MELINE POTTER

Disclaimer : les perso et l'histoire ne m'appartiennent pas et j ne touche pas d'argent.

Note : Comme promis, votre cadeau de Noël !

JOYEUX NOEL !

Chapitre 1 : Retrouvailles :

Dans une petite maison de banlieue, dans le Surrey, en Angleterre, au milieu de la nuit, en ce lendemain de retour de l'école, un jeune homme écrivait en cachette une lettre, certainement à ses amis. Mais le plus étrange n'est pas le fait que cet adolescent écrive une lettre mais le fait que le facteur soit une chouette.

En s'approchant, on peut remarquer que cet adolescent avait des cheveux très noirs et dans tous les sens qui cachaient une étrange cicatrice en forme d'éclair. Cet élément pourrait permettre à n'importe quel sorcier d'identifier Harry Potter, le Survivant, le Garçon-Qui-A-Survécut.

L'histoire de ce jeune homme était connue de tous les sorciers du monde. En effet, à l'âge d'un an cet adolescent avait réduit à l'état de simple esprit le terrible Voldemort, le mage noir qui semait la terreur depuis plus de dix ans. Il avait tout d'abord tué son père, James Potter puis avait tué sa mère qui s'était sacrifiée pour lui. Puis Voldemort avait tenté de le tuer, lui, un bébé de quinze mois sans défenses, mais contre toute attente, il avait survécut.

Puis il avait vécu dix ans chez des parents moldus, qui n'avaient pas de dons de magie, avant de se rendre à Poudlard à onze ans afin d'apprendre la magie. Un autre détail surprenant, Harry Potter ainsi que tous ses camarades de classe étaient des sorciers, des vrais qui utilisaient des baguettes magiques pour faire de la magie ou des Potions. Il avait découvert sa célébrité en entrant dans le monde magique. Il y avait été victime de préjugés totalement différents : il était soit presque vénéré soit haï.

Penchons-nous donc sur son courrier, il écrivait une réponse à une lettre étrange : la page était complètement vierge, de même que la réponse. En fait, ce jeune homme et ses correspondants utilisaient de l'encre visible à seulement les personnes de notre choix. Laissons donc ce jeune homme tranquille pour la nuit et retrouvons-le le lendemain.

Cet adolescent, Harry, se faufilait aux premières heures du jour hors de la maison de sa tante, nous pouvons le dire, pour filer on ne sait où.

Une heure plus tard, il se trouvait en France, chez ses correspondants. Il avait utiliser plusieurs tours de passe-passe pour éviter les membres de l'Ordre qui le surveillaient «discrètement » afin de lui éviter tout problèmes avec des Mangemorts qui aurait pu trouver où il habitait. On pouvait remarquer que ce n'était pas la première fois qu'il faisait ce genre de «fugue ».

Arrivé par divers Portauloins et cheminée près de la côte, il transplana direction la France où il arriva peu avant l'aurore devant une grande maison en pleine campagne ou logeaient quatre familles dont les parents étaient très proches et n'avaient pas voulu se séparer.

Harry se baissa pour ramasser un petit caillou et le jeta sur une vitre de la fenêtre de la personne qu'il voulait voir. Une jeune fille à la peau pâle et aux cheveux d'un noir de jais apparut à la fenêtre, en voyant son interlocuteur, elle retourna dans la chambre et revint quelques secondes plus tard pour lancer une échelle de corde afin que son ami puisse monter.

Une fois l rebord de la fenêtre franchie, la jeune fille enlaça le jeune homme, ravie de revoir son amie. Mais là, seuls les concernés connaissent cette histoire, le grand public l'ignore.

-Sabine, je suis très contente de te revoir mais j'aimerais pouvoir me changer, pour aller chez ma tante, j'ai utilisé un déguisement moldu et c'est très désagréable et j'aimerais bien pouvoir l'enlever.

-Comme tu veux, Line.

Harry était en train d'enlever son pull et son T-shirt quand un jeune homme entra :

-Méline, je suis trop content de te voir !

Le jeune homme courut vers Harry, le prit dans ses bras, le souleva légèrement et les fit tournoyer tous les deux en riant, tellement ils étaient heureux de se retrouver enfin.

