Première fanfiction publiée, la deuxième que j'écris en vérité mais bon...soyez indulgents avec moi siouplait QwQ
Le résumé dit tout, moi je rajoute que je dédicace cette fanfiction à la sublime Erizu-sama dont la fanfiction Rencontre Facebook ( ALLEY LA LIRE BANDE DE POULPES - ca vous fera patienter en attendant les prochains chapitres et puis franchement ca vaut le coup- ) m'a fait frissonner comme aucune autre fanfiction avant.
Je suis ouverte à toutes critiques, positives comme négatives du moment qu'elle est constructive, le premier qui me dit « olalala mais c'est nul ton truc là » sans argumenter, je lui envoie Murasakibara! Ouais non en fait. Aomine plutôt ou Akashi. Atsushi si tu lui sors des bonbons il devient inoffensif. Qu'on me dise que c'est nul, ok, pas de soucis, je débute dans un premier temps et ce que j'écris ne peut pas plaire à tout le monde dans un second temps. Cependant, si on me dit pas ce qui est « nul », quels sont les points négatifs de cette fic et bien je ne pourrais pas corriger ces problèmes et continuerais à écrire des fanfictions nulles, vous comprenez? Pour ce qui est du positif, tant que c'est pas hypocrite, jetez moi des fleurs, ça fait gonfler mon ego ( déjà plus que conséquent xD ) et me motive pour la suite!
Y aura quelques extra scène que je vous publierais à la fin de la fic si ça vous plait ( ou si j'ai le syndrome de la page blanche entre deux chapitres xD )
J'y connais rien en basket ou en photo/mannequinat du coup bah, yolo pour cette fic? xD
Note de Daiche : ( Traduite de l'anglais, je connais pas la nationalité de cet artiste owo )
« [...] Bien sur que tu peux! S'il-te-plait, juste, crédite moi mais si tu veux utiliser mes vêtements dans ta fiction, ça ne me pose pas de problème. [...]
Si tu veux m'utiliser comme personnage... bon, ok MAIS : 1èrement – j'aurais toutes les filles car, tu sais, je suis un lover! , 2èmement – Je ne suis pas gay ou un truc du genre, garde cette b*te loin de mon c*l merci, 3èmement – Si ça se passe dans un monde magique : je veux être un vampire!
Bonne chance avec l'écriture et dit moi s'il y a des reviews à propos de mes arts »
( J'avoue avoir ri sur le deuxièmement, mais chut xD big kiss à Daiche dont je suis tombée amoureuse des tenues et à qui après je ne sais combien de temps j'ai fini par demander si je pouvais lui piquer pour les besoins de mes fics à venir xD )
Si quelqu'un, une âme charitable veut faire la bêta-lecture je suis ouverte aux propositions sans soucis.
Sur ce je vous laisse à la lecture, ceci est un petit prologue voilà voilà, je vous promet rien pour mon rythme de publication mais les chapitres à venir devraient être plus longs que ça dans tous les cas!
« C'est bon, j'ai ce qu'il me faut, j'aurais espéré mieux mais bon, on peut pas tout avoir! »
Oh combien insupportable photographe mais tellement pétri de talent pour prendre la photo à l'instant où il le fallait, Akashi Seijuurou venait de mettre fin à la séance de ce jour là, toujours aussi peu aimable envers les modèles qui pourtant n'étaient pas laids et s'étaient donnés à fond. Mais rien n'était jamais suffisant pour le roux. Il voulait atteindre la perfection et malgré ses clichés pourtant magnifique, ce n'était pas encore suffisant, il manquait quelque chose. Qu'importe qu'il utilise les appareils les plus performants, les meilleurs décors ou qu'il travaille avec les meilleurs mannequins, pour les meilleurs stylistes, dans les meilleures agences. Il y avait toujours cette sensation de manque quand il observait ses clichés. Et si Akashi détestait quelque chose c'était bien de ne pas être pleinement satisfait de son travail. Il ne pouvait pas faire quelque chose de « partiellement réussi ». C'était impensable.
Il rangea son matériel dans son sac, vérifia que son costard noir n'avait pas pris de pli durant la journée, vérifia qu'aucune mèche ne dépassait de sa coiffure soignée avant de sortir de l'agence réputée, ne prêtant aucun regard à toutes les personnes qui s'inclinaient devant lui pour le saluer. Il regarda son téléphone, hésitant à appeler son chauffeur puis décida que vu l'heure, il pouvait bien se promener, chercher un peu d'inspiration en somme. Encore faudrait il pour cela que quelque chose trouve grâce à ses yeux.
« Akashi-san ? Seijuurou Akashi-san ? »
Le rouge tiqua, se retournant pour faire face à l'impudent qui avait osé prononcer son prénom ET l'interpeller alors qu'il marchait. Il toisa l'autre de ses yeux vairons, haussant un sourcil interrogateur en découvrant la personne qui lui faisait face. Un petit bout de femme dans une tenue simple, jean et t-shirt à manches longues noir, ses longs cheveux noirs remontés en un chignon tenant grâce à un crayon planté dedans.
« Que me voulez vous? »
Son ton était sec et froid, cassant. Son interlocutrice poussa un soupir las, pourquoi fallait-il que le photographe soit aussi... Akashi quoi?
