Avis à ceux qui viennent voir si c'est vrai (ceux qui ne comprennent pas : vous êtes autorisé à zipper ce paragraphe) : Que faire à part un grand sourire d'excuse ? =D Voilà. Bon, ben maintenant que vous êtes là... Lisez et reviewez ! (Pas forcément dans cet ordre...)

Bonjour tout le monde !

Comme c'est les vacances, je vous poste à peu près tout ce que j''ai en réserve (je blague, je suis quand même pas complètement à sec =D - sourire jaune), histoire de faire ma BA du jour... C'est pas vrai, en réalité c'est pour avoir plus de place dans ma carte mémoire, mais chuuut ! On va faire comme si j'étais gentille.

J'espère juste que tout le monde s'est pas barré en vacances et que je vais pas avoir genre 5 visites, dont 3 de moteurs de recherches. C'est méchant pour ceux qui sont pas en vacances, hein ! Bon, on peut pas être gentille tout le temps. Une petite pensée quand même à ceux qui doivent travailler (ce mot ça fait des plombes que je l'entends mais je suis pas certaine d'en avoir bien saisit le sens xD). Je sais, c'est dur.

Comme je m'en vais très loin demain parce-que -c'est vrai que y'a pas de tiret à ''parce-que'' ?- je suis en VACANCES et que c'est les VACANCES et que je suis happy d'être en VACANCES, eh bien vous allez pas me revoir avant un bout de temps. Mais quand même, sachez que si d'ici trois ans j'ai rien posté de neuf (je me laisse une petite marge pour écrire; huh-huh) c'est qu'il m'est arrivé un truc pas très souhaitable et que voilà. Je vous laisse deviner la suite. Mais faut rester positif, hein ! -_-'

Pour ceux que ça intéresse, faut croire que, en effet, y'a pas l'air d'avoir de tiret à ''parce que''. Grande désillusion. Je suis vraiment déçue, là. Bon, je me coucherai moins bête ce soir ! (Comme aimait le dire notre cher combattant de la Première Guerre Mondiale...)

Sachez que je n'ai pas fait copié-collé de cette introduction dans toutes les fanfic's que j'ai postées aujourd'hui. Vous allez qu'à aller vérifier. C'est vrai.

Voici donc j'ai l'extrême honneur de poster le premier chapitre de cette fanfiction, laquelle sera, je l'éspère, un peu plus ''sérieuse'' que ce que j'ai pu écrire auparavant, dans le sens que c'est un peu moins bisounours. Enfin, je vous laisse juger !

Bisous à tous !

LadyBisounours


Titre : J'irai te chercher dans les entrailles de la mort

Rating : K+ (Pourquoi ? Euhh...)

Disclaimer : Disons pour faire simple que y'a approximativement rien qui m'appartient...

Résumé : Plus d'un an que Kate Beckett est morte. Et ça fait toujours mal. Et pourtant, une nuit, quinze mois plus tard, Richard Castlereçoit un appel qui va bouleverser sa vie. Car l'image de l'ID appelant... c'est celle de Kate.


Chapitre 1

Richard Castle somnolait dans un lit d'hôpital. La lumière estivale du soleil commençait à s'estomper, nimbant la pièce d'une lueur orangée. L'astre n'allait pas tarder à disparaître derrière les buildings imposants de New York, et la grosse pomme se préparait déjà à briller dans l'obscurité. La température était élevée ces jours-ci, ''Et le réchauffement climatique n'y est pas pour rien'' lui avait affirmé Alexis quelques jours auparavant. Il tâtonna sur la table de chevet pendant quelques secondes avant de se saisir d'une main endormie d'une télécommande. Il augmenta de quelques crans la diffusion de l'air climatisé, et s'abandonna de nouveau au sommeil. Il fut réveillé par un emmerdeur d'oiseau qui déclarait sa flamme au ciel, bien évidemment juste sous sa fenêtre. Les pensées rageuses de l'écrivain furent interrompues par le médecin qui entrait dans la pièce.

« Monsieur Castle ? »

Richard n'ouvrit pas la bouche mais posa son regard sur lui, lui faisant comprendre qu'il l'écoutait.

« Monsieur Castle, reprit le médecin, j'ai contacté votre femme. Elle devrait arriver d'une minute à l'autre.

