Auteur : Kyochan ! vui, encore moi ! va falloir s'y habituer !

Base : saiyuki ! (je sais, je suis fana de cette série…)

Disclaimer : et non, les persos de saiyuki ne m'appartiennent pas, ils sont à Kazuya Minekura… même mon Sanzo… sniff….

Résumé : Hakkai va devoir être l'esclave d'un mystérieux personnages pendant une semaine… son amour pour Sanzo réussira t il à le rendre assez fort ?

Couple : bah, si on lit le résumé, on devine tout de suite : Sanzo/Hakkai, bien évidemment ! mon couple favoris ! je trouve qu'il y en a pas assez sur ce couple…. Ils sont mignon ensemble, pourtant… vous trouvez pas ?

Petite note : comme pour ma 1ère fic, le soleil, les paroles des perso sont noté SANZO : … et le pensées sont entre /pensées/ . Et si plus tard il y a des chuchotement (et il y en aura je pense..), ils seront entre « … » voilà !

Petite note 2 : a propos de la fic, le soleil, j'ai décidé d'en faire la suite, mais vu que je vais faire aussi cette histoire là, y va falloir un chtit peu patienté… thank you !

pitit dico (pour les gens qui connaissent po trop le jap..) :

k'so : sale, k'so saru : sale singe, baka saru : stupide singe, con de singe

pour l'instant, je pense qui en a pas d'autre... je les noterais au fur et à mesure, si j'en emplois dans cette fic! j'essaye de rester dans lefrancais, et c'est po facile - -""

Semaine d'horreurs et de révélations….

Chapitre 1 :

Les 4 voyageaient vers l'ouest. Goku réclamait à manger et Gojyo dormait. Hakkaï se concentrait sur le bonze qui était à côté de lui, plus que sur la route. Ce qui s'était passé hier soir… Etait une erreur. Et puis, Sanzo n'en avait gardé aucun souvenir. Il avait absorbé bien trop d'alcool. Hakkaï ferma les yeux. La douceur de la peau du moine le hantait, il ne parvenait plus à se contrôler, si Sanzo le touchait encore une fois, il lui demanderait cette peau qui était devenue une drogue en une nuit. Une nuit… Hakkaï se remit à rêver, ne faisant plus du tout attention à la route.

SANZO : Hakkaï, tu tournes vers l'est…. Hakkaï, tu m'écoutes, je te dis que tu es en train de faire demi tour… HAKKAI !

La voix du blond réussi à sortir Hakkaï de sa rêverie et il reprit la direction de l'ouest, Gojyo dormant encore, paisible, et Goku ayant trop faim pour avoir remarqué la brusque embardée.

SANZO : Hakkaï, tu ne fais pas plus attention à la route, j'te bute…

HAKKAI : oui, oui, excuses-moi…

SANZO : … /Hakkaï est vraiment bizarre depuis ce matin… Je me suis réveillé avec un super mal de crane, sûrement dû à une bonne cuite hier… Je ne me souvient de rien, mais il me semble avoir sentit une peau d'une extrême douceur et d'une douce chaleur contre moi… Cette peau… Ce que j'aimerais qu'elle soit celle d'Hakkaï… Cet imbécile ne remarque jamais rien… Bah, tant pis, il vaut mieux de toute façon que jamais il n'y ai quelque chose entre Hakkaï et moi, car… Si je meure… Ou si il meure… Je connaît cette douleur… Mais que c'est il passé hier soir ? Quand Hakkaï m'a demandé ce qu'il s'était passé, j'avais l'impression qu'il le savait déjà… Juste une impression…/

Il fut chassé de ses pensées par un Kappa qui se réveilla de la faute d'un K'so saru…

GOJYO : le singe, je vais t'étriper !

GOKU : ah, non, par pitié, j'ai trop faim !

GOJYO : et alors, ce n'est pas mon problème !

Soudain, Jeep pila.

SANZO : Hakkaï…

Il fut soudainement prit à la gorge et vit le Kappa et le saru le suivre dans les airs. Il regarda en bas et vit l'air épouvanté d'Hakkaï.

HAKKAI : Gojyo, Goku… SANZOOOO !

Il ne voyait pas d'où ses compagnons avaient été chopé, ni par quoi, mais ils étaient en train de mourir en l'air !

