Disclaimer : les personnages de cette histoire m'appartiennent, je les ai totalement inventés. je me suis simplement inspirée de twilight pour écrire à la base. merci de respecter le texte.

PS : Si jamais vous avez des choses à me dire, des choses à corriger dans mes textes n'hésitez pas à me contacter. Normalement je suis pas mauvaise en français, mais j'avoue que j'ai du mal à faire de bonne description. De plus cette histoire est une de mes première, mais malgré tout ma préféré xD

Par contre je suis désolée, je n'ai plus mon texte d'origine (mes 200 feuilles écrites à la main pendant mes heures perdue et mes cours...) alors pardonnez-moi si je met du temps pour les prochain chapitres :-S

Sinon bonne lecture :D

Présentations

Bonjour, ou peut-être bonsoir. Je me présente, je me nomme Isumi Tsuda Asashi. Et, asseyez-vous… je suis un loup-garou. Un Alpha, pour être plus exacte. L'Alpha de la meute (il n'y en a qu'une au Japon) on est une vingtaine. Ah oui, j'ai aujourd'hui 18 ans. Je suis une fille. Et je n'ai pas vraiment la peau d'un loup, alors que la leur est mate, la mienne est pâle. Par contre, ma température corporelle est depuis ma naissance, de 40°C.

Mon histoire s'est passée il y a environ deux ans, à Nagaoka et dans les environs. Cette ville se situe légèrement au sud de Nigata et nord-ouest de Tokyo (dans la région de Chubu).

Notre meute habite au bord de la mer. Pas à Nagaoka, à Teradomari.

Le Japon est une planète de métal et de rock… Même mes parents écoutent ce genre de musique. Alors j'ai grandi avec la musique, cette musique. Mais le Japon est aussi un pays riche en émotion et en beauté avec ses paysages merveilleux, hors du temps.

Bon, venons-en au fait. J'allais partir un matin de chez moi, c'était un mercredi (suiyôbi en japonais), et ma mère m'appela :

-Tsuda chérie ? Tu as oublié ton paquet pour la pause. Est-ce que tu rentres ce midi ?

- Je ne sais pas. Ça dépendra si je me fais des amis, ce qui m'étonnerait beaucoup !lui dis-je peu convaincue de déjeuner au lycée.

A ce moment-là, je n'avais pas encore « mutée », et je ne croyais pas vraiment aux histoires qui se racontaient sur tous les petits groupes d'Indiens que certains surnommaient les Quileutes, même si ces histoires étaient intrigantes parce que l'on avait l'impression que le conteur les avaient vraiment vécues, pour ce qui concernait les «buveurs de sang», j'y croyais moins, et cela ne m'intéressait pas plus que ça ! Pourtant, je ne pouvais échapper au surnaturel de moi-même… Ma température ayant toujours été supérieure à la moyenne des humains, les médecins humains ne m'auscultaient jamais sous peine de m'emmener à l'hôpital et me découper le corps ! ou me bourrer de médicaments inutiles…

-Sûrement à ce midi maman, lui lançai-je en commençant à m'en aller. Ah oui ! Tu pourras dire à Setsuna de passer au lycée vers 10h. Je t'aime maman ! dis-je en courant.

A la course à pied, j'avais toujours été très forte, et je battais même les garçons les plus forts ! J'arrivais au lycée de Nagaoka en 15 minutes et 48 secondes. Je passai le portail et rentrai à l'accueil. Je parle couramment japonais car j'ai grandi au Japon, mais je vais vous donner la traduction.

Il y avait déjà un garçon qui paraissait assez jeune, de mon âge peut-être. Allait-il intégrer le lycée ?... En tout cas, il était mignon. De taille moyenne (1m75)… environ dix centimètres de plus que moi. Brun, la peau mate… Les yeux, j'hésite entre le noir, l'argent ou le bleu. Je ne les voyais pas très bien de loin. Il avait l'air sympa.

-Salut, me dit-il en s'approchant de quelques pas.

-Salut, répondis-je. Euh… je m'appelle Tsuda, enchantée !

-Ahem, moi c'est Sesoku… Tu es nouvelle ? Je viens d'arriver, moi…. Ils ne m'ont même pas inscrit dans leurs dossiers…

-Moi de même… du moins, c'est ma première année au lycée. Tu habites où, toi ? demandai-je.

-Je vis à Sanjô, dans un pavillon que mes parents ont acheté.

-Tu n'es pas japonais… hein ?

Le garçon tenait un accent bizarre que je n'arrivais pas à déchiffrer. Il m'observa bizarrement, comme si je m'étais trompée.

-… Non… enfin, si… mais j'ai grandi à Sapporo (ville au nord du Japon). L'accent est différent là-bas.

-Ah oui ?

Je m'aperçue que la secrétaire nous lorgnait depuis que Sesoku m'avait adressé la parole.

-Mademoiselle ? m'appela celle-ci. Que voulez-vous ?

-Euh… Je viens chercher un plan de l'établissement et… mon emploi du temps.

-T'es nouvelle, ne[1]? m'interrogea-t-elle.

-O-oui.

Elle observa mon nouvel ami.

