Bonjour a tous, je mets en ligne mon premier chapitre sur une fiction portant sur New York unité spéciale.

Cette Fiction est une A/O (Alex/Olivia), et ATTENTION, un viol est détaillé à l'intérieur. Je tiens à préciser que tous les personnage de cette série appartient à Dick Wolf.

Chapitre 1 : agression.

Alex se laissa tomber sur son canapé, un verre de whisky à la main. Cela faisait plus de 20 h qu'elle n'était pas rentrée chez elle. Cette affaire lugubre ne lui avait laissé aucun répit. Un homme de 35 ans, Will Carters avait violé 7 femmes et après les avoir laissé pour mortes avec de multiples fractures, contusions et plaies sanglantes, il s'en sortait libre. Les victimes l'avaient toutes identifié formellement, mais cette ordure avait réussi à se créer un alibi assez solide pour faire tomber toutes les accusations. Un inspecteur de la criminelle, de nombreuses fois décoré avait affirmé avoir passé la soirée pendant laquelle c'était passé le troisième viol avec ce monstre. Alex secoua les glaçons dans son verre et poussa un soupir. Oh, bien sûr, elle savait que ce n'était pas le premier à s'en sortir et que ça ne serait pas le dernier mais cela ne la réconfortait pas, au contraire. Au fil des enquêtes, la justice en laquelle elle avait tant cru se révélait être un jeu macabre dans lequel les plus vicieux prédateurs trouvaient trop facilement le moyen de s'en sortir. Elle soupira de nouveau avant d'avaler la dernière gorgée de son verre de whisky et de le poser sur la table basse.

Elle avait eu du mal à s'endormir mais avait finalement réussi à sombrer dans un sommeil sans rêves, épuisée par la nuit précédente passé à son bureau. Vers 2 h 30 du matin elle fut réveillée par une voix, ou plutôt un rire. Elle gémi de frustration en voyant l'heure sur le réveille et maudit les heureux insomniaques encore présent dans les rues de Manhattan à cette heure-là.

Après avoir rejoint sa cuisine et avoir bu un verre d'eau, elle se retourna pour le poser sur son bar mais elle se figea. Quelques secondes s'écoulèrent et son rire diabolique retentit de nouveau. Alex lâcha son verre qui se brisa sur le sol. Tout ce qu'elle pouvait voir était une silhouette, debout devant l'une des fenêtres de son salon. Sa voix la sortit de sa stupeur : « je m'apprêtais à quitter la ville mais, je ne pouvais pas me résoudre à partir sans vous dire au revoir… après tout ce que nous avons vécu ensemble ».

Carters. Cela ne faisait aucun doute, cet homme était Will Carters. Elle ne pouvait voir son visage, mais cette voix grave…

Alex se mit à courir vers la porte d'entrer mais n'eu pas le temps de l'atteindre. Il la saisit par le bras et la fit faire volte-face. Avant d'avoir eu le temps de crier elle sentit une douleur vive lorsque son poing s'abattu sur son visage. Un goût de fer se rependit rapidement dans sa bouche et elle s'écroula au sol.

Trop sonnée pour protester, elle se sentit soulevée du sol mais ne pu se débattre. La tête la tournait et elle cru s'évanouir lorsqu'il la lâcha violemment sur le canapé. Elle tenta de se dégager lorsqu'un deuxième coup se plaqua sur sa joue. Sa vue devint floue et lorsqu'elle reprit connaissance, il été assis à côté d'elle sur le bord du canapé et la regardait, un sourire diabolique aux lèvres. Elle gémit. Du sang coulait de son arcade sourcilière et lui obscurcissait la vue.

Il se leva et retira sa veste et son tee-shirt. La respiration d'Alex s'emballa lorsqu'en tournant légèrement la tête elle vu le clignotement rouge d'une caméra posait a à peine 2 mètres d'elle sur la table basse. Il rit de nouveau en voyant que son regard était fixé sur l'appareil qu'il venait d'installer. « J'espère que ça ne vous déranger pas, je ne voulais pas manquer l'occasion d'avoir un souvenir de cette nuit ! ». Alex ignora la douleur dans sa mâchoire et parvint à murmurer « pourquoi ? Vous étiez libre, nous ne pouvions pas vous retenir, pourquoi risquer une nouvelle inculpation ?». Il défit sa ceinture et se pencha sur elle. Elle sentit son souffle sur sa bouche et détourna le visage, une sensation de nausée la saisit. « Et bien voyez-vous, après ma libération j'ai eu envie de partir prendre le soleil. Qui sait, peut-être au Mexique ou en Europe même. Mais, pour ma dernière nuit à New-York je voulais quelque chose de spécial. Oh oui, très spécial et… il y avait vous !». Il mordit son lobe et elle gémit de nouveau de douleur. « Aucune femme ne s'était intéressait à moi comme vous l'avez fait. Vous avez étudiez mes 7 précédentes œuvres pendant des mois et maintenant, je vais faire de vous la 8ème ! », « Vous êtes un malade ! ».