« Vous savez Akashi-san, il existe une chose très appréciée en société et qui n'a jamais tué personne : l'amabilité. Je suis Kuroki Meisa, oui moi aussi je suis enchantée de faire votre connaissance. Sinon, pourquoi ne pas aller boire un café ensemble? Je voudrais simplement discuter avec vous. »
Le rouge tiqua à nouveau. Pour qui se prenait elle celle la? Personne ne lui faisait la morale. Kuroki Meisa... 28 ans, mariée, mère d'une fille de 4 ans, mannequin, actrice et chanteuse, pseudo-journaliste à ses heures perdues pour son blog. Mouais. Rien qui risquait d'entacher sa réputation. Cependant, elle lui avait tenu tête. Par conséquent il ne l'aimait pas. Aussi paradoxale que cela puisse paraître, il accepta sa proposition et l'invita généreusement, car oui il était généreux voyons, il était parfait après tout, à aller boire un thé avec quelques gâteaux. Mais sa véritable motivation n'était nulle autre que de la remettre en place. Il ne prêta aucune attention au personnel du café peu habitué à avoir deux personnes célèbres dans leur établissement et qui étaient dans un état de panique avancé depuis leur arrivée.
« Venez en au fait, de quoi souhaitiez vous me parler? »
« Dans le métier vous êtes réputés pour être un monstre, talentueux, mais un monstre tout de même. Pourquoi traitez vous vos modèles ainsi? Si vous n'aimez pas le rendu que vous avez avec eux, pourquoi ne pas choisir d'autres modèles au lieu de descendre ceux que vous avez? »
Il plissa le nez. Pour qui se prenait elle? Il allait finir par se sentir vraiment insulté. Ah non c'était déjà le cas, désolée. Elle n'avait aucun droit de le remettre en question ainsi lui et ses méthodes.
« Ce ne sont qu'une bande d'incompétent voila tout. Il n'y a pas de modèles suffisamment compétents, à ma hauteur, nul ne l'est. »
« Pourquoi continuer à les photographier dans ce cas? Pourquoi ne pas changer de métier Akashi-san? »
« Je fais ce que je veux. Et si j'ai décidé d'être photographe alors je le suis. »
La jeune femme fit jouer ses ongles vernis sur sa tasse en soupirant, ce n'était décidément pas gagné. Elle venait parler au photographe car une de ses amies était revenue d'un shooting avec lui en pleurant tellement il avait été odieux et si elle pouvait le pousser à changer que ce soit changer de vocation ou changer de méthode ou changer personnellement alors elle le ferait. Mais bon, vu le caractère de celui-ci ce n'était vraiment pas gagné d'avance.
« Et si vous vous lanciez des défis? Et que vous tentiez d'être plus aimables avec vos mannequins? Ils seraient plus détendus et donc le rendu des photos seraient plus naturel vous ne pensez pas? »
« Je travaille comme je l'entend Meisa. Sur ce j'ai à faire. Je vous laisse. »
Oui, un « bonne journée » lui aurait écorché la bouche. Elle l'énervait. Peut-être que son contrat avec Giorgio Armani allait se terminer mystérieusement si il glissait un mot ou deux aux bonnes personnes... M'enfin. Il se leva et sortit, la laissant en plan avec juste de quoi payer sur la table, ne s'attardant pas plus dans les alentours. Il était un professionnel reconnu, ses manières au travail ne concernait que lui, les résultats étaient là, le comment ne regardait que lui, non?
Sans se perdre pour autant, il laissa ses pas le porter à travers Tokyo, n'ayant pas vraiment de destination précise, ne cherchant rien de particulier mais étant attentif à l'éventuelle présence de quelque chose ou quelqu'un attirant son regard. Fait rare voir exceptionnel. Mais on ne savait jamais n'est-ce pas? Il s'arrêta devant un terrain de basket en plein air et le vit. Par réflexe il sortit son appareil photo et prit plusieurs clichés.
Pour la première fois il était époustouflé. Il était fasciné par ce spectacle. Parmi toutes les présences si ternes qu'il avait croisé jusque là, lui était lumineux. Ses cheveux et ses yeux du même bleu que le ciel, son corps fin mais athlétique, sa peau aussi blanche que de la porcelaine et cette passion dans ses yeux alors qu'il jouait au basket sur ce terrain, s'entraînant sans faire attention à ce qui l'entourait. Ce n'était qu'un adolescent mais pourtant il avait quelque chose d'unique. Jamais Akashi ne l'aurait reconnu à voix haute. Et pourtant, il voulait le voir de plus près, faire d'autres photos. Mais si il faisait ça, il sentait qu'il briserait quelque chose dans cet instant.
« OYYYY KUROKO! »
Akashi rangea précipitamment son appareil et regarda les nouveaux venus. Cinq. Cinq garçons. Un grand violet avec un petit métisse sur l'épaule, un brun avec une mèche cachant un de ses yeux, un grand rouquin et un grand brun.
« Kiyoshi-kun! Kagami-kun! »
« On a croisé Tatsuya et Murasakibara en chemin, ça vous dis un trois contre trois? »
Tous approuvèrent et vite les équipes furent formée, Seirin contre Yosen. Akashi ne su pas pourquoi il resta là à les regarder mais il partit avant la fin de ce match improvisé pour le fun. Seirin gagna même si ils ne comptaient pas vraiment les points, le petit métisse était un joueur passable, un meneur qui savait jouer sans pour autant se démarquer. La seule chose surprenante était son arrivée sur l'épaule de Murasakibara qui semblait le protéger. Tous avait l'étincelle de l'amour du basket dans les yeux bien que c'était dans ceux de Kuroko qu'elle était la plus forte. Le phantom shot aida d'ailleurs beaucoup la victoire de Seirin. Mais après tout, rien d'étonnant et puis ils ne jouaient pas sérieusement.
A la fin du match, Kuroko se demanda vaguement qui était le rouge qu'il avait aperçu regardant le match et ensuite partir dans une luxueuse voiture noire mais n'y prêta pas grande attention, saluant ses camarades et s'excusant du fait qu'il devait absolument rentrer chez lui car sa grand-mère risquait de s'inquiéter.
