NdA: Bonjour à tous et à toutes! En prélude à cette fanfic, je tenais à mettre certaines choses au clair... (non non! Vous n'avez pas à avoir peur : P)
Cette idée de fanfic me trottait dans la tête depuis un certain moment. Je suis carrément tombée amoureuse d'un pairing très populaire chez les fans (et avec raison!!)! Malheureusement, je ne peux pas vous dire maintenant quel est ce pairing car j'ai pour mandat de vous faire souffrir jusqu'à la dernière minute!! -Rire maléfique-
Disclaimer: Les personnages de l'histoire ne m'appartiennent pas! J'aimerais bien être extrêmement talentueuse, riche et m'appeler JK Rowling, mais ce n'est pas le cas :( Je suis donc obligée de préciser que je ne suis qu'une amateure qui a emprunté ses personnages sans aucun but lucratif!!)
Bon okay, mettons la dépression de côté là...¬ ¬
Avertissement: Cette fanfic comporte du slash, c'est-à-dire des relations homosexuelles. Si vous ne tolérez pas, cliquez sur la flèche «précédent» et choisissez une autre fanfiction! MAIS SI ÇA NE VOUS DÉRANGE PAS, NE LE FAÎTES PAS!! (J'ai quand même besoin de lecteurs...¬ ¬) De toute façon, sur mes trois fanfics déjà publiées, il y en a deux qui comportent du slash! Mais puisque c'était sur Brokeback Mountain et sur Marco X Dylan de Degrassi, je ne jugeais pas nécessaire de le préciser... Par contre, le pairing pourrait en surprendre plusieurs ici... (et plaire à plusieurs...-blush-).
Bon! C'est maintenant le temps de me crier «TA Y--!! On veut l'histoire!!» Ça va, ça va!! La voilà! Enjoy!:)
Prologue
Il faisait froid et quelques courants d'air se glissaient dans le col du jeune homme. Celui-ci remonta davantage la fermeture éclair de son manteau. N'ayant pas de gants, il cachait ses mains dans les manches de son manteau. Il avait tout simplement hâte d'arriver à destination. Noël approchait et le paysage était tout blanc. Les décorations de Noël transformaient la petite rue en arc-en-ciel. S'il ne s'était pas trouvé dans une rue moldue, il aurait probablement transplané. En fait, probablement pouvait-il trouver un coin sombre et tranquille pour le faire, mais il n'avait son permis que depuis peu et il avait toujours des malaises en le faisant. Il préférait donc marcher. C'était bien plus simple. De toute façon, il voyait déjà sa destination apparaître au loin. Il marcha donc encore un peu avant de finalement s'arrêter. N'importe quel moldu aurait pu se demander pourquoi il s'arrêtait ainsi, entre deux maisons. Il ne se préoccupa pas de l'étrangeté de son geste. Il se contenta d'attendre un peu. Au bout d'une trentaine de secondes, les deux maisons s'écartèrent petit à petit, laissant apparaître une maison un peu vieille et défraîchie. 12, square Grimmault. Aucun moldu ne pouvait la voir. Il grimpa les escaliers en quelques sauts et ouvrit la porte. Dès qu'il fut entré, il sut que les deux maisons de chaque côté s'étaient à nouveau rapprochées pour la cacher à nouveau. Il déposa son sac à dos et retira son manteau, qu'il accrocha sur un des crochets de l'entrée. Il secoua ensuite un peu sa chevelure qui était parsemée de petits flocons de neiges à moitié fondus. À peine eut-il terminé qu'une tête brune apparut dans l'encadrement d'une porte à sa droite.
«Harry! Je commençais à me demander si tu allais arriver bientôt!» s'exclama Hermione, qui avait un peu de farine au bout du nez.
«Désolé. Ça m'a pris un peu plus de temps que prévu, les Dursley me détestent toujours autant et m'ont fait perdre beaucoup de temps en m'insultant et me laissant entendre qu'ils étaient bien heureux depuis que j'ai quitté leur maison.» répondit le jeune homme.