VOIX : Cho Hakkaï… Je vais te faire une proposition… Si tu acceptes, tout ira bien, si tu refuses…. Je souhaite que tu prennes Jeep, et que tu continues tout droit, devant toi. Tu trouveras un château. Je suis le maître de ce château. Je veux que tu sois mon esclave pendant une semaine, puis après, je relâcherais tes amis, et tu seras libre de me tuer… Qu'en penses tu ?

HAKKAI : que tu essayes de me berner…

VOIX : non… Regardes, tes amis vont être mit en sécurité… Je les emmène dans mon château, et je t'y attend.

Le corps de Gojyo, Goku et Sanzo foncèrent droit devant, et Hakkaï les poursuivit. Il arriva à un château. Puis, Jeep reprit son état de dragon et il fut emmené de la même manière que les trois autres.

HAKKAI : où sont ils ?

VOIX : du calme, Cho Hakkaï… Du calme… Maintenant, tu vas répondre… Mais je vais juste te faire rentrer dans ce château, puis, tu vas monter l'escalier en face de toi, tu monteras de deux étages, puis au fond du couloir vert, tu trouveras deux portes. Celle de droite est l'infirmerie. Vas y.

Hakkaï fit ce que cette voix lui demandait, et il tomba sur ses 4 amis qui étaient allongés sur des lits, dans une espèce de cercueil en verre.

VOIX : tu vois, Cho Hakkaï, il me suffit juste de faire ça…

Un bras métallique bougea au dessus de la tête du bonze et le prit a la gorge. Il serra et le moine, dans son sommeil, plissa les yeux, et commença à suffoquer.

HAKKAI : arrêtes ça !

VOIX : bien.

Le bras métallique lâcha Sanzo et rentra dans le mur.

VOIX : alors, Cho Hakkaï, je veux juste de toi comme serviteur pendant 1 semaine… Après tu pourras me tuer, tu feras ce que tu veux de moi. Juste une semaine. D'accord ?

HAKKAI : avec certaines conditions…

VOIX : non, non, non ! Ha, ha, ha, qu'est ce que tu peux être intelligent… Mais pas de conditions, aucunes, c'est moi qui les fixe, ces conditions…

HAKKAI : …

VOIX : oh… tu me déçois, Cho Hakkaï… Je vais me trouver dans l'obligation de tuer tes amis…

Plusieurs bras métallique sortirent et encerclèrent le cou des 4 dans les cercueil, Jeep y étant aussi.

VOIX : alors ?

HAKKAI : arrêtez…

Gojyo porta une main à son cou, inconsciemment.

VOIX : ils souffrent…

HAKKAI : arrêtez !

Sanzo essaya de reprendre sa respiration, mais un long râle sortit de sa gorge.

VOIX : dis oui si tu acceptes…

HAKKAI : ARRETEZ ! OUI !

Les bras rentrèrent dans le mur.

VOIX : très bien… Restes avec tes amis, je les fais sortir juste quelques minutes… Tu ne les verras plus pendant 1 semaine… Tu m'attends, quand je reviendrais, tes amis retournerons dans leurs lits… Ne t'inquiètes pas, ils serons nourrit, et aux petits soins…

HAKKAI : … Oui… /que va dire Sanzo… Il va me dire que j'ai été idiot, et me ressortir sa phrase…. Ne possèdes rien…/

Les cercueils s'ouvrirent et les membres endormis du groupe se réveillèrent. Hakkai se jeta dans les bras de Sanzo. Il y eut un grand silence.

SANZO : Hakkaï, vas tu m'expliquer le pourquoi de ton geste ?

HAKKAI : je suis désolé, Sanzo…

Il se sépara de Sanzo, conscient de l'idiotie de son geste, mais aveugle au rose qui colorait les joues du moine. Il leur expliqua tout.

GOJYO : eh, interdiction que je reste dans un espèce de cercueil en verre pendant une semaine !

HAKKAI : je suis désolé, Gojyo…

GOKU : en esclave ?

HAKKAI : oui…

SANZO : tch, fallait pas que tu acceptes…

HAKKAI : avais je le choix ?

GOJYO : n'empêche, Sanzo, avoues que tu serais furieux d'avoir été tué dans ton sommeil par un bras mécanique…

SANZO : … /c'est surtout sous les yeux d'Hakkaï que je n'aurais pas aimé mourir…/

HAKKAI : … Je suis déso…

SANZO : mais tu vas arrêter de t'excuser, sombre crétin ! C'est pas grave, tant qu'il ne te fait pas de mal… Ce que, j'en suis sûr, il va te faire, dés qu'il le peut…

GOKU : mais, faut pas se laisser faire !

