Simplement une pensée tentante (enfin écrite du début à la fin), et en dessous de 500 mots. J'ai utilisé hikaru parce que j'ai appris que cela serait le bon genre au lieu de hikari. Faites-en ce que vous voulez. Traduit par Ariane 57.
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Cela faisait seulement quelques jours qu'ils s'étaient séparés en deux corps distincts. La première chose qu'il fit fut d'offrir la chambre d'amis et de la nourriture gratuite.
Son yami n'était pas très content à ce sujet.
Cela ne fut pas long avant que tous ses amis ne viennent, ayant eu vent de ces nouveaux événements. Ils avaient tous protestés en disant qu'il était dangereux, qu'il n'était en aucun cas bénéfique pour sa santé. Son propre Yami avait voulu un endroit pour lui seul, pourquoi sur la terre voulais tu le garder avec toi ?
Ne t'a-t-il pas suffisamment blessé ?
Avec le recule, il n'était sûr de qui était le plus choqué de sa réaction : son Yami ou ses amis.
Il coupa les observations que son Yami était sur le point de faire en un sombre grondement guttural. Il n'y avait aucune erreur quant aux personnes à qui il la faisait, puisqu'il s'est rapidement tourné vers le groupe, les yeux plissés.
« C'est mon Yami. Le mien. » Attaqua-t-il doucement. « Je ferait ce que je voudrais avec lui et vous n'avez aucune place dans mes décisions à propos de lui. Si n'importe lequel d'entre vous veut s'opposer à cela, vous pouvez vous la mettre dans le cul. Est-ce que je me suis bien fait comprendre ? »
Son autre rougissait involontairement, il le savait sans le regarder. Il y avait cette vague pensée de ''pourquoi'', mais il était trop occupé à regarder furieusement les personnes devant lui.
Cela prit un moment, mais Yugi soupira, comprit et acquiesça. Les autres voulurent objecter, mais entre le regard accru et l'abandon de l'autre hikaru, ils n'avaient aucun choix à ce sujet.
Après qu'ils soient tous parti, il se retourna pour regarder son Yami. La coloration écarlate était toujours sur ses joues, bien qu'il fasse un admirable effort en essayant de s'en débarrasser.
Contenant son amusant, il exprimer sa question timidement: «Yami, est-ce que c'est bon ? Veux-tu vraiment vivre ailleurs ? »
Le rougissement était revenu en pleine force maintenant, son autre avait secoué la tête avec ferveur.
« Eh non. Non. C'est bon. » Bégaya-t-il d'un ton bourru. « Je veux dire, c'est bon de rester avec toi. Qui aurait raté de la nourriture gratuite ?»
Il haussa les épaules de façon évasive, optant pour une expression innocente. Ryou passa ses doigts autour des mains molles de son Yami, les rapprochant subtilement. Il entendit un doux soupir mais il choisit de l'ignorer.
Balançant leurs mains jointes dans un doux mouvement, il regarda attentivement ses ténèbres. Le rougissement était toujours là. « Un resquilleur comme toi n'aurait certainement pas raté une occasion comme celle là, » dit-il, « Mais ils ont eu un point. Tu vis une vie dangereuse, et tu as une tendance alarmante à prendre possession de mon corps sans aucun préavis. J'en suis venu plusieurs fois à avoir des blessures inexpliquées et ne plus savoir quel jour on était. »
« Alors pourquoi m'as-tu défendu ? »
Ryou sourit, ses yeux se plissant alors qu'il picorait les joues de son autre. « Idiot, parce que je t'aime. »