«Oh... est-ce que ça va?» demanda la brunette.
«Depuis quand les insultes des Dursley m'affectent, hein?» soupira Harry.
«Mouais...vu ainsi...» ajouta la jeune fille en souriant légèrement. «Alors tu l'as trouvé?»
«Oui! Tante Pétunia l'a trouvé sous mon matelas deux jours après mon départ. Il ne lui avait pas semblé bon de m'avertir. J'ai de la chance qu'elle ne l'ait pas jeté, après quatre ans!»
Harry avait quitté la maison des Dursley l'été de ses 17 ans. Le mois de septembre qui suivit, il aurait, en temps normal, dû faire sa septième année à Poudlard. Mais il ne l'avait pas fait. Il s'était réfugié à Godric Hollow, seul, pour se préparer à affronter Voldemort. À sa grande surprise, à la mi-septembre, ses amis Ron et Hermione l'avaient rejoint. Il avait fortement insisté pour qu'ils rentrent chez eux, sous prétexte que c'était dangereux. Ses deux amis avaient été catégoriques. Ils l'aideraient qu'il le veuille ou non. Ainsi, ils s'étaient ensemble préparé à affronter le Seigneur des Ténèbres. Cette fameuse guerre s'était produite durant le mois de mars qui suivit. Ce ne fut pas un tel bain de sang que plusieurs s'étaient imaginé. L'affrontement avait duré une demi-heure. Qu'est-ce qui avait tué le mage noir? Même Harry l'ignorait. Ils avaient eut un affrontement plutôt semblable à celui de la quatrième année de l'adolescent. Un sortilège avaient relié leurs baguettes et le tout les avait énormément épuisé. Finalement, Voldemort avait hurlé et s'était effondré, mort. Définitivement mort. Les dégâts n'avaient pas été si désastreux, si l'on considère la gravité de la guerre. Les trois amis avaient survécu. En fait, parmi les membres de l'ordre, seulement deux avaient payé de leurs vies. Le professeur McGonagall en faisait partie. Elle n'était pas morte pour rien, bien au contraire. Elle avait contribué à éliminer de nombreux mangemorts dangereux qui menaçaient de mettre en péril la réussite de Harry. Elle avait malheureusement reçu un Avada Kedavra juste avant que le mage noir ne s'écroule. Beaucoup de gens avaient assisté aux funérailles de la femme qui était destinée à remplacer Dumbledore au titre de directeur de Poudlard. L'autre à mourir, était Draco Malefoy. À la surprise de tous, il était devenu un espion dans les rangs de Voldemort. La mort de Dumbledore l'avait traumatisé et convaincu que son côté n'était certainement pas celui du mal. Ainsi, il avait grandement aidé l'ordre à vaincre le mage noir. Malheureusement, il avait été tué par Severus Snape. Ce dernier avait été un traître en tuant Dumbledore, et l'était resté. Ainsi, lorsqu'il avait réalisé, durant l'affrontement, que Malefoy n'était pas du même côté que lui et qu'il avait trahi le maître, il avait profité d'un moment d'égarement pour trancher la gorge de l'adolescent. En juste retour des choses, Hermione avait peu après tué Snape. Personne ne l'avait pleuré. C'était ainsi que la guerre s'était terminée. Deux morts du côté de l'ordre. De bien plus nombreuses pertes du côté de Voldemort: Lucius Malefoy, Bellatrix Lestrange, Severus Snape, Peter Pettigrew...
«Pfff! Je n'ai jamais aimé cette mégère!» dit Hermione.
«Bienvenue dans le club!» s'exclama Harry en riant.
Tante Pétunia n'avait jamais fait preuve de gentillesse à l'égard de quiconque possédant des pouvoirs magiques.
«Alors? Tu veux bien me le montrer?» dit la brunette en s'approchant de lui.
Le jeune homme pris son sac et l'ouvrit pour en sortir un petit journal rouge à la reliure en or. Un gryffon était imprimé sur le dessus de la page couverture.
«Tu crois qu'il va l'aimer?» demanda le jeune homme.