-Orion, je suis heureuse de revoir mais j'aimerais me changer !

-Pourquoi, moi je t'aime bien nue, souffla-t-il dans le cou de Harry.

Il se recula néanmoins puis il remarqua malgré la pénombre de la pièce une bande de tissu enroulée autour du torse de Harry.

-Line, pourquoi tu as mis une bande ?

-C'est ce que je disais, j'ai dû utiliser un déguisement moldu et si tu veux tout savoir c'est encore plus douloureux que les autres années !

-Comment ça ?

-Orion, expliqua Sabine, les filles ont la poitrine qui peut grossir jusqu'à à peu près vingt ans et celle de Méline a sûrement dû grossir pas mal pendant l'année.

En effet, Harry James Potter n'existe pas mais il se nomme bien Méline Lily Potter qui pour une raison secrète a été obligée de se cacher sous les traits d'un garçon. Mais reprenons la vision de la scène, car après ces petites explications, Orion avait conduit Méline vers sa chambre tout en l'embrasse dans le cou. Pendant ce temps, Sabine, ne voulant pas se retrouver en reste s'était faufilée dans la chambre du dernier adolescent qui vivait dans la maison, un certain Romain.

Mais revenons-en à Harry, euh Méline, après tout c'est elle l'héroïne de l'histoire.

Elle est complètement nue, allongé sur le lit d'Orion, tout aussi vêtu, lui-même sur elle qu'il embrasse comme un affamé. Il fit descendre sa bouche sur la poitrine libérée de la bande serrée qui la comprimait sous les gémissements de plaisir de sa compagne. Sa bouche descendit à nouveau, laissant de légers baisers un peu partout sur le ventre jusqu'au nombril, zone qu'il savait érogène chez sa compagne. Il lécha, suça et mordilla sous les approbations bruyantes de la jeune femme à mi-chemin entre les cris et les gémissements. Il resta un petit moment à cet endroit puis descendit encore mais Méline voulut renverser la situation et faire subir la même chose à son, on peut le supposer, petit ami. Mais celui résista, il remonta son visage jusqu'à celui de sa compagne, il déposa un baiser sur ses lèvres puis sur sa joue pour finir par lui murmurer sensuellement à l'oreille :

-Non, aujourd'hui, c'est moi qui fait tout, contente-toi de ressentir et de me le prouver.

Puis il repartit à la conquête du corps de son amante, quand il sentit qu'elle était prête et sous ses supplications, il la pénétra lentement pour bien faire durer le plaisir puis il commença de très lents va-et-vient tout en parcourant le cou de la jeune Potter de baisers aussi léger que les caresses des ailes d'un papillon.

Les deux amants criaient, tellement le plaisir était intense. La cadence des va-et-vient augmentait inexorablement proportionnellement aux cris qui étaient de plus en plus forts jusqu'au point où le plaisir est tel que l'orgasme déferle telle un raz-de-marée sur les côtes.

Orion se laissa retomber sur sa compagne, tous deux en nage et essoufflés. Ils fermèrent les yeux pour se reposer un peu et récupérer leur souffle erratique. Le jeune homme récupéra quelque peu puis se décala à côté de la jeune fille et passa ses bras autour d'elle.

Celle-ci cala sa tête tout contre l'épaule de son compagnon en faisant jouer ses doigts sur le torse de celui-ci. Après plusieurs minutes de calme, la jeune fille brisa le silence pour demander :

-Pourquoi, aujourd'hui tu voulais que je sois passive ? D'habitude, tu aimes bien que je domine ou même simplement pas passive.

-Je voulais te demander quelque chose…

-Oui ? L'encouragea la jeune fille qui se demandait pourquoi son petit ami était aussi timide tout d'un coup ce qui, précisons-le, était contraire à son caractère.

-Et bien, euh à notre majorité… il prit une grande inspiration et continua : Voudras-tu devenir ma femme ? Demanda-t-il en sortant de sa table de chevet un petit écrin portant le symbole d'une petite bijouterie du coin.

-Et bien je dois dire que c'est inattendu comme question mais oui, je deviendrai ta femme dès notre majorité.

Orion lui passa la bague qu'il y avait dans l'écrin au doigt.

-Tu seras bientôt Madame…

Ils furent interrompus par quelqu'un qui cogna à la porte.

-Entrez, appela Orion.

La porte s'ouvrit sur le père de celui-ci et apparemment il avait entendu notre conversation.

-Venez manger puis que vous êtes réveillés, lança-t-il malicieusement puis il referma la porte.

Les adolescents s'habillèrent, enfin Orion s'habilla et Méline s'enroula dans le drap et alla dans sa chambre pour pouvoir se préparer.

Ils descendirent dans la cuisine tous les deux, Orion ayant attendu sa fiancée, où il retrouvèrent tous les habitants de la maison attablés.

Il y avait tout d'abord les parents d'Orion, Sirius et Héléna Black, puis venaient Sabine et ses parents Severus et Sonia Rogue, le mystérieux (pour nous) Romain et ses parents qui n'étaient autres que Remus et Samantha Lupin. Et le dernier couple se nommait Lily et James Potter. Leur arrivée fut ponctuée de rires et de sourires moqueurs de la part des adultes.

-Alors vous avez passé une bonne nuit ?

-Moi personnellement, pas tellement puisque j'étais chez Pétunia, répondit Méline.

-Mais la suite était à ton goût ? Demanda malicieusement Sirius à sa filleule.

-C'était pas mal, céda-t-elle avec un sourire et un air béat qui indiquaient qu'elle avait bien plus qu'adoré la suite de la nuit.

-Dîtes, vous n'avez pas quelque chose à annoncer ? Questionna impatiemment Sirius, ce qui confirmait les doutes de la jeune Potter qui décida de faire mariner son parrain.

-Je ne crois pas, non, du moins rien qui vous concerne.

-Oh, allez, vous pouvez bien le dire !

-Mais dire quoi ?

-Je crois qu'il veut parler de nos fiançailles, dit Orion venant en aide à son père.

-Je sais !

-Mais si tu savais, pourquoi tu ne voulais pas le dire ?

-Parce que, Parrain, ça t'apprendras à écouter aux portes.

-Ha ha, Patmol, tu t'es fait avoir, se moqua Remus.

-Hey, et moi je n'ai pas donné mon approbation !

-Ce n'est pas la peine, garde ta salive ! Répondit Méline.

-Pourquoi tu dis ça, ma p'tite Linette ?

-Parce que ton avis n'est pas prit en compte !

-Je suis ton père, c'est moi qui décide avec qui tu te maries ! Plaisanta-t-il.

-Si tu le dis.

-Mais oui je le dis et…

-Ca suffit, James ! Coupa Severus.

-Et toi, Sev, est ce que ça te déragerait si Sabine se fiançait ? Demanda innocemment Orion.

-Bien sûr que non ! Ma fille est libre, elle fait ce qu'elle veut !

-Et bien ça arrange tout parce que Sabine et moi sommes fiancés, déclara nonchalamment Romain avec un clin d'œil pour Orion.

-QUOI ! S'exclama Severus.

-Allons, chéri. Je croyais que ça ne te dérangeai pas ? Le calma Sonia.

-Là, y a pas à dire, Orion t'as bien piégé. On croirait qu'il était au courant ! Lança Remus avec un peu de moquerie et un peu d'amusement mais également fier de son fils.

-Mais j'étais au courant !

Les mères se lancèrent un clin d'œil entre elles, elles avaient surpris la petite réunion entre les garçons qui ne savaient pas comment faire leur demande en mariage. Mais par respect et par amusement elles avaient gardé le secret.

-Puisque c'est une conspiration contre nous, nous sommes obligés de nous incliner, soupira James, faussement affligé.

-De toute façon, vous avez de la chance, les garçons que nous vous connaissions et que nous soyons d'accord pour ces futurs mariages ! Renchérit Severus, de mauvaise foi.

-Merci Papa ! Sabine et Méline imitèrent les petites filles sages et obéissantes, qu'elles n'avaient jamais été.

-Allez, les mômes, allez vous amuser ! Soupirèrent les quatre hommes.

Quelques heures plus tard, les adolescents allèrent se promener dans la ville la plus proche où ils faisaient parfois connaissance de touristes anglais qui ne comprenaient pas le français donc ils aimaient bien aider et souvent c'était des personnes intéressantes avec qui ont pouvait parler. Mais quelques fois les touristes anglais étaient très désagréables et ils cela les amusait de comprendre leurs insultes et de les insulter en retour en français.

