîne qui tenait les portes fermées. Sasuke avait choisi un hôpital car il recherchait un endroit doté d'une grande concentration de zombie. Et les hôpitaux étaient l'endroit propice, beaucoup de personnes contaminées y avaient été mis en quarantaine. C'était donc parfait.
Il entra en restant sur ses gardes. Il regarda autours de lui tout en restant à l'affût du moindre bruit. L'hôpital était dans un sale état. Il y avait partout des déchets, du sang, des seringues cassées, des cadavres, des lits déchirés et endommagés... Mais, il n'y prêta pas attention. Il regardait surtout si toutes les portes étaient bien fermées et il tendait l'oreille vers celles-ci pour y vérifier si derrière s'y trouvaient des créatures.
Il continua de progresser dans le bâtiment aussi discret qu'un chat. Il vit dans plusieurs couloirs aux étages quelques zombies qui marchaient contre des murs sur des corps en états de décompositions. Il passa donc habilement et sans un bruit derrière eux et, chacun leur tour, ils eurent droit à son couteau profondément enfoncé dans leur crâne ou moelle épinière et ils tombèrent tous comme des mouches.
Il fouilla les corps afin de trouver quelques potentiels objets intéressants et prit, sur un cadavre qui semblait être le directeur de l'hôpital, le badge qui se trouvais à sa ceinture.
Après avoir nettoyé les couloirs de l'hôpital, il se dirigea vers le toit où se trouvait le poste de contrôle de sécurité et d'électricité. Il plaqua son oreille à la porte pour essayer de discerner si les lieux étaient libres et sans danger. Il sortit le badge précédemment pris sur le directeur. Et le plaça sur la borne qui maintenait la porte bloquée. Il entendit le verrou se déverrouiller et s'arma de son couteau pour se défendre au cas où un agent de sécurité transformé aurait été enfermé à l'intérieur.
Il entra lentement en regardant chaque recoin. Puis, une fois après avoir sécurisé les lieux, il rangea son arme en soupirant et s'activa à rechercher le groupe électrogène qui permettait de récupérer électricité même s'il n'y en avait plus dans la ville.
La pièce n'étant pas très grande, il le trouva rapidement. Il l'alluma et l'hôpital devint le seul bâtiment éclairé et bruyant de la ville, ce qui réveilla quelques Zombies cachés dans les rues.
Mais le brun ne s'en préoccupa pas. Il s'assit sur le siège devant les postes de contrôle, passa le badge, et commença à regarder les caméras afin d'évaluer combien de Zombies se trouvaient dans le bâtiment.
Il en compta une centaine. Il s'intéressa donc au système d'ouverture des portes et ce qu'il vit le soulagea. Les portes de l'hôpital étaient toutes automatisées, donc elles pouvaient toutes s'ouvrir en même temps. Encore une fois, sa mission était, pour lui, déjà une réussite. Il posa donc ses pieds sur le bureau en laissant la chaise partir en arrière, prit son téléphone et commença simplement à jouer à des casses-tête chinois dessus tout en mâchant un chewing-gum qu'il avait trouvé dans un tiroir.
Il ne s'arrêta que quand il entendit un hélicoptère au loin. Il se leva de sa chaise en s'étirant et en baillant, regarda son téléphone et sourit en voyant que Suigetsu l'appelait. Il décrocha :
- Je suis là dans deux minutes, je te vois pas sur le toit. Tu fous quoi encore ?
- C'est bon, t'inquiètes pas, dit-il en sortant du poste de contrôle et en faisant de grands signes de bras. Tu me vois là ?! Laisses-moi deux minutes.
- Ouais, bouges tes fesses !
Sasuke sourit, raccrocha et ré entra dans le poste de contrôle. Il appuya sur quelques boutons de la machine qu'il avait déjà préparée et on put entendre toutes les portes de l'hôpital s'ouvrir en même temps. Il s'assura que celle qui reliait l'intérieur du bâtiment au toit soit bien encore fermée et il attacha une corde à la poignée tout en regardant l'hélico poser une cage qui était accrochée à celui-ci. Dans celle-ci se trouvait un homme ligoté.
Suigetsu, qui se trouvait dans l'hélicoptère, sortit une échelle, la laissant pendre au-dessus de Sasuke. Celui-ci lui fit un signe de la tête et il monta à l'échelle en tenant fermement la corde qu'il venait d'attacher à la poignée de la porte.
Une fois en sécurité dans l'hélicoptère, il tira un grand coup sur la corde afin d'ouvrir la porte qui ne demandait que ça vu la pression que lui infligeaient les Zombies agglutinés contre elle.
Les morts-vivants assoiffés de chair coururent sauvagement vers la cage encore fermée où l'homme ligoté hurlait et suppliait qu'on l'aide.
