1 Annonce (première partie)

Edward…Edward …

je n'arrêtais pas de prononcer son nom durant mon sommeil, même si je savais que au fond de moi qu'il était juste à côté. J'étais inquiète, je n'arrêtais pas de tourner, de changer de position dans mon lit, j'angoissais. Je voyais Edward dans un rêve, ou plutôt dans un cauchemar, je savais que je n'étais pas consciente et que mon cerveau créait ces images mais je ne pouvais m'empêcher d'avoir peur, peur qu'il lui arrive quelque chose. Il était là, devant moi luttant contre un monstre, un monstre qui avait le dessus, je lui criais de fuir mais il continuait à se battre. Je ne voulais pas perdre mon seul amour, mon véritable amour, sans lui je ne pouvais survivre. Edward me jetait des regards qui voulaient dire de ne pas m'inquiéter, qu'il s'en sortirait cependant je ne pouvais y croire. J'étais incapable de l'aider. C'était insupportable. Puis d'un coup, le monstre qui s'acharnait sur mon fiancé, lui arrachait ses membres jusqu'à qu'il ne reste plus rien de mon aimé. Et soudain, je me réveilla en criant le nom d'Edward et en sanglotant, je m'étais réfugié dans ces bras, la tête contre son torse de marbre. Edward me caressait la tête d'une main puis de l'autre il essuyait mes larmes coulant à flot, il me chuchotait que tout allait bien maintenant, que se n'était qu'un cauchemar, qu'il étais là et que rien de pouvais m'arriver. Même disait tout cela, je n'arrêtais pas de trembler toujours dans ses bras. J'avais trop peur que quelqu'un ou que quelque chose en pensant au monstre de mon cauchemar ne me sépare de mon Edward, mon amour que j'aimais plus que tout, à qui j'étais prête à me sacrifier.

Bella…, il était inquiet ça s'entendait au son de sa voix.

Je sais ne t'inquiète pas, ça va me passer, essayant de le rassurer à mon tour, serre-moi plus fort s'il te plais dans tes bras.

Bien sûr mon amour.

Et ainsi comme je lui avait demandé il me serra plus fort, cela me fit un bien fou, son corps froid raffraichissa ma peau fiévreuse en quelques secondes, j'allais mieux déjà. C'était passé, j'étais plus rassuré mais je gardais cette inquiétude et en essayant d'oublier ce mauvais rêve, je finis par m'endormis dans ses bras que je ne voulais quitter pour rien au monde.

Le lendemain matin, je me réveilla en douceur, j'étais toujours dans les bras d'Edward, il avait une couverture entre lui et moi pour que je n'attrape pas froid. Dès qu'il vit que j'étais éveillée, il m'embrassa tout en douceur et moi je ne pouvais que suivre ses lèvres.

Bonjour ma futur mme Cullen, me dit-il en sourient de son sourire en coin qui me faisait toujours le même effet. C'est incroyable le pouvoir qu'avait Edward sur moi. Je répondis.

Bonjour m. Cullen

Tu sais que tu m'as fait peur durant la nuit ?

Oui, je suis désolé

Je repensais à ce terrible cauchemar et cela me donnait des frissons dans le dos.

De quoi s'agissait-il ?

Hum… c'était un cauchemar, si tu savais comme j'ai eu peur, il y avait un monstre horrible…

Un monstre ? Il était à la fois surpris et amusé.

Eh ! C'est pas drôle, ce monstre t'as tué dans mon rêve. Rien que d'y penser des larmes me montèrent aux yeux. Edward m'ettreigna encore plus fort et me donna des baisers sur tout le visage.

Je suis désolé mon amour.

C'est pas ta faute, ne t'inquiète pas, lui dis-je en lui caressant le dos avec mes mains chaudes.

Bella, tu sais, ce n'est qu'un rêve, ça ne se réalisera pas, je sais que ta plus grande peur c'est que l'on soit séparés tout les deux et c'est la mienne également, je ne pourrais vivre sans toi je te l'ai déjà dis. C'est pourquoi tu en fais un cauchemar.

Et si… et si un jour ça devait arriver, tu es au courant que je suis un aimant à danger.

Et bien, si quelque chose devait nous séparer, je te retrouverais par n'importe quel moyen.

Oui … mais si on venait à te tuer ?

J'eu peur de poser cette question.

Là encore je ne suis pas aussi fragile que tu ne le penses et puis on est pas tout seuls il y a la famille.

Oui mais je ne veux pas les mettre en danger eux aussi.

Ecoute pour le moment, il n'y a aucun danger alors arrête de t'inquiéter, inquiète toi plutôt du mariage. D'ailleurs Alice a pleins de chose à te demander ; me dit-il en sourient tout content que je l'épouse.

Oh ! C'est vrai le mariage.

Tu ne veux plus ?

Si, je le veux encore puisque c'est pour munir à toi à tout jamais, c'est juste qu'il faut que je l'annonce encore à mes parents.