Cette matinée-là, ils ne firent aucune rencontre de ce genre mais s'amusèrent avec les enfants du quartier dans le parc, ils s'amusaient et rendaient service aux parents en même temps.

Le midi, ils décidèrent de pique-niquer, il allèrent au supermarché et achetèrent pain, charcuterie, boissons…ect et s'installèrent dans le parc.

Le début du repas se passa dans la détente et dans la bonne humeur jusqu'à ce qu'une famille d'anglais ne fasse son apparition en pleine dispute. Les parents, apparemment, n'étaient pas d'accord avec la fille qu'ils jugeaient trop différente pour pouvoir donner un jugement fiable.

Les enfants de Maraudeurs, voulant manger en paix s'approchèrent pour régler la dispute ou demander aux touristes d'aller se disputer ailleurs. Seulement, lorsqu'ils s'approchèrent, Méline reconnut une élève de Poudlard et pas la moindre : Hermione Granger, sa meilleure amie.

Décidant de tenter le tout pour le tout, celle-ci s'approcha, après tout peut-être que sous sa forme naturelle, elle ne la reconnaîtrait pas.

-S'il vous plaît, demanda-t-elle en anglais.

-Oui ?

-Est-ce que je peux vous aider ?

-Non, répondirent les parents, simplement notre fille qui veut émettre un jugement sur ce qu'elle ne connaît pas.

-Je peux peut-être vous aider, sur quel point n'êtes vous pas d'accord ?

-C'est à propos d'actualité, sur la guerre en Irak, elle ne veut pas comprendre que la guerre est une bonne chose !

Pendant cette petite explication, Hermione avait le regard fixé sur son meilleur ami qui posa son index devant sa bouche et lui chuchota qu'elle lui expliquerait plus tard.

-Je peux comprendre qu'elle soit contre la guerre, le monde sorcier étant en guerre, elle sait quelles atrocités peuvent être commises.

-Vous êtes une sorcière !

-Exact ! Et ce n'est pas parce que nous vivons dans des écoles éloignées du monde, comment dites-vous en anglais, ah oui du monde moldu. Cela permet d'avoir un peu de recul et nous pouvons comparer avec notre propre monde.

-Bon très bien, nous laissons pour cette fois. Chérie, tu retournes à l'hôtel, ton père et moi avons une réunion avant notre conférence, déclara la mère avec hypocrisie.

-D'accord Maman, à ce soir ! Répondit Hermione de la même manière.

La jeune sorcière attendit que ses parents s'éloignent pour s'approcher de son ou sa, elle ne savait plus, meilleur(e) ami(e).

-Harry, tu peux m'expliquer s'il te plaît ? Je ne comprends plus, tu n'étais pas sensé être chez ta tante moldue ?

-C'est une longue histoire mais vient manger avec nous je vais t'expliquer mais je te préviens, c'est capital que tu gardes certains détails pour toi.

-Oui, je comprends, je commence avoir l'habitude avec la guerre.

Les cinq adolescents s'installèrent.

-Je vais commencer par les présentations. A côté de toi c'est Sabine Rogue, commença-t-elle en désignant une jolie jeune fille aux traits fins et gracieux qui avait les yeux et les cheveux de la même couleur que ceux de son père.

-Puis vient son fiancé Romain Lupin et mon fiancé, Orion Black.

Les deux jeunes hommes ressemblaient beaucoup à leur père, impossible donc de se tromper. Cela étonna Hermione de savoir que les Maraudeurs avaient des enfants mais elle pensa, avec justesse que son amie lui expliquerait tout pendant son récit.