Mais les seules personnes capables de l'aider en cet instant étaient celles qu'il l'avait enfermé. Mais, instinctivement, il essaya encore et encore.
Sasuke regarda Suigetsu qui observait avec sadisme l'homme suppliant. Sasuke ne voulait pas en entendre plus :
- Qu'est-ce qu't'attends ? Ouvre cette putain cage qu'on en finisse ! Plus on attend, plus on arrivera tard, plus il y aura des risques qu'on ait des problèmes.
- Ah ? La petite princesse que tu es n'arrive pas à voir la souffrance des autres ? Tu es mignon... Lui répondit Suigetsu, un sourire sadique sur le visage.
- Ta gueule et dépêche-toi, lui répondit froidement le brun.
Le destinataire de cette insulte pressa donc le bouton de la télécommande qui se trouvait dans sa main. À ce moment-là, la porte de la cage s'ouvrit et les Zombies ne perdirent pas de temps. Ils s'enfoncèrent autant qu'ils le pouvaient dans la cage afin de dévorer le pauvre homme qui ne pouvait plus rien faire à part hurler sa douleur.
Suigetsu les regardait calmement, son air sadique encore collé au visage, alors que Sasuke s'occupait de s'attacher à son siège en remettant ses écouteurs dans les oreilles.
Une fois qu'une vingtaine de mort-vivant furent dans la cage, Suigetsu la referma, fit un signe au pilote de l'hélicoptère pour qu'il démarre et s'installa au côté de Sasuke. Celui-ci l'ignora tout simplement le plus possible, mais, ne pût le faire très longtemps vu que le « poisson pas frais » lui donna quelques coups de coude dans le bras pour que le brun s'intéresse à lui. Il enleva donc ses écouteurs et le regarda en le détaillant.
Suigetsu était mince et légèrement musclé. Il était plus petit que Sasuke : sa taille et sa musculature ne feraient pas peur à une mouche. Mais ses cheveux blancs coupés en coupe au carré, ses yeux violets et ses dents pointues qui semblaient avoir été limées pour ressembler à un requin auraient pu faire peur à n'importe qui. Il avait constamment un air sadique et ce n'était pas seulement une apparence.
Après un long soupire Sasuke ouvrit la bouche :
- Qu'est-ce qu'il y a ? Tu m'emmerdes pour que je t'écoute et tu ne parles pas ? Et arrêtes de me regarder avec ce sourire 'spece de malade.
- Rooh, ne me dis pas que tu as peur de moi ? Hahaha ! Je pensais que tu n'avais plus aucune compassion ou même espoir pour les hommes ? Alors, qu'est-ce qui t'arrive ?! Tu n'arrives même pas à regarder ce pauvre homme mourir ?
- Ooh ! Mais excuse-moi, monsieur le poisson de laboratoire. Moi, je ne suis pas passé sur la table chirurgicale du patron ! Donc désolé d'avoir encore une once d'humanité. Je n'ai peut-être plus d'espoir pour les hommes, mais je reste humain quand même. Je ne suis pas comme toi, à espérer que les poissons soit les maîtres du monde.
- Mais bien sûr, tu es juste trop sensible comme la petite princesse que tu es. Et puis, si ça te gêne, j'ai envie de te dire que nous ne t'avons pas forcé à nous rejoindre.
- Je sais. Je n'ai pas dit le contraire. Bref, laisse-moi tranquille. J'ai eu une longue journée et on va bientôt arriver, finit-il par lui dire en remettant ses écouteurs dans ses oreilles et en posant son regard sur le paysage qui défilait.
- Ouais, c'est ça ! Une longue journée de tourisme... marmonna Suigetsu dans sa barbe invisible. Il se mit aussi à regarder le paysage.
L'hélicoptère continua sa route, se dirigeant vers un autre quartier de Tokyo.
Tokyo, Odaiba, 22 avril 2035 19 h 00.
Le seul camp de réfugier de Tokyo se trouvait à Odaiba qui était une grande île artificielle se trouvant dans la baie de Tokyo. Auparavant, c'était un quartier où les Japonais et touristes s'y baladaient pour s'amuser et y faire du shopping. Ce n'était pas un quartier où on y vivait, mais plutôt un quartier commercial. Il y avait des parcs d'attractions, des centres commerciaux, des aquariums, des salles d'exposition, des boites de nuits et pleins d'autres choses pour y passer du bon temps. Mais aujourd'hui, c'était tout autre chose.
Comme cette île artificielle n'était accessible que grâce à des ponts, c'était l'endroit idéal pour y créer un camp en cas de désastre. Lors de l'épidémie, les autorités japonaises avaient mis en place des contrôles sur les ponts après une évacuation des lieux afin de créer ce camp de personne non-contaminées, le temps de trouver un remède ou une solution à tout cela. C'était donc devenu un quartier où l'on y vivait dans des tantes. Les gens, avec le temps, essayaient de vivre comme ils le pouvaient.