- D'accord, parvint-il articuler. »

L'homme hocha brièvement la tête et le laissa seul avec ses démons. Une fois la porte fermée, il laissa retomber sa tête sur l'oreiller. ''J'ai contacté votre femme.'' Sa femme. Il avait toujours été persuadé que ce titre ne pouvait convenir à une seule personne. Kate Beckett. Et pourtant. Quinze mois auparavant, lorsque Esposito l'avait appelé à deux heures et demi du matin, il avait pensé que c'était une blague. Il avait regardé la date, sur son portable, à l'affut de la preuve que ça ne pouvait pas être réel. 1er Avril. On était le premier Avril. Il s'était inquiété pour rien.

« Tu es vraiment un emmerdeur, avait-il répliqué à son ami d'un ton coupant. Laisse-moi dormir et va faire tes blagues merdiques à quelqu'un d'autre.

- Je rigole pas, bro, avait dit le policier. »

A la détresse dans la voix de son ami, Castle avait vraiment commencé à paniquer.

« Il faut que tu vienne, avait-il continué. A l'hôpital. Maintenant. »

Il s'était habillé en vitesse, avait hélé un taxi qui zonait sans réelle intention de tomber sur un client, et était parti pour l'hôpital. Sans vraiment y croire. Mais dans le hall du bâtiment, il y avait Jim Beckett. En larmes. Lanie. En larmes. Esposito et Ryan. Qui se retenaient difficilement. Jenny, au moins aussi mal réveillée que l'écrivain, qui essayait de réconforter son mari, une boîte de mouchoirs à la main.

« Qu'est-ce… Qu'est-ce qui s'est passé ? avait-il bredouillé. »

Une balle. Calibre neuf millimètres. Elle avait suivi le chemin de sa précédente jumelle, à une exception près. Cette fois-ci, le tireur avait mieux visé. Ou Castle n'était pas là, ou les deux. Le projectile s'était fiché dans son organe vitale, détruisant tout sur son passage, éliminant froidement tout espoir de vie. Il n'y avait rien eu à faire. Katherine Beckett était morte avant même de toucher le sol.

« Mais qu'est-ce qu'elle foutait dehors à deux heures du mat' sans arme, sans protections et avec un meurtrier qui veut sa peau depuis toujours ? avait-il hurlé. »

Personne n'avait répondu. Il avait insisté pour qu'on le conduise à la morgue. Et là, devant le cadavre froid et sans vie de celle qu'il aimait, les yeux jusque là secs dans l'espoir que quelqu'un s'était trompé et que ce n'était pas elle, Richard Castle n'avait pas tenu cinq secondes. Il s'était effondré sur la dépouille, dévasté.

« KATE ! avait-il crié, mis à nu face à son déni vis à vis de la mort du lieutenant de police. Kate… Tu n'as pas le droit de faire ça ! Pas à moi ! Pas maintenant ! Je t'en supplie… S'il-te plait, reste… Reste avec moi ! On aura des enfants, Kate ! On se mariera ! Je serai là, toujours, pour toi, je… Tu ne peux pas partir ! TU NE PEUX PAS M'ABANDONNER ! KATE ! Pourquoi est-ce que tu as été obligée de continuer à le poursuivre ? Alors que tu savais que ça allait finir comme ça ? TU SAVAIS, KATE ! Et tu n'as rien fait pour éviter de te retrouver là, sur cette table… Ce que tu peux être... BORNÉE ! »

Il avait ponctué sa tirade d'un violent coup de point sur la table, juste à côté de sa tête.

« Pourquoi est-ce que tu m'as fait ça ? avait-il poursuivit en s'acharnant sur la surface blanche tandis que le médecin légiste tentait de le calmer. POURQUOI ? »

Il ne s'était arrêté que lorsque les jointures de ses doigts crispés s'étaient mises à saigner. Puis s'était effondré de nouveau, sous le poids de la douleur que lui causait la perte de la jeune femme.

« Je t'aime, avait-il murmuré au creux de son oreille en se penchant sur son visage et en l'embrassant sur le front. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime, je t'aime, je t'aime… »

Il avait continué à lui chuchoté ces ''je t'aime'', perdu, la gorge nouée. Et puis soudain, il s'était redressé.

« Elle est chaude ! s'était-il écrié. Elle est encore chaude ! Elle est toujours en vie !

