Je ne le pensais pas....
Salut! Ceci est ma première fanfic, donc, n'hésitez surtout pas à critiquer, mais de manière constructive, please!^^ Ceci est un slash, donc une relation amoureuse entre deux HOMMES donc ne venez pas vous plaindre après...
xOx
Je te l'ai dit.
Je t'ai dit ces mots tabou.
Te les ai craché au visage
Comme on le ferait à un chien,
Plus bas que terre.
Alors que tu me parlais,
Ces mots qui pesaient entre nous depuis...
5 ans, non?
Ces foutus mots maudits que je m'étais juré de ne jamais prononcer.
Il semblerait que je ne respecte jamais mes promesses, n'est-ce pas?
Je n'ai pas pu sauver ta mère, et, plus important, pas pu te sauver...
De ses griffes, de sa peau, de son emprise.
Je t'avais abandonné, et il t'avait violé.
Et tu m'avais pardonné, tu avais séché mes larmes, alors que ce devait être moi qui devait le faire pour toi.
Je m'étais juré de ne jamais les dire, ces mots.
Et regardes-nous:
Tu m'observes, abasourdi, essayant sans succès de comprendrece qui m'a poussé à gacher 5 ans de notre vie.
Cinq ans pour te reconstruire
Cinq ans pour s'aimer
Cinq ans pour s'achever
Et je gâche tout!
Lève la tête!
Ne baisse pas les yeux!!
Scrute mon visage,
le visage de ma déchéance....
Scrute et rit!!
Et surtout, ne craque pas!
Ne pleure pas!
Je ne le pensais pas.
Tout peut redevenir comme avant.
Faisons semblant de n'avoir rien entendu,
Rien fait
Et reprenons ces 5 ans pour les faires durer 1000 ans.
Mais en t'observant, je vois que ce n'est pas possible.
Tu as pris ta décision.
Tu t'approches
OH! Je n'avais jamais remarqué que cette chemise jurait avec tes yeux d'argent, mon enfant de la lune...
Pourquoi ce surnom? Ta peau diaphane, tes yeux de perle, tes cheveux d'or argenté... Tout en toi me fait penser à la Lune, cette déesse qui t'a certainement engendré...
Elle t'a même légué on habituelle froideur.
Mais c'est toi que je vénère
Pas elle,
Jamais une autre
Que toi.
Tu es tout près de moi
Et je ne bouges pas
Car tu pourrais avoir peur.
Il faut que tu me pardonnes
Je ne le pensais pas!!
Mon amour!
Tu sors ton couteau
Celui que je t'ai offert l'année dernière, tu te souviens?
Tu trembles.
As-tu froid?
Je vois dans tes yeux mon futur
Et je pleure.
Pas pour cette raison, idiot!
Parce que je ne sais pas si tu seras là où je vais atterrir
Mais on verra, hein?
Je te demande un baiser
Tu accepte.
Tes lèvres, mon Ange!
Elle sont le plus doux des nectars
La plus douce des punitions
Et le plus beau des cadeaux.
Puis, tu m'enfonces ce couteau dans le coeur
Coeur qui ne bat que pour toi
Tes lèvres n'ont pas quitté les miennes
Alors la douleur est passable.
Je peux tout supporter quand je suis dans tes bras.
En plus, je le mérites!
Ma vue se trouble
Et, malheur, je ne peux plus voir nettement tes traits, si parfaits!!
Tes lèvres quittent les miennes
Je gémis
La douleur s'accentues
Et tu dis « mon amour... »
Et tu t'enfonces cette même lame dans le corps, je le sens, je l'entends taillader ta peau pâle si parfaite,ouvrir la porte au liquide rouge de ton corps qui vient, j'en suis sûr, souilkler la propreté impeccable du sol.
Tu as toujours aimé la propreté.
Tu m'enlaces
Et nous attendons.
Nous tombons au sol aussi, je crois.
Alors que je vois un long tunnel lumineux, je te souffle:
- Je ne le pensais pas, Draco.
J- e le sais Harry... Chutt... Weasley et Blase nous font signe de la main, de l'autre côté... Allons les rejoindre...