-Tout a commencé quand ma mère était enceinte, elle n'est pas totalement humaine et moi non plus, dans son peuple une prophétie a été faite, elle annulerait toutes les autres qui auraient pu être faites auparavant. Cette prophétie disait que le pouvoir d'une enfant lié à notre nature non humaine sauverait le monde sorcier mais aussi notre peuple car ceux-ci sont liés. Comme je remplissais les conditions, que notre peuple avait presque disparu et que j'étais la seule enfant depuis de nombreuses années, mes parents en ont déduit que c'était moi. Le jour d'Halloween 1981, mes parents ne sont pas morts mais Méline Lily Potter a bien survécu à l'Avada Kédavra, c'était vraiment étrange parce que normalement chez notre peuple nous ne pouvons utiliser nos pouvoirs qu'à seize ans et moi je l'ai fait à quinze mois. Mes parents ont ensuite rejoint les femmes de Remus, Sirius et Severus qui s'étaient cachées avec leurs enfants puisque le monde sorcier ne les connaissait pas. J'ai vécu ici toute mon enfance et j'ai rejoins Poudlard alors que les autres ont rejoins Beaubâton. Et tous les étés je reviens ici, chez moi. Ce sont mes parents qui utilisent un sort d'illusion pour faire croire que je suis chez ma tante.

-Et bien, si je m'attendais ! Donc ton vrai prénom, c'est Méline ?

-Oui.

-Et tu es fiancée au fils de Sirius ?

-Oui.

-Depuis quand ?

-Pas très longtemps !

-Méline ?

-Oui ?

-Allez, réponds, je veux savoir !

-Depuis ce matin !

-Effectivement, ça ne fait pas très longtemps. Mais promis, je ne dirai rien, je suis déjà touchée que tu m'en aies dit autant aujourd'hui.

-Finissons de manger et nous te ferons visiter la ville cet après-midi.

Les adolescents firent honneur au repas en n'en laissant plus une miette. Ils jetèrent leurs déchets et saluèrent au passage les enfants qui jouaient encore.

Durant toute l'après-midi, ils montrèrent à Hermione toutes les choses intéressantes de la ville : les boutiques, les musées, les différents sites historiques…

Le soir, avant que ses parents ne rentrent, elle retourna à l'hôtel et le groupe d'amis rentrèrent eux aussi chez eux. Ils racontèrent à leurs parents leur journée et montèrent se coucher, complètements épuisés.

Le lendemain se déroula de la même façon, ils montrèrent à leur amie les passages secrets, les raccourcis agrémentés de beaucoup d'anecdotes plus amusantes et plus humiliantes les une que les autres.

Le soir venu, il raccompagnèrent Hermione à son hôtel où ils eurent la joie de croiser Draco Malfoy. Lorsqu'il vit Hermione, il s'approcha et lui demanda, à la plus grande surprise de tous :

-Granger, est ce que tu as vu mon père ou des…

-Tu peux le dire, ce sont des sorciers et ils parlent anglais et français couramment.

-Oui, donc est ce que tu as vu des Mangemorts ?

-Non, pourquoi ?

-Ils doivent me chercher, je leur ai fait faux bond.

-Pourquoi ça ?

-Trois fois rien, c'est juste mon père qui veux me marquer comme du bétail !

-Et qui me dit que c'est la vérité ?

-Il a raison, Hermione, intervint Méline.

-Comment tu le sais ? Demanda la jeune sorcière.

-Ça a un rapport avec ce que je t'ai dit sur moi, on peut lui faire confiance. Dis-moi Draco, est ce que tu as un endroit où aller ?

-Euh, pas vraiment, je comptais louer une chambre à l'hôtel.

-Tu veux pas plutôt rejoindre ton parrain ?

-Mon parrain ! Tu sais où il est, il est injoignable !

-Viens avec nous.

-Qui me dit que je peux vous faire confiance ?

-Tu n'as pas tord.

Méline souleva une mèche de cheveux de son front et lui montra la fameuse cicatrice en forme d'éclair.

-POT…

La jeune fille lui plaqua la main contre sa bouche pour l'empêcher de continuer.

-Chut, tu veux nous faire repérer, ici on a les noms de jeune fille de nos mère, viens avec nous. Hermione, demain même heure, même endroit ?

-Ca roule !

-A demain alors !

-A demain tout le monde !

-A demain toute seule !

-Orion, tu n'en loupe pas une !

-Et non, c'est comme ça qu'on m'aime !

-Tout à fait mon chéri, approuva Méline ne l'embrassant.

-Bon les amoureux, on n'a pas que ça à faire, coupa Malfoy.

-Je sais que ton parrain te manque, pas la peine d'être désagréable !