- Un corps humain met plusieurs heures avant de refroidir complètement. Elle est encore tiède, mais… Ça ne va pas durer. »

Il n'avait pas voulu le croire, il avait ancré la paume de sa main près de sa poitrine, dans l'espoir d'entendre un pouls. Mais il n'y avait rien.

Lorsqu'il s'en était rendu compte, Richard avait laissé ses larmes couleur le long de ses joues, et il était sorti en titubant de la morgue, se raccrochant momentanément à la porte pour ne pas s'écrouler. Il était passé à proximité d'une poubelle et avait vomi tout ce qu'il avait pu dedans.

Castle frissonna pendant que les derniers vestiges du souvenir s'estompaient. Et puis la porte s'ouvrit, et une jeune femme blonde s'approcha du lit. Elle s'assit à ses côtés, et lui caressa doucement le front.

« Hey, le salua-t-elle. »

Il se contenta d'un faible sourire en temps que réponse, et elle le lui rendit.

« Normalement, c'est moi qui suis susceptible de me retrouver dans un lit d'hôpital ! lui dit-elle doucement en arrangeant les draps autour de lui et en le bordant comme un enfant.

- Je sais. Crois-moi, ce n'est pas moi qui ait réclamé un lit ici, répondit-il en entremêlant ses doigts aux siens. »

Elle le couva d'un regard inquiet.

« Est-ce que ça va ? Le médecin m'a dit que… que tu t'étais fait tirer dessus…

- Oui, mais dans la jambe, la rassura-t-il. Je vais bien, aucune artère n'a été touchée.

- Est-ce que… commença la jeune femme. Est-ce que tu sais qui a fait ça ?

- Je n'en ai aucune idée, c'était probablement une balle perdue.

- Tu veux dire que tu n'étais pas visé ? s'enquit-elle avec espoir.

- Je n'étais pas visé, confirma-t-il, désireux de ne pas lui infliger du soucis supplémentaire. »

Il sortit son bras des draps aseptisés et tendit la main vers le ventre rond de sa femme.

« Et toi, ça va ? Le bébé va bien ? demanda-t-il. »

Le regard de sa compagne s'éclaira du tout au tout.

« Il va bien. En parlant de ça, que dirais-tu de lui trouver un prénom ?

- Si c'est une fille, elle s'appellera Kate, murmura-t-il.

- Pourquoi est-ce que tu tiens à ce point à ce qu'elle s'appelle comme ça ? D'où tu le sors, ce prénom, ''Kate'' ? Non, il faut quelque chose de plus…

Rick se renfrogna, récupéra son bras et ferma les yeux.

« Pas maintenant, Addy, l'interrompit-il. Je suis fatigué.

- Bien sûr. Repose-toi, mon ange. On parlera de ça plus tard…

- Oui, reprit-il dans un murmure. Plus tard. »

Addison Castle hocha la tête, lui déposa un baiser à la commissure des lèvres et quitta la pièce, se retournant une dernière fois avant de sortir. Richard la regarda quitter la pièce avec un soulagement honteux.