VOIX : que comptes tu faire, petit singe ?

Une silhouette apparue et les amis d'Hakkaï retournèrent dans leur cercueil, comme des pantins, sans aucune volonté.

HAKKAI : Sanzo… Gojyo, Goku, Jeep…

SILHOUETTE : voilà, ils vont dormir tranquillement… Pendant une semaine. Tu ne pourras pas les voir, eux, ils se réveillerons à tour de rôle toutes les 6 heures. Mais ils ne pourrons pas sortir de là. Toi, tu peux y rentrer, la porte serra ouverte, mais vu que tu seras interdit de les voir, je te conseille de ne pas y rentrer, si tu ne veux pas que je te punisse… Viens maintenant, je vais te montrer ta chambre. On est au beau milieu de l'après midi, ce sera ton premier jour. Mais avant tout…

Il se tourna vers Hakkaï et posa une main sur son cœur. Hakkaï sentit comme un courant électrique passer dans son cœur et cria. Une vive lumière blanche l'aveugla et quand tout fut finit, il dût se tenir au mur pour ne pas tomber.

HAKKAI : qu'est ce que…

SILHOUETTE : un sort. Ta vie et la mienne sont à jamais liée…

HAKKAI : comment… ça ?

SILHOUETTE : tu as mon cœur, et j'ai le tient… Mais notre cœur respectif reste quand même à nous…

HAKKAI : je n'y comprends rien…

SILHOUETTE : ça veut dire que si on me touche en plein cœur, tu mourras, et vice versa… si par exemple, quelqu'un te blesse en plein cœur. Je mourrais. Tu resteras en vie. Mais, puisque mon corps va mourir, ton cœur ne subsistera pas. Et il mourra. Tu sais ce que ça veut dire…

HAKKAI : que nos vies sont liées…

SILHOUETTE : ah ! Tu comprends vite, tu es intelligent… Comme je te voyais…

La silhouette enleva son manteau et Hakkaï se retrouva face à une femme d'une vingtaine d'années. Elle était vraiment belle mais ce qui frappa Hakkaï, c'était ses yeux. D'un bleu turquoise, ils étaient emplis d'une tristesse presque sans fond. Elle était une youkai.

HAKKAI : qui êtes vous ?

SALY : je m'appelle Saly. Je ne te veux aucun mal, juste que tu sois à moi pendant une semaine. Je ne te forcerais pas à tuer des gens, cela ne m'intéresse pas que d'autres personnes aient les même blessures que moi…

HAKKAI : je te comprends…

SALY : justement, c'est pourquoi je t'ai choisit. Hakkaï, je sais que tu aimes ce bonze, je vous observe depuis une semaine… Je suis désolée d'avoir été aussi dure avec vous tous, mais je n'ai vu que ce moyens. Mais, bien sûr, tu pourras aller voir tes amis une fois par jour. Je voulais juste que tu ne puisses rien faire jusqu'à ce que je fasse la transition de nos cœurs. Là, je sais que pendant une semaine, je ne serais plus seule, je serais avec quelqu'un qui connaît les peines d'avoir perdu sa moitié…

HAKKAI : ….

SALY : bien sûr, mon geste est impardonnable, mais, s'il te plaît…

HAKKAI : aller, c'est tout…

Il la prit dans ses bras et elle pleura en se serrant contre lui.

HAKKAI : je resterais avec toi pendant une semaine. Mais ne me racontes pas de salade. Je sais que tu veux te venger sur moi sur quelque chose, et je t'en prie, fais le. De toute façon, j'assume entièrement mes fautes passées, puisque j'ai une autre vie…

SALY : oui… Je t'en veux… Cho Hakkaï… Tu as tué mon clan… Je voulais tuer tes amis devant toi, finir par ce bonze, et te faire subir les pires supplices pendant une semaine entière… je voulais te briser… mais quelque chose en toi m'attire… Cho Hakkaï…

Elle releva la tête et l'embrassa. Il ne s'y attendait pas, et se laissa faire.