Étant l'un des plus grands refuges du monde entier, des « commerces » y avait été ouvert. C'étaient des « commerces », mais l'argent n'y existait pas. On se rendait des services ou se prêtait des objets. Les gens avaient enfin appris à vivre ensemble. Chacun y mettait du sien et tout le monde s'entraidait.
Au début, cela avait été très dur. Mais, après six ans, les gens s'y étaient fait. Ils avaient pleuré leurs morts, avaient fait le deuil de leur ancienne vie et, doucement, ils en avaient reconstruit une. Certaines femmes avaient même réussi à enfanter.
Les hommes allaient aider les autorités en faisant des tours de garde au pont, ou encore distribuaient les vivres qui arrivaient par bateaux ou avion des autres villes. Quant aux femmes, elles s'occupaient des enfants, des linges, du ménage, de faire la nourriture, afin de garder une hygiène saine.
On aurait pu croire qu'ils avaient remonté le temps à l'âge de pierre, mais les buildings encore présents rappelaient à tous leur vie d'avant. Certains pensaient même que le retour à la vie archaïque leur avait fait du bien. Eux, qui étaient auparavant seuls et qui ne pensaient qu'à leur travail avaient aujourd'hui une femme, des amis, voire des enfants.
Mais aujourd'hui, personnes ne se doutait que ce calme paisible n'allait pas durer et que tout changerait. Personne ne prêta attention à l'hélicoptère qui les survola. Ils avaient tellement l'habitude de leurs passages, qu'ils n'entendirent même pas le bruit que produisait l'engin. Il y avait souvent des hélicos qui partaient en recherche de survivant, de nourriture ou encore ils rapatriaient petit à petit d'autres petits camps du Japon qui eux avais plus de mal à s'en sortir.
Odaiba était l'un des plus grands camps du monde, plus de cinq mille personnes s'étaient retrouvées ici et vivaient en communauté. C'était un exploit par les temps qui couraient. Il s'y trouvait donc beaucoup de vivre, médecins, de militaires et de personnes aptes à protéger leurs espaces.
Ils ne prêtèrent donc aucune attention à cet hélicoptère. Les militaires aussi, n'y firent pas attention n'ayant pas trouvé d'utilité d'un système de contrôle aérien. Quel homme serait assez fou pour déclarer une guerre par ces temps ?
Personne ne vit non plus la cage recouverte d'un voile que portait cet hélicoptère qui survolais le toit du Sunshine city. Cet ancien centre commercial, aujourd'hui, était un lieu où on y logeait. Il y avait des tentes absolument partout, dans les magasins, dans les couloirs, dans les bureaux, dans les anciens espaces de personnels, et même sur le toit. Pas un mètre carré n'était pas équipé d'une tente, de douche où de toilettes.
Quand tout d'un coup, ceux qui logeaient sur le toit se rendirent compte du problème qui leur tombaient littéralement dessus.
La cage se libéra de son voile noire, s'éclata au sol et libéra une vingtaine de Zombie plus qu'affamés.
Ce fût le chaos.
Personne ne pût protéger leurs proches, ni eux même.
Vingt, puis trente, puis quarante, … L'épidémie se propageait prenant avec elle, hommes, femmes, enfants. D'autre mourraient sur le coup des dents s'enfonçant dans leur jugulaire. Ils tombaient un à un recouvrant de cadavres les sols.
Les militaires ne se rendirent compte de ce chaos que trop tard. Ils essayèrent de sauver le plus de personne possible, ne comprenant pas ce que les survivants essayaient de leur raconter. Mais ils firent tout pour les calmer, afin de faire leur travail au mieux.
Personne ne pouvait fuir. Tokyo étant totalement conquise par l'épidémie, quelques bateaux de ravitaillement et quelques avions essayaient de prendre le plus de femmes et d'enfants, mais, dans l'urgence, aucun de leurs équipements anti-crise ne pût réellement être mis en place. Personne n'avait pensé qu'une potentielle crise arriverait en plein cœur de leur camp.
Il n'y avait plus rien de serein. C'était le chaos. Les cris, les pleures, le désespoir envahissait l'esprit de chacun. Certains se mirent à prier pour eux et leurs proches, d'autres courraient pour sauver leur vie, ne sachant où aller. Il y avait ceux qui restaient dans leurs tentes, attendant leur heure et les plus courageux, qui se battaient aux côtés des militaires, essayant au mieux de tuer les Zombies. Mais le virus se propageait bien trop vite.
Odaiba rejoignit les autres quartiers de Tokyo. Un quartier abandonné, sale, et n'ayant pour vie que celle des morts.
N'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé 3 :D