A l'enterrement de Kate, il n'avait pas pu refouler ses larmes plus d'une minute. Il avait pleuré pendant des jours, pourtant, sans interruption, et il aurait pensé que ses glandes lacrymales seraient plus ou moins à sec, mais ce n'était apparemment pas le cas. Il avait pressé une rose rouge contre ses lèvres, peut-être plus longtemps qu'il ne l'aurait dû, avant de la jeter dans la cavité terreuse, comme tous les autres. Jim avait remué ciel et terre, après la cérémonie, pour faire construire un caveau familial. Il désirait que les deux femmes de sa vie reposent l'une à côté de l'autre, et Rick avait jugé que cela était une bonne chose. Il avait eu besoin de beaucoup de temps et du soutien moral et financier de l'écrivain pour obtenir l'autorisation nécessaire à l'exhumation du cercueil de sa femme, et de celui de Kate qu'ils avaient été contraints d'enterrer dans un simple trou creusé dans de la terre humide le temps que la sépulture soit faite. Puis les deux hommes ne s'étaient jamais revus. Castle passait tous les jours sur la tombe Beckett, il déposait des fleurs, aménageant un jardin coloré, en ce mois d'Avril funeste, et parlait pendant des heures à sa bien-aimée. Et puis il était venu de mois en mois souvent, finissant par ne plus y aller du tout, au profit de l'alcool. Parfois, les breuvages malsains les plus inimaginables les uns que les autres apaisaient sa peine et sa douleur psychique, parfois cela ne changeait rien, et la plaie était toujours béante. Ces jours là, où le mal était tellement vif qu'il lui donnait l'impression de le torturer, Rick continuait à boire, jusqu'à ce que l'alcool bouillonnant dans ses veines l'anesthésie. Trois fois, il s'était retrouvé aux urgences pour coma éthylique. Cinq fois, il s'était retrouvé au commissariat pour trouble à l'ordre publique ou violence sous état d'ivresse. Il était perdu, complètement. Entraîné dans la roue sans fin de l'alcool et de l'alcoolisme. La dépression sévère à laquelle il devait faire face s'aggravait de jour en jour. Il n'écrivait plus, s'était même fait renvoyer de sa maison d'édition, mais Gina et Paula étaient parvenues à éviter que toutes ses frasques soient présentes dans les journaux, laissant les nombreux fans frustrés qu'il avait abandonnés dans une totale ignorance de son état. Ce qui l'avait sauvé plus tard. Un jour, on lui avait annoncé que son foie était foutu, l'hépatite et la cirrhose induites par l'alcool l'ayant rendu hors-jeu. Martha lui donna un morceau de son propre foie, ce qui permit à son fils de survivre, bien que la seule chose qui lui faisait envie était de rejoindre la jeune femme brune et décédée dont son cœur encore en bonne santé était épris.

Et puis il s'était fait suivre par un psychologue, avait arrêté de boire grâce à plusieurs cure de désintoxication et des groupes des parole plus ou moins efficaces, et avait commencé à remonter la pente. Il avait débuté une nouvelle série, n'étant plus à même de poursuivre les aventures de Nikki Heat, et son public était toujours là. Il avait peu à peu retrouvé sa vie d'avant, sa vie d'avant la mort de Kate. Sauf qu'elle n'était plus là. Dix mois après son enterrement, il avait rencontré Addison. Elle était belle, insouciante, heureuse. Elle l'avait contaminé. Elle ne portait pas de fardeau comme le sien, et elle l'avait entraîné avec légèreté dans sa vie à elle. Ils s'étaient mariés. Ils allaient avoir un bébé.

Voilà pourquoi il avait honte d'être soulagé qu'elle parte. Parce-que c'était elle qui l'avait sorti du trou. Il ne lui avait jamais dit ce qui s'était passé. Elle ignorait tout de Kate. Et pourtant elle avait réussit à le guérir. La porte s'ouvrit une nouvelle fois.

« Addison, je suis désolé, lança Rick sans même regarder qui venait d'entrer.

- Euh non, moi c'est Alexis. Tu me diras, ça commence aussi par un A.

- Excuse-moi ma puce, lui sourit-il. Comment tu vas ?

- C'est à moi de te poser cette question ! répliqua la jeune rousse. C'est quoi cette histoire ? Tu t'es fait tiré dessus ?

- Oui, enfin…

- Et il parait que, je cite, ''tu n'étais pas visé'' ? continua imperturbablement la jeune fille.

- Oh. Je…

- Alors qu'on sait tout les deux très pertinemment qu'il n'y a qu'une seule raison pour que tu te fasse mitrailler comme du gibier, et que cette possibilité n'inclut pas, je cite toujours, ''une balle perdue'' ! s'indigna-t-elle.

- Tu as parlé à Addison.

- A quoi tu l'as vu ? railla-t-elle.

- Ecoute, Alexis, elle n'est pas au courant pour… pour Kate. Je n'ai pas jugé nécessaire de l'inquiéter pour rien.

- Tu lui as menti !

- Et alors ? »

Alexis ne trouva rien à répondre.

« Et alors ? répéta-t-il en détachant chaque mot. Est-ce que c'est vraiment important ?

- C'est ta femme !

- Tu as raison, dit soudain Castle. Je vais tout lui dire. Elle va s'affoler, paniquer, contacter la police, me poser de tas de questions, en bref : me torturer. Et se torturer. Mais ce n'est pas grave, puisqu'elle saura la vérité.

- D'accord, admit-elle. Mais un jour ou l'autre, elle finira par savoir.