SALY : je vais te donner ton premier ordre : viens dans ma chambre ce soir… On va manger, puis tu vas aller dans ta chambre. Tu viendras une heure plus tard. Souviens toi, un ordre que tu refuses ou que tu oublies, et un de tes amis mourra… Viens maintenant, je vais te montrer ta chambre…

Ils allèrent au tout dernier étage, et elle ouvrit une porte. Il y avait un lit, une lampe, et plein de livre.

SALY : je sais que tu aimes lire. Alors, pour supporter cette semaine, tu pourras lire tous ces livres. Ta salle de bain est là-bas. Bien sûr, tu n'as pas d'eau chaude. Le repas sera à 19h30. Sois là sans faute. Pour ce soir, ce n'est pas toi qui fait à manger.

Elle s'en alla, laissant Hakkaï seul. Il s'allongea sur le lit.

HAKKAI : Sanzo……

Il s'endormit, épuisé. Quand il se réveilla, il était 19h20.

HAKKAI : hum… Déjà… Pff, je dois y aller…

Il se leva, se passa de l'eau froide sur le visage, et descendit. Puis, il remarqua à quel point le château était grand, il y avait 5 couloirs au rez-de-chaussée. Il allait aller dans l'un d'eux quand…

SALY : si tu vas par là, tu risques de le regretter… C'est pour ton bien.

Il se retourna et il la vit devant une porte, qu'il avait prit pour un couloir.

SALY : j'ai oublié de te montrer où était la salle à manger. Tu peux rentrer.

Il entra dans la salle à manger et ils s'installèrent.

SALY : mon ancien esclave n'excellait pas dans la cuisine. Mais c'est bon, tout de même…

HAKKAI : ancien ?

SALY : je viens de le renvoyer. Nous ne serons que tous les deux…

Ils se mirent à manger, et quand il eurent fini Hakkaï lava et rangea tout. Il découvrit pas mal de couloir dans le château, et vu qu'il avait une très bonne mémoire et un grand sens de l'orientation, il savait à peu près où tous les couloirs du château menaient. Il alla dans sa chambre et regarda l'heure. 21h. Ils avaient prit 45 minutes pour manger. Et il avait passé 45 minutes pour explorer le château. Il avait 15 minutes devant lui. Il porta sa main à sa bouche, sentant encore la douceur des lèvres de Sanzo.

HAKKAI : Sanzo… J'ai l'impression que ça fait déjà plusieurs jours que nous nous sommes quitté… Tu me manques… Donnes moi la force pour continuer…

Il soupira et rit quand il remarqua qu'il parlait comme si Sanzo était mort. Il se reprit et se leva. Il descendit et alla devant la chambre de Saly. Il frappa.

SALY : entres, Hakkaï…

Il obéit et Saly était sur son lit, en train de lire. Elle posa son livre et il ferma la porte.

SALY : approches toi, Hakkaï…

Il avala difficilement et s'avança. Elle se leva et posa une main sur le ventre d'Hakkaï.

SALY : soit à moi… C'est un ordre…

Elle le prit par la taille et l'embrassa. Il ferma les yeux et remarqua que les lèvres de Sanzo lui étaient vraiment plus agréable. Elle passa ses mains dans les cheveux d'Hakkaï et le coucha sur son lit.

POV Hakkaï :

Ça y est, ce que je redoutais arrive… Elle va me forcer… Mais si je ne réponds pas à ses attentes, alors, un de mes amis… Je dois me forcer moi aussi, elle croit peut être ça drôle, mais ça ne l'ai infiniment pas… Sanzo, je suis désolé… Je ne sais pas si ce que tu m'as dit hier soir était vrai, mais si c'est vrai… Si tu le penses vraiment… Alors je suis désolé… Je ne peux pas répondre à ton amour… Mais, si tu savais ce qu'il se passait, tu me pardonnerais, hein ?

Fin POV Hakkaï.

Saly et Hakkaï passèrent donc la nuit ensemble. Vers 2h du matin, Hakkaï sortit de la chambre et alla dans la sienne. Il se lava mais l'eau était tellement froide qu'il ne resta que 2 minute sous la douche. Il soupira et s'étendit sur son lit. 2 nuits, les même choses, et pourtant, une nuit de rêve et l'autre de cauchemar… Il s'endormit en ressentant un sentiment cuisant de culpabilité vis à vis de Sanzo et en sentant un liquide brûlant couler sur ses joues.

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Et voilà ! un chapitre de fini ! vous aimez ? détestez ? dites le moi grâce à une chtite review ! thank you !