La force de se battre

Candy fanfiction

Juste après la fin du dessin animé.

Jespère que vous aimerez.

J'ai pour l'instant un brouillon pour 12 chapitres, mais il y en aura surement plus. J'ai eu l'idée nde faire apparaître, plus tard quelques personnages de Twilight. Après tout dans le livre Edward (Mason) était à Chicago et il y a été changer en 1918 ou 1917 non? Et le Docteur Cullen y était aussi, dans un service de nuit... Je pense que je vais les inserrer sans pour auatnt en faire une histoire de vampire. je n'ai encore rien décidée et aimerai avoir votre opinion. Dans tout les cas il feront une toute petite apparition très bientôt. A vous de choisir s'ils reviennent plsu longtemps ou pas.

Bonne lecture

Lorelei Candice Black


CHAPITRE 1 : Révélations

Albert et Candy étaient rentrés à Lakewood, Archibald était allé rendre visite à ses parents et Annie était chez les siens. Albert était encore très en colère du mauvais coup que la grande tante Elroy et les Legrand avaient fait à sa petite fille adorée. Car oui, Candy était sa meilleure amie, sa petite sœur et sa fille. Il était très en colère et avait décidé de prendre les choses en mains. Il avait l'impression que sa précieuse Candy perdait l'envie de se battre. Elle semblait résignée à laisser le destin faire d'elle ce qu'il avait décidé. Albert se promis alors de tout faire pour lui rendre cette force de se battre. Avant de partir pour la maison Pony, il avait demandé à George de convoquer Elroy et les Legrand à Lakewood pour une réunion urgente et obligatoire pour tout le monde.

« Tu devrais aller te reposer Candy, Betty va te montrer ta chambre, elle sera ta femme de chambre. Si tu as besoin de quoi que se soit, je serai dans mon bureau encore quelques temps puis j'irai a mon tour me coucher. Je te verrai pour le petit déjeuné demain matin. » Lui dit Albert.

« Très bien Albert. Bonne nuit. »

« Bonne nuit petite »

Il regarda Candy suivre la vieille bonne dans les escaliers et eu soudain l'image de sa défunte sœur, montant ses mêmes escaliers plusieurs années plus tôt. Elle lui ressemblait beaucoup et cette idée l'intriguait, mais il décidé de la laisser de côté. Il devait retourner dans son bureau pour trouver ce qu'il donnerait comme punition à ceux qui avaient fait tellement souffrir la douce Candy. Il monta se coucher après 3heures de recherches fructueuses et, en passant devant la grande chambre de Candy, l'entendit pleurer. Ce son lui fendit le cœur et il se promit de tout faire pour qu'elle soit complètement heureuse à nouveau.

Le lendemain matin, il vit Betty descendre de l'étage supérieur où se trouvait sa chambre pour rejoindre Candy. Il lui dit qu'il attendrait Candy dans la roseraie pour le petit déjeuné.

Lorsqu'elle ouvrit les yeux, Candy mis quelques minutes à se souvenir de l'endroit où elle se trouvait. Elle était avec Albert à nouveau. Il était le Grand oncle William, il allait s'occuper de tout. Tout allait bien, elle ne se marierait pas avec Niel. Elle fut alors surprise de voir la veille Betty entrer dans sa chambre pour ouvrir les rideaux et l'aider à se préparer.

« Comment saviez vous que j'étais réveillé Betty ? » Lui demanda Candy.

« C'est mon travail Mademoiselle. »

« Vous travaillez ici depuis longtemps ? » Candy voulait apprendre à connaître la gentille femme qui allait être son aide personnelle à partir de maintenant.

« Oh oui. J'ai commencé mon service chez les André avec Mademoiselle Rosemary. Quand elle est décédée, je suis passé au service de Madame Cornwell. Monsieur William a expressément demandé à ce que se soit moi qui m'occupe de vous et j'en suis contente. Madame Cornwell est très gentille bien sûr, mais vous me rappelez tant Madame Rosemary… »

« Si Albert, enfin je veux dire Monsieur William, a demandé à ce que vous veniez ici c'est qu'il vous fait confiance ! »

« Oui. Il voulait qu'il y ait à vos côté quelqu'un en qui il puisse avoir confiance en toutes circonstances. Monsieur George m'a raconté tout ce qu'il vous est arrivé depuis que vous étiez toute petite… C'est une honte que les Legrand vous ai traité de cette façon ! Enfin, c'est fini maintenant, ils ne pourront plus rien contre vous maintenant. Votre père vous aime plus que tout et il vous protégera. » La veille femme aimait de toutes évidence déjà Candy et elle lui présenta une jolie robe de tout les jours puis l'aida à la passé pendant qu'elles parlaient. Candy savait, à ce moment et sans savoir pourquoi, que cette femme lui serai fidèle quoi qu'il arrive.