«J'en suis sûre!» répondit la brunette en ouvrant doucement le cahier et passant ses doigts sur le papier remplit d'écritures diverses.
C'était un cahier qui avait appartenu à Dumbledore avant sa mort. Harry l'avait un jour trouvé dans son bureau, à la fin de sa sixième année. Puisqu'il était vierge, il s'était dit qu'il pourrait bien le garder en souvenir. À l'intérieur, il s'était amusé à recopier certaines phrases en différentes langues. Ça avait été son passe-temps durant le dernier été qu'il avait passé chez les Dursley. Seulement, en faisant ses valises lorsqu'il avait quitté cette maison, il avait laissé le cahier sous son matelas. Il n'en avait pas vraiment fait de cas, refusant d'aller le chercher chez ces personnes qu'il détestait amèrement. Seulement voilà, quatre ans plus tard, alors qu'il avait 21 ans et que Noël approchait, il ignorait quoi offrir à Ron. Hermione, étant la femme du jeune homme roux depuis deux ans, avait glissé un mot à Harry sur le nouvel intérêt de son époux pour les langues étrangères. Ainsi, le survivant avait marché sur son orgueil et était allé chercher le fameux cahier chez ses anciens tuteurs, qui s'étaient avérés être tout aussi désagréables qu'avant.
«C'est vraiment complet! Tu as dû y mettre beaucoup de temps!» remarqua le jeune femme en le refermant.
«Disons que je n'avais pas grand chose d'autre à faire. Et puis, parmi les livres miteux qui se trouvaient dans la vieille chambre de Dudley que j'occupais, j'ai trouvé un tas de dictionnaires de langues étrangères. C'est là que l'idée m'est venue.» répondit le jeune homme.
La brunette ouvrit la bouche, prête à dire quelque chose, mais ils entendirent tous deux des pas qui descendaient l'escalier. Ils se précipitèrent pour remettre le cahier dans le sac pour se tourner vers le nouvel arrivant. Ils soupirèrent de soulagement en voyant Remus Lupin.
«Harry! Je ne t'ai pas entendu arriver!» dit-il, un sourire aux lèvres.
«Bonjour, Remus. Désolé du retard, les Dursley ont été particulièrement désagréables.»
Le loup-garou eut un sourire en coin.
«Disons que je ne suis pas tellement surpris.» dit-il.
Les deux jeunes adultes s'esclaffèrent.
«Moi non plus, je dois avouer.» avoua le survivant.
Remus Lupin... l'éternel solitaire. Il avait eut une histoire avec Tonks, mais ça n'avait pas duré. Personne n'avait vraiment su pourquoi. Tonks semblait le savoir, elle, mais elle avait refusé d'en parler. Elle n'avait pas semblé en colère contre Remus. C'était plutôt étrange, et certaines personnes curieuses avaient tenté de découvrir pourquoi. Personne n'avait découvert et ils avaient tous abandonné, se disant que ce n'était probablement pas si important que ça en fin de compte. Ainsi, après la guerre, Harry, Hermione et Ron s'étaient installés dans l'ancienne maison des Black. Remus, quant à lui, vivait dans un petit appartement miteux et dégoûtant. Ils lui avaient donc proposé de vivre avec eux, la maison des Black comportant beaucoup de chambres. Il avait d'abord refusé, mais s'était laissé tenter. Il avait toujours vécu seul et un peu de compagnie ne pouvait en rien lui faire de mal. Ainsi, il avait emménagé avec ses anciens élèves qui étaient rapidement devenus de bons amis. Les trois jeunes adultes avaient reçu l'ordre de l'appeler par son prénom et non par son ancien titre de professeur. À vrai dire, «ancien» n'était peut-être pas le mot car, deux ans plus tôt, il était redevenu professeur de défense contre les forces du mal. Le nouveau directeur de Poudlard, Dieu merci, n'avait aucun préjugé contre les loups-garous. D'ailleurs, il ressemblait beaucoup à Dumbledore, mais en bien plus jeune. Ainsi, Lupin était de nouveau enseignant. C'était réellement ce qu'il aimait faire. Après de nombreuses années difficiles, il pouvait finalement se considérer heureux.
«Au fait, où est Ron?» demanda Harry.
«Il dort. Il a dû travailler de nuit et il était épuisé.» répondit Remus, devançant ainsi Hermione.
Ron était devenu auror. Plutôt surprenant. Personne ne se serait attendu à ce qu'il fasse ce choix de carrière. Pourtant, il l'avait fait et il s'avérait très talentueux et impliqué dans son travail. Hermione, quant à elle, travaillait au ministère. Peu de gens pouvaient expliquer ce qu'elle faisait exactement, mais elle travaillait constamment dans des montagnes de paperasses. Harry, quant à lui, n'avait pas vraiment de travail fixe. Adolescent, il rêvait de devenir auror. Combattre les forces de mal, c'était ce qu'il croyait être le mieux pour lui. Seulement voilà, après avoir vaincu Voldemort, il considérait avoir eut sa dose de ce genre de choses. Il avait donc tenté de s'orienter vers une autre profession, mais il n'avait toujours pas trouvé. Ainsi, en attendant, il accumulait les petits contrats à court terme. Jamais rien de bien gratifiant.
«D'accord... Je vais en profiter pour emballer son cadeau, alors.» dit le jeune homme.
Il laissa donc les deux autres bavarder un peu tandis qu'il allait chercher du papier d'emballage. Il se dirigea donc vers une des chambres de visite, dans laquelle se trouvait l'armoire contenant toutes les décorations de Noël, Halloween, Pâques, etc. ainsi que le papier d'emballage. Alors qu'il fouillait dans tout ça, le téléphone sonna.
«Je le prend!» cria-t-il avant de décrocher l'appareil se trouvant dans le couloir.
Ils avaient effectivement installé le téléphone dans la maison. Cela rendait les communications bien plus faciles. Enfin... après qu'ils aient expliqué à Ron que l'interlocuteur pouvait très bien entendre ce qu'il disait sans qu'il n'ait besoin de hurler, ce fut bien pratique.
«Oui?» demanda le jeune homme à la cicatrice.
«Harry! Salut! Ça va?» fit une douce voix féminine.
«Salut, Ginny! Oui, ça va. Et toi?»
Ginny... Trois ans plus tôt, lorsqu'ils s'étaient installés dans cette maison, ils avaient aussi proposé à la jeune rousse de vivre avec eux. Malheureusement, elle avait refusé. L'offre l'avait tenté, par contre. Peu après la chute de Voldemort, elle et Harry avaient repris leur relation là où ils l'avaient laissée. Elle aurait bien aimé aller vivre avec lui, même si l'intimité semblait totalement inexistante dans cette maison qui devenait surpeuplée, mais elle avait dit que ses parents se sentaient cruellement abandonnés. Tous leurs enfants, à l'exception de la cadette, avaient quitté le nid familial. Elle se sentait incapable de les laisser elle aussi, surtout dans une période aussi difficile. Ainsi, Harry et elle ne se voyait que lorsqu'ils le pouvaient. À ce moment-là, la jeune femme ne travaillait pas encore alors leurs emplois du temps étaient peu chargés. Trois ans plus tard, elle était l'associée de Hermione et elle l'aidait à accomplir sa besogne. Son emploi du temps était alors bien plus chargé, mais ça n'avait plus vraiment d'importance car ils avaient rompu deux ans plus tôt, après un an de fréquentation.
«Oh, oui. Pas trop mal. Est-ce tu pourrais me passer mon frère?» demanda la rousse.
«Eh bien, il dort je crois...» répondit le jeune homme à la chevelure noire.
«Plus maintenant...» fit une voix endormie derrière lui.
Il se retourna pour voir Ron, toujours en pyjama et les cheveux en bataille, sortir de sa chambre en baillant. Harry lui passa le combiné et retourna à l'emballage de son cadeau, en prenant soin de fermer la porte cette fois. Il entendit tout de même quelques bribes de conversations. Bill et Fleur filaient toujours le parfait amour. Bill avait toujours certaines habitudes canines, telles que manger de la viande crue, mais ce n'était rien d'inquiétant. Il n'était pas devenu un loup-garou et c'était ce qui comptait. Arthur et Molly, quant à eux, semblaient se faire à l'idée que Ginny quitte la maison pour aller vivre avec son nouvel amoureux, Neville Longbottom. Ils étaient ensemble depuis un an et envisageaient de s'installer ensemble. La jeune rousse s'était sentie mal à l'aise lorsqu'elle l'avait annoncé à Harry. Pourtant, ce dernier n'avait pas ressentit une once de jalousie et avait même semblé heureux pour eux. En vérité, il l'était vraiment. Il n'était plus amoureux d'elle et était soulagé de voir qu'elle était heureuse sans lui. Ensuite, la conversation dévia vers Charlie et Percy. Le premier avait déclaré, deux ans plus tôt, être homosexuel. Pendant longtemps, sa famille s'était découragée de le voir sans petite amie. Lorsqu'il avait avoué aimer les hommes, ses parents ainsi que quelques frères et amis s'étaient légèrement éloignés, mais avaient finalement accepté sa vraie nature. À l'exception d'un ou deux amis, par contre, s'il avait bien compris l'histoire. Bon, Percy était toujours froid, mais il l'avait toujours été. Ainsi, l'aîné de la famille vivait depuis avec son nouveau petit ami. Percy, quant à lui, était toujours aussi désagréable, mais il se rapprochait petit à petit de sa famille. Même son tempérament s'améliorait légèrement. Il visitait sa famille, de temps en temps. C'était déjà ça. Sa mère en était ravie. Finalement, Harry crut comprendre que les jumeaux faisaient toujours fureur avec leur boutique de Farces et Attrapes. Pas tellement surprenant. Ensuite, ce fut les salutations et ils raccrochèrent. Le survivant entendit son ami descendre l'escalier. Il en profita pour aller cacher le cadeau emballé dans sa chambre. Alors qu'il venait d'enfouir le paquet sous un tas de couvertures dans une armoire, il entendit les cris de Madame Black. Il ne put retenir un sourire. Cela faisait un moment qu'il ne l'avait entendue, celle-là. Ils avaient suspendu une couverture magique devant la peinture. La couverture endormait l'horrible femme. Ainsi, ils avaient finalement la paix. Seulement voilà, la couverture avait la désagréable habitude de parfois tomber. Ainsi, ils entendaient à nouveau les cris de la femme qui était encore plus en colère. Ils se dépêchaient toujours de raccrocher la couverture. Il devina que c'était ce que ses amis avaient fait lorsque le silence se fit à nouveau entendre dans la maison. Il redescendit pour y trouver ses amis installés dans des fauteuils du salon, juste devant le tableau couvert, à bavarder. Il se joignit à a conversation. Il aimait bien ces moments où ils se rassemblaient près du foyer pour tout simplement discuter de tout et de rien. Pour rien au monde il ne voudrait vivre ailleurs.
NdA: Voici donc pour le prologue. Je suis surprise de voir à quel point il est long! Je voulais vraiment faire une mise à niveau, expliquer où les personnages en sont dans leur vie. Je crois avoir fait le tour...
Enfin bon, les autres chapitres seront bien moins longs. J'écris rarement de longs chapitres...
Aussi, vous remarquerez que j'ai gardé plusieurs noms anglais. J'ai toujours trouvé que Snape sonnait mieux que Rogue. Aussi, j'ai récemment appris que Neville Londubat était en fait Neville Longbottom en anglais. J'ai trouvé ça comique comme nom et j'ai décidé de le garder. De plus, si jamais j'emploie les surnoms de maraudeurs dans l'histoire, je garderai les originaux: Moony, Padfoot, Prongs et Wormtail, au lieu de Lunar, Patmol, Cornedrue et Queudver. Enfin... c'est mon point de vue...
À la prochaine!