Fou de rage il la saisit brutalement au cou. Alex ne pouvait plus respirer, elle se débattit et tenta de le repousser. Elle parvint à le griffer au visage et il la lâchât en poussant un grognement roque avant de lui assener une série de coup dans le sternum.

Elle tenta de reprendre son souffle mais il la bâillonna rapidement avec son tee-shirt. Il était dans une rage folle, et déchira sa chemise de pyjama. Alex se débâtit de toutes ses forces, sachant ce qui allait se passer elle tenta de lui échapper, elle réussit à retirer son bâillon mais il l'écrase de tout son poids avant de le remettre en place. Elle ne pouvait pas crier et lorsqu'elle sentit sa main glisser sur son corps les larmes lui montèrent aux yeux. Elle tâcha de les refouler. Elle ne pouvait pas pleurer devant lui, non, elle ne pouvait pas lui faire se plaisir. Il tenait fermement ses deux mains au-dessus de sa tête et sa main libre glissa sur ses seins et son ventre, laissant derrières elles des marques rougeâtres. Elle ferma les yeux lorsqu'il descendit son bas de pyjama et que sa main glissa entre ses cuisses. Elle sera les jambes le plus fort possible mais il les écarta brutalement. Elle tenta une nouvelle fois de se dégager mais toujours en vain. Il lâcha ses mains pour pouvoir ouvrir son pantalon et elle en profita pour essayer de le repousser. Son corps était trop lourd sur elle. Il devait peser dans les 100 kilos et était étendu de tout son long sur elle.

Alex se figea. Son sexe venait de la pénétrer. Il lâcha un grognement de satisfaction et lui murmura des obscénités à l'oreille. Alex détourna le regard elle ne pouvait plus retenir ses larmes. La douleur entre ses cuisses allait en grandissant au fur et à mesure que l'agression devenait de plus en plus violente. Alex avait du mal à respirer. Elle ferma de nouveau les yeux. Elle essayait de s'imaginer ailleurs mais cela était impossible.

Lorsqu'il eut fini il retira le bâillon de la bouche d'Alex et caressa une nouvelle fois son corps en plaquant ses lèvres sur les siennes. Elle ne réagit pas. Il se releva et se rhabilla. Alex resta figée, recroquevillé et nue, dans ce canapé devenu si impersonnel. Il était désormais 5 h du matin. Elle se hissa jusqu'au téléphone et s'assit à même le sol. Prostrée, appuyée contre le mur, elle avait trouvé la force de s'enrouler dans une couverture posait non loin du téléphone, sur un fauteuil.

Elle regarda le téléphone pendant plus d'une demi-heure avant de composer un numéro.

L'appareil sonna 1, 2, 3 fois et elle entendit la voix d'Olivia qui grommela un « Benson » assommé par le sommeil. Alex ouvrit la bouche et hésita. « Olivia » finit-elle par prononcer d'une voix à peine audible. « Alex ? Que se passe-t-il ? Il est plus de 5 h 30. »… Un silence s'imposa pendant quelques secondes et Olivia détecta des sanglots étouffés à l'autre bout du fil. « Alex ? Qu'est-ce qu'il y a ? »… «Il est entré chez moi, Olivia et…». Olivia se redressa dans son lit, le sommeil l'avait complétement fuit. «…et il m'a…». Alex se mordit les lèvres elle avait entendu tellement de victime prononcer ses mots, elle ne pouvait pas accepter d'en faire désormais partit. Olivia ferma les yeux. Oh oui, elle connaissait bien cette détresse, cette plainte dans la voix des femmes qu'elle rencontrait chaque jour dans son travail et elle redouta ce qu'elle allait entendre. Si la femme qu'elle connaissait depuis plusieurs années été dans cette état, cela devait être très grave. « Alex, prends ton temps. Qu'est-il arrivé ? ».

« Il m'a violé, Olivia ».