-J'arrive jeune homme. Je m'occupe de la demoiselle… La galanterie avant tout. Hum… Quel est votre nom ?

-Ahem… Tsuda…

-… ! Le NOM ! exigea-t-elle.

-Ah !... Asashi, prononçai-je.

La femme me regarda d'un œil mauvais. Elle tapota sur son clavier d'ordinateur et une feuille sortit de l'imprimante à son côté, qu'elle me donna aussitôt.

-Vous… vous êtes la fille de Shin Asashi ? demanda-t-elle en essayant de parler gentiment.

-Ben… oui, pourquoi ?

-Il est le nouveau médecin de la ville, non ?

-Oui, affirmai-je. Il travaille à l'hôpital de Nigata.

Elle acquiesça et fixa Sesoku. Hum… j'ai oublié de vous dire que mon histoire se passe en 2008.

-Eh bien alors ?! Tu viens ? Allez jeune homme ! Je n'ai pas toute la journée !

Il la regarda. S'avança, prononça son nom : Sesoku Nora Nasoku, la secrétaire lui donna une feuille après avoir tapoté sur son clavier.

-Je t'ai donné le même emploi du temps que la fille du médecin. Prenez soin l'un de l'autre, ok ?

La femme nous fit signe de partir en cours d'un geste de la main, après la fin de sa phrase. La sonnerie retentit, moi et Sesoku nous regardâmes.

-Alors, euh… Sesoku, on y va ?

-Hum, ouais, répondit-il.

Nous allâmes en classe. Premier cours : « Histoire du Japon », et nous nous asseyâmes l'un à côté de l'autre.

Je faillis m'évanouir de fatigue tellement le professeur était long à la détente.

La sonnerie intervint à nouveau, nous nous installâmes côte à côte dans pratiquement tous les cours, exceptés les mathématiques et les sciences.

La semaine fut assez mouvementée ainsi que la suivante… mais malgré tout un peu ennuyante !

Le mardi matin, Sesoku qui avait pris l'habitude de venir me chercher chez moi, vint donc me voir. Il frappa à la porte. Ma mère lui ouvrit et lui dit bonjour, puis elle le fit venir à moi…j'avais oublié de me vêtir : je m'étais levée en retard et lorsqu'il entra dans la même pièce que moi (cette fois sans frapper!)il ouvrit de GRANDS yeux et rougis du mieux qu'il put… Ma tenue était une chemise de nuit (courte) transparente noire qui m'arrivait à la moitié des cuisses… on voyait donc mes sous-vêtements. Ceux-ci étaient d'une couleur rouge sang. Je le fixai, l'air d'attendre qu'il sorte en fermant la porte et qu'il m'attende dans le salon… Mais il n'en fit rien.

-Tu… Tu es très… séduisante comme ça ! dit-il le sourire aux lèvres.

Je le regardai. J'avais une envie de meurtre tout d'un coup… Mais je me calmai.

-Hum…. Tu… Tu pourrais sortir, euh, s'il te plaît ? lui demandai-je.

Sesoku s'esclaffa gracieusement pendant environ une dizaine de secondes. Puis il fit apparaître un sourire charmeur sur ses lèvres…comme il me plaisait de le voir tous les matins depuis une semaine.

-Qu'y a-t-il de si drôle ?demandai-je.

-Rien, j'ai juste l'impression que tu es gênée du fait que je te vois vêtue ainsi... J'ai tort ?

Il rit de nouveau… mais encore plus furtivement que la première fois.

-Bien sûr que ça me gêne ! Ça ne te gênerais pas, toi que je te vois comme tu dors la nuit ?!

-Ahem… bien évidemment que je serais gêné !... Parce que je ne porte rien sur moi, à part les couvertures ! avoua-t-il.

J'écarquillai les yeux lorsqu'il eu finit sa phrase. Je comprends !

-Bon !… On a être en retard si tu ne sors pas MAINTENANT ! Et si je ne m'habille pas tout de suite ! lui dis-je en le poussant en dehors de la pièce et en fermant la porte derrière lui.

Je m'habillai. Je me maquillai et je sortis. Je sursautai quand je m'aperçue que mon ami me scrutait.

-Qu'est-ce qu'il y a ?

-Rien, affirma Sesoku en détournant le visage. Il faut que je t'avoue quelque chose, commença-t-il…

-AUTRE chose, le coupai-je en repensant à ce qu'il portait quand il dormait. (ou plutôt ne portait pas…)

Il rougit puis reprit.

-Hum…. Mon vrai nom n'est pas Sesoku… En réalité, je m'appelle Yonde Nasoku, annonça-t-il.

-Ah ah ! Très beau nom ! continuai-je stupéfaite par ce qu'il venait de m'apprendre.

-…Bon…On y va ?

Il nous restait à peine cinq minutes pour arriver au lycée… Dix de moins que mon record personnel.

-D'habitude, je mets un quart d'heure.

-Vraiment ? Moi, j'en mets sept ! me dit-il alors que l'on partait.

Nous courûmes, et je le dépassai à plusieurs reprises… et lorsque nous arrivâmes au portail du bâtiment, nous nous rendîmes compte que….


[1] Ne [né] = n'est-ce pas ?