Candy était pensive, elle avait déjà vu le portrait de la mère d'Anthony la si belle et douce Rosemary. Elle ne savait pas pourquoi elle se sentait si troublée à chaque fois que quelqu'un parlait de la femme.

Elle mit ses pensées de côté et se rendit dans la roseraie pour rejoindre Albert pour son petit déjeunée. Elle fut surprise d'y trouver la grande Tante Elroy.

« A Candy, viens, je t'en pris. Tante Elroy est venue en avance des Legrand qui ne seront là que dans 2 heures. Je lui ai expliquer les choses, de la façon dont tu t'est si bien occupé de moi sans savoir que j'était la Grand Oncle William en passant par tout les mauvais coups qu'Elisa et Daniel t'ont tendu avec l'aide de leur mère. Je lui ai aussi rappelé que quand elle a fait son malaise, c'est toi qui l'avait soigné et non cette incapable d'Elisa. »

Elroy avait l'aire triste et pensive à la fois. Candy prit place et se servit un peu de thé alors qu'Albert lui tendait le panier à pâtisseries. Candy vit la tante Elroy relever la tête pour prendre la parole et releva la sienne pour lui montré qu'elle était prête à l'écouter.

« Candy, je suis une vieille femme, mais pas encore assez vieille pour ne pas être capable d'admettre que j'ai eu tord… » La jeune femme voyait bien que son aînée avait du mal à formuler ses paroles. Elle décida d'être encore une fois la bonne âme et la tira de là :

« Ma tante, ne vous en faite pas. Je comprends que sa peux être difficile pour vous de parler pour l'instant. Vous avez beaucoup de choses à digérer. Je comprends en partie votre antipathie à mon égard. Sachez que je ne vous en veux pas présentement et que quand vous n'avez pas à dire quoi que se soit maintenant. Lorsque vous serez prête, je serais à votre disposition. »

Albert était fier de Candy et Elroy pouvait le voir sur son visage à ce moment là. La vieille femme était elle aussi touchée par la gentillesse et la bonté de la jeune femme qui lui avait épargnée de difficiles et honteuses excuses. Elle se promit alors de faire plus amples connaissances avec la jeune femme et de se racheter auprès d'elle. Elles échangèrent toutes deux un sourire doux et sincère et reprirent toutes deux leurs petit déjeunée.

« Candy, j'aimerai que tu penses à ce que tu veux faire à partir de maintenant. On en reparlera plus tard, quand les Legrand seront repartis. Mais saches que même si je préfèrerais que tu restes à mes côtés, je te laisserai faire ce qui te plaira. » Candy lui souri et pris la parole :

« A vrai dire, j'ai une idée qui me trotte dans la tête depuis quelques temps mais je ne l'ai jamais vraiment approfondie… J'aimerai rester ici avec toi encore quelques temps, comme ça tante Elroy et moi pourront faire connaissance. » Elroy se senti sourire de bonheur d'être dans les projets de la jeune femme.

« Quel est cette idée Candy ? » Lui demanda poliment la femme.

« C'est la clinique du docteur Martin qui m'en a donné l'idée. Un grand dispensaire gratuit pour les pauvres. Avec des animaux et un grand jardin. Le docteur Martin serai le directeur, on pourrait voir avec les écoles d'infirmières et de docteurs d'envoyer des étudiants pour l'aider… puis par la suite on pourrait en ouvrir dans toutes les villes. Les grands hôpitaux ne s'occupent pas des pauvres ou de ceux qui ont perdus la mémoire comme toi Albert… Quand je revois cette chambre 0… » Candy tenait vraiment à cette idée et c'était évident qu'Albert aimait voir cette passion dans les yeux de la jeune femme. Cependant, avant qu'il ne puisse ouvrir la bouche, la tante Elroy dit :