Ah ! D'ailleurs Charlie vient de se réveiller, je pars chasser et après je reviens te chercher pour t'emmener à Alice ensuite je te ramène pour annoncer la nouvelle à Charlie, ok ?

Ok, je suis d'accord pour ce programme.

Je me demande ce que Alice m'a encore préparé.

A quoi penses-tu ?

A rien d'important.

Je dois y aller ma Bella, ton père arrive.

Et il me déposa rapidement un baiser sur le front avent de partir par la fenêtre à la vitesse vampiridique. Charlie poussa doucement la porte de ma chambre pour voir si j'étais réveillée.

Bonjour papa.

Ah ! Tu es réveillée Bella. Bon va te préparer pendant que je fais le petit déjeuner pour une fois.

D'accord papa, à tout de suite.

Je me vêtis d'un de mes vieux jeans que Alice ne pouvait supporter et d'un haut rouge, puis je descendis les escaliers me laissant guider par l'odeur des pumcakes provenant de la cuisine.

Hum…papa, ça sent bon !

Tiens ma fille serre toi. Il me tendit l'assiette et je pris 2 pumcakes avec lesquels je me régalais.

Pour une fois, tu les as réussis, ils sont très bons, mais pourquoi cette fois-ci tu tes mis aux fourneaux ?

Cette fois-ci je n'ai rien à te demander, je te le promet. Ne puis-je pas faire à manger de temps en temps à ma fille ?

Oui, oui, je te crois.

Je me demandais s'il n'avait pas l'intuition que bientôt j'allais m'éloigner de lui.

Bon j'y vais papa, je passe la journée chez les Cullens.

Ok, passes une bonne journée.

Je sortis de la maison et me dirigea vers mon amoureux appuyé contre sa Volvo argent à

m'attendre comme à son habitude. Je l'embrassa et entre dans la voiture.

Ca va mon amour ?

Oui et toi bonne chasse ?

Oui, je ne te boufferais pas aujourd'hui.

Et nous nous mîmes à rire.

Je réfléchissait encore à mon rêve, et m'efforçait à la fois de penser à autre chose et je remerciais le ciel qu'Alice s'occupe de tout pour le mariage et qu'elle allait occuper mon esprit toute la journée.

On était arrivés, Edward m'ouvrit la portière, et je m'avança vers lui et lui déposa un doux baiser sur ses lèvres fraîche puis je respira longuement son odeur envoutante, il fit de même et prolongea notre baiser, il m'embrassa avec plus de fougue, mes jambes commencèrent à fléchirent mais il me retenait avec sa main droite contre mes reins me plaquant contre son corps marmoréen. J'aurais pu rester des heures ainsi avec lui mais Alice en avait décidé autrement.

Eh ! Les deux amoureux, on arrête tout de suite, vous ferez ça après le mariage, pour le moment, j'ai besoin de Bella. Elle souriait fière d'elle en se tournant d'abord vers Edward qui émit un grognement puis vers moi où elle me prit par le bras et m'attira à l'intérieur de la maison.

Alice, me peignis-je tu aurais pu me laisser encore un moment avec ton frère.

Non, non, non ! On a du pain sur la planche.

Salut ! me lança Jasper qui venait d'entrer dans le salon, elle commence déjà à te torturer ?

Oui, dis-je d'un air boudeur.

Il rigola. Puis Emmett entra à son tour en ricanant.

Bon ben je vais aller consoler Edward, puisque je vois qu'elle vous a séparé. Et ils sortirent me laissant seule avec Alice qui reprit:

Alors, aujourd'hui, il faut que tu choisissse les fleurs pour les compositions et pour le bouquet et il faut que je te montre les robes des demoiselles d'honneur.

J'avais décidé de faire de Alice, Rosalie et Angela mes demoiselles d'honneur et d'après Alice il fallait que ce soit moi qui décide sur les robes.

Ok, ok, on va faire tout ça, pour les fleurs je veux des frésias même pour le bouquet et pour les composition tu t'en occupes je te fais confiance.

D'accord, bon maintenant passons aux robe, viens suis-moi. Elle m'emmena dans sa chambre où étaient allongées trois magnifiques robes.

Oh Alice ! Elles sont superbes, laquelle vas-tu porter ?

Elle prit la robe de couleur bordeaux presque violette.

Oui tu seras sublime dans celle-ci, j'ai hâte de te voir ce jour là.

Je dois admettre que même si je suis parfois en désaccord avec Alice sur ses goûts, elle a du goût au niveau vestimentaire.

Tu crois ? C'était une question rhétorique à laquelle je n'avais pas besoin de répondre. Même Jasper n'attend que ça il meurt d'envie de me voir dans cette robe.

Et nous rimes de bon cœur toutes les deux.

J'avais pensé que celle-ci irait très bien à Rosalie quand penses-tu ? Elle se dirigea vers la robe rouge.

Oui tu as raison ce rouge fera ressortir ses cheveux dorés et la rendra encore plus belle si c'est possible. Nous nous sourîmes.

Alice appela Rosalie et celle-ci accouru en une seconde seulement.

Alice tu m'as appelé ? Oh Bella ! Ca va ? se tournant vers moi.

Oui répondis-je.

Rose, est-ce que cette robe te plait pour le mariage ?

Oui, elle est très belle, tu as fait un très bon choix comme d'habitude.

Alors tant mieux, et celle-ci c'est pour Angela ? montrant la robe bleu violette satinée.

Oui d'ailleurs on va aller lui apporter tout de suite, tu nous accompagnes Rose ?

Oui, avec plaisir je vais prévenir Emmett et j'arrive.

Nous dévalâmes toutes les trois les escaliers ou plutôt je dévala les escaliers car mes futurs soeurs les descendirent d'une grâce impressionnante et nous nous dirigeâmes vers la sortie quand Edward m'attrapa la taille et me garda près de lui.

- Où est-ce que vous allez ? me demanda-t-il,

- On va déposer chez Angela sa robe, on n'en a pas pour longtemps.

- Dans cinq minutes je te libère, le temps que je m'empreigne de ton odeur.

- Ah non Edward ! cria Alice furieuse , ce n'est pas le moment on va emmener cette robe et après vous serai ensemble, vous n'avez vraiment aucune patience !

- Je suis désolé mon amour je dois y aller, me tournant vers lui d'un air désolé.

- Bon c'est bon mais Alice ramène la moi très vite.

Sa sœur m'attrapa le bras et m'emmena vite dans sans voiture avant de répondre :

Je te la ramène dès qu'on a déposé cette robe et… dès que on aura trouvé une paire de chaussure pour Bella, à tout à l'heure Edward, lança-t-elle toute contente de lui avoir joué ce tour. J'entendis un grognement de la part d'Edward en quittant l'allée.

Nous avons donc déposé cette fichue robe (mais jolie) chez Angela puis nous sommes partis faire du shopping chaussure pour le plus grand bonheur d'Alice et pour mon plus grand malheur. Nous avons mis au moins deux heures à trouver une paire qui plaise à la fois à moi, à Alice et à Rosalie. Enfin nous sommes rentrées, enfin je pouvais serrer mon fiancé dans mes bras sans interruption. Je me dirigea en toute hâte dans le salon, quand je le vis mon somptueux apollon assit sur le canapé entouré par tout le reste de la famille. J'allais lui montrer mes chaussures qu'on avait acheté quand Alice me stoppa, encore !

Quoi Alice ? J'étais furibonde. Je vais finir par piquer ma crise si tu m'empèche encore de voir mon fiancé. Involontairementj'avais élevé la voix.

Bella, calme toi, je voulais juste t'empêcher de montrer tes chaussures à Edward, tu sais c'est comme larobe ça porte malheur si Edward les voit avant le mariage.

Tout le monde nous regardait et rigolait. Le feux me monta aux joues je ne pouvais m'empêcher de rougir et je blottis ma tête dans l'épaule d'Edward qui me pris dans ses bras avec son sourire en coin, je faisais mine de bouder.

Nous restâmes ainsi un long moment sur le canapé tout les deux, les autres avaient miraculeusement disparus. Edward me caressait le bras du bout de ses doigts, j'en frissonnais, puis il pencha la tête vers mon oreille droite et me proposa d'aller dans sa chambre, proposition très alléchante, impossible pour moi de la refuser. Il me porta jusqu'à son lit où il m'y déposa doucement.

Oh… ma Bella, j'ai bien cru que je n'allais pas pouvoir te voir aujourd'hui. Comment Alice a-t-elle pu m'empêcher de voir ma femme.

Oui, moi aussi...attend tu as dit ma femme? Finalement j'aime bien, j'aime beaucoup même que tu m'appelles ainsi et que je le devienne évidement.

Ah oui? Je t'aime ma femme. Il me lança un regard de braise dans lequel je me perdis et m'embrassa.

Je t'aime mon mon mari, lui répondis-je en repreant mon souffle.

Et il posa une de ses main sur ma hanche et plaqua l'autre sur mes reins pour me porter sur lui.Des frissons me parcourèrent tour le long du corps mais ce n'était pas cause de son corps froid mais de plaisir. Il faisait des allers retours avec sa main le long de ma cuisse. Nos baisers étaient longoureux. Malheureusement, jr devais mettre un terme à cela car la tombée de la nuit arrivait. Je mis un doigt sur ma bouche pour l'empêcher de continuait.

Stop Edward! Il faut qu'on aille l'annoncer à Charlie.

Ah oui c'est vrai j'avais oublier, mais laisse moi te donner un dernier baiser.

Non Edward, car je sais que avec toi un dernier baiser s'en est un deuxième par la suite, puis un troisième etc...

Il me regarda avec son air de chien battu mais je ne céderais point. Et nous partîmes pour la maison.

Le premier chapitre n'est pas finis mais j'ai l'impression qu'il est un peu long donc je le coupe en deux. Dites moi ce que vous en pensait et justement si c'est trop long. N'hésitez pas à me faire des critiques pour que je puisse m'améliorer. J'espère que ça vous a plu. Bientôt la deuxième partie.