- On verra le moment venu. Pour l'heure, ce n'est pas grave.

- Pas grave ? répéta sa fille. Tu te fiches de moi ? Ils t'ont tiré dessus !

- Dans la jambe ! S'ils avaient voulu me tuer, ils m'aurait mis une balle dans le cœur !

- Ce n'était qu'un avertissement ! Qu'est-ce que tu as fait ? Dis-moi ! »

Il n'ouvrit pas la bouche et détourna le regard, comme un enfant auquel on montre le vase qu'il a cassé.

« Dis-moi ! répéta Alexis d'une voix suraiguë. Tu l'as rouvert ? Hein ! Tu as rouvert son dossier ?

- Ils n'étaient pas censés le savoir, grommela Richard. »

La jeune fille eu une exclamation de colère et se prit la tête dans les mains avant de marcher furieusement vers la porte, de se stopper net et d'écarter les bras avant de se retourner vivement.

« Tu essayes vraiment de te faire tuer ? s'énerva-t-elle.

- Ils n'étaient pas censés le savoir, répéta-t-il.

- Tu t'es imaginé que tu étais un super flic et que tu trouverais, des mois plus tard, LA chose qui te permettrait de clore cette affaire ?

- C'est à peu près ça… admit-il.

- J'hallucine, gronda-t-elle avant de se laisser tomber dans le fauteuil au bord du lit. J'hallucine vraiment. »

Il soupira, et abandonna l'idée de calmer Alexis. Il lui promit qu'il arrêterait tout et qu'il la préviendrait si son état empirait, et elle le laissa. Elle devait retourner à la fac, le lendemain matin. Il avala, résigné, son plateau repas infâme, et passa un coup de fil à sa femme pour l'excuser, ce qu'elle fit de bon cœur, mettant sa mauvaise humeur sur le compte du traumatisme dû à la fusillade. Il la laissa lui trouver de fausses excuses, puis raccrocha et sombra au bout de quelques minutes dans les bras de Morphée. Oui, il avait voulu rouvrir le dossier de Kate et de Johanna, à l'affut d'un indice qui leur aurait échappé. Et le matin suivant, il s'était fait tiré dessus. Action, réaction.

Il dormit quelques heures d'un sommeil troublé par des cauchemars où les mots ''Kate'' , ''tombe'', et ''balle en pleine poitrine'' revenaient souvent, avant d'en être tiré par la sonnerie de son téléphone. Intrigué, il regarda l'heure. Trois heures quarante-sept du matin. Dehors, il faisait encore nuit, et la lune berçait d'un halo lumineux la ville endormie. Il tâtonna pendant un instant sur la table de chevet, à la recherche de son portable, et finit par le retrouver grâce à la lumière qui émanait de l'écran, dans la poche de la veste.

Et là, il se figea. Son cœur s'emballa, ses mains se mirent à trembler, sa respiration s'accuenta. Est-ce qu'il délirait ?

Sur l'écran pixellisé de son cellulaire, s'étalait une image qu'il n'avait pas vue depuis plus d'un an. L'image associée à l'ID appelant.

L'image de Kate Beckett.


Et c'est la le moment tant attendu où je vous parle de bout... NOOON ! Trahison ! Complot ! Le bouton review, MON bouton review n'est plus ! Roh punaise; j'avais encore plein de blague nulles à faire, et il s'est lâchement barré ! Lui aussi il est parti. Tout le monde est parti. Oui mais non, bordel, pas le bouton review ! Il était design, il était classe, il était... utile...

Bon, son remplaçant est pas si nul que ça, hein. (Positivons à mooort...) Je dirais même qu'il est mieux. Ben ouais, on diminue par deux le nombre de clic pour poster une review. On passe de deux à un. On divise par deux le temps que l'on met ! C'est fou ! Profitez-en ! C'est une occasion en or, à ne pas louper. Qui sait, vu ce qu'ils ont fait au bouton review, peut-être que dans dix jours, pffuit, on multiplieras tout par trois.

Sérieusement, personne n'a plus d'excuses, là. Même si c'est juste un POINT, ça fait toujours plaisir ! (Haan je vais avoir les boules si je me mets à recevoir des reviews qui sont, en tout et pour tout, ''.'' xD)

Allez les gens !
Positivez avec moi !
Testez ce nouveau bouton !