« Je trouve que cette idée est excellente Candy. Dès que celui de Chicago sera terminé, nous pourrions chercher à en construire dans toutes les plus grandes villes. Pour les animaux, on pourrait trouver un arrangement avec des fermiers et des zoos pour que ponctuellement des animaux viennent à l'hôpital. Je t'aiderai à rassembler des fonds. Je connais beaucoup de monde dans la haute société et je t'aiderai à les convaincre... »

Albert souriait. Elroy et Candy était en bonne voie pour devenir proche. La vielle femme semblait vraiment intéressée par l'idée de Candy

« Bien, je vois que cette question est résolu. Je suis certain que vous y arriverez bien toutes les deux. Nous devrions nous déplacer jusqu'à mon bureau, George vient de me faire signe que les Legrand sont arrivé. »

Candy pris une grand inspiration avant de suivre celui qui venait d'entrer dans la peau du Grand Oncle William et de la Grande tante Elroy. Elle sentait qu'Albert était en colère contre les Legrand et ça lui faisait peur car elle n'avait jamais véritablement connu Albert en colère.

Lorsqu'elle arriva dans le bureau, Albert était derrière son bureau, devant sa chaise, la tante Elroy était assise dans un fauteuil sur le côté et les Legrand étaient debout devant Albert, devenu le grand oncle William.

« Ah, Candy, viens ici petite, viens à mes côtés. » Lui dit Albert quand il la vit entré. Elisa et Niel étaient tout les deux pâle. Ils venaient de se rendre compte que le vagabond qui vivait avec Candy était en fait le chef de famille. Il avait l'air très en colère en les regardant.

« Bien, je ne vais pas y aller par quatre chemins. Monsieur Legrand, vous avez été très absent pour votre famille et cela vous a rendu aveugle à ce qu'ils étaient devenus et à leur comportement inqualifiable. JE NE VEUX PAS ETRE INTERROMPU ELISA ! Madame Legrand, vous avez été au courant de la plupart des agissements de vos enfants envers ma fille et vous les avez laissez faire, aider même parfois ! JE NE LE PERMETTRAIS PAS ! Vous l'avez faites renvoyer et bannis de tout les hôpitaux de Chicago alors que c'est une excellente infirmière. Pour cela vous avez utilisé MON NOM, MON TITRE, sans mon autorisation ! Sachez que si Candy n'avait pas pris soin de moi je ne serais peut-être plus de ce monde aujourd'hui ! Elle ne savait pas que j'étais le Grand oncle William, mais juste un ami qui aime la nature et voyager. Elle a pris soin de moi, risquant sa réputation et son emploi, qui lui tenait tant à cœur ! Elle vaut 100 fois mieux que vos deux enfants réunis ! Elisa, je suis au courant de toutes tes manigances contre Candy, ta l'a faites passée pour une voleuse et lui a tendu plusieurs pièges depuis que tu l'as rencontrée ! Elle ne t'a jamais rien fait pas toi tu l'as immédiatement attaquée. Jusqu'à manipuler la famille a mentir pour marier Candy à ton frère que tu sais qu'elle déteste. Tout ça pour la rendre malheureuse et mettre la main sur ma fortune ! Niel, tu as lâchement suivit ta sœur. Je ne sais pas si tu aime réellement Candy, mais je ne l'obligerai pas à t'épouser. Vous avez tout les deux besoin d'une bonne leçon ! Je longtemps réfléchie a ce que vous méritiez et j'ai décidée de vous reniez de cette famille tout les trois. Le nom et la fortune des André vous est désormais interdit. Dans 5 ans Candy elle-même réétudiera votre situation. En attendant, vous irez travailler dans la classe ouvrière dans une des entreprises de la famille. Elisa ira travailler et sera femme de chambre dans un de nos hôtels à Denver. Sara Legrand, vous suivrez votre époux dans chacun de ses déplacements et au moindre écart vous serez également puni. Niel, tu iras travailler avec ton père. Tu devras faire tout ce qu'il te dit et travailler dur dans les entreprises Legrand… »

Les Legrand étaient sous le choc et aucun n'osait dire quoi que se soit. Monsieur Legrand lui était sous le choc des agissements de sa famille. Il avait honte.

« Albert, est-ce vraiment nécessaire de les punir ainsi ? Les bannir de la famille n'est peut-être pas nécessaire… C'est un peu trop dur tu ne trouve pas ? » Cette intervention de Candy les choqua tous. Elroy se senti encore plus mal d'avoir participé aux souffrances d'une jeune femme qui pardonne aussi facilement.

« Vous voyez ! Elle vaut bien plus que vous ! Je n'arrive pas à croire que je n'ai rien vu ! Vous m'avez manipulé pendant tout ce temps ! Avec tes mensonges Elisa tu m'as empêché de voir qu'elle merveilleuse jeune fille elle est. C'est mes neveux adoré que j'aurai dû écouter et pas vous ! » S'écria la grande tante sous le regard choqué d'Elisa qui pensait encore l'avoir de son côté.

« Bien dans ce cas, puisque Candy demande a ce que vous ayez une punition moins sévère, vous serez privé du nom et de la fortune des André jusqu'à vos 23 ans seulement. A ce moment là, Candy décidera de vous pardonner ou non. Vous aurez le droit de vous présenter aux manifestations de la famille André après avoir fait des excuses sincère à Candy. Je devrais être présent pour juger de la sincérité de vos excuses. Vous pouvez disposer. Monsieur Legrand, vous recevrez une invitation pour ma soirée d'intronisation qui devrait avoir lieu le mois prochain. Vous pouvez sortir et ne vous éternisez pas chez moi, vous n'y êtes plus les bienvenus dorénavant ! »

Elisa était outrée d'être 'sauvé' par Candy après tout ce qu'elle avait fait. Elle savait que maintenant, Candy était dorénavant aux yeux de tous plus grande qu'elle. Elle venait de perdre la place de jeune fille préférée de la famille André. Les Legrand sortirent la tête basse et Candy ne pu s'empêcher de se sentir mal pour eux. Puis elle se dit que la punition avait été juste. Elle se sentait épuisée de se battre pour son bonheur et celui des autres. C'était trop fatiguant et elle n'en pouvait plus. C'était une des raisons pour lesquelles elle souhaitait rester près d'Albert. Elle savait qu'il la protégerait et qu'elle serait plus forte près de lui.

« Tu te sens bien Candy ? » Lui demanda Albert.

« Oui, je vais bien. Je me sens juste un peu fatiguée, c'est tout. Etre en présence des Legrand j'ai toujours l'impression d'utiliser plus d'énergie qu'en temps normal. »

« Et bien c'est finis maintenant ! La vérité est établie et ils ne viendront plus t'embêter. » Ces paroles avaient été prononcée gentiment par la tante Elroy et Candy s'en senti touchée. Elle savait que la tante devait se sentir blessée d'avoir été utilisée et manipuler aussi facilement, elle savait aussi qu'elle viendrait s'excuser quand elle serait prête et qu'elle essayait de se racheter en ce moment.

« Bien, pourquoi n'irais-tu pas dans la roseraie te reposer un peu avant le déjeuné. Ensuite peut-être pourrais-tu aller en ville acheter des cadeaux pour les enfants de la maison Pony. Je sais que tu en meures d'envie. Tu as les moyens maintenant. Tu pourrais leur acheter des vêtements et de jouets… » Lui proposa Albert

« Excellente idée William, et si tu me le permets Candy, j'aimerai t'accompagner. » Lui proposa Elroy.

« Ce sera avec plaisir ma tante. » Candy était heureuse de sentir le rapprochement qui avait lieu avec la vieille dame.


A New York, Terry était sur scène, il travaillait le rôle d'Hamlet. Il y mettait tout son cœur et ne jouait que pour Candy qu'il imaginait dans la salle. Il travaillait dur et longtemps chaque jour, puis il allait passer une heure en compagnie de Susanna qu'il écoutait parler mais où il ne disait jamais rien. Il n'était pas heureux avec elle et il voulait qu'elle sache que si elle le voulait à ses côté pour toujours, il n'oublierait jamais Candy et ne serait jamais heureux sans elle. Susanna le savait et en souffrait, mais elle était persuadé que Terry finirai par l'aimer, elle avait toujours obtenu ce qu'elle voulait, et ce qu'elle voulait à ce moment s'était que Terry l'épouse et lui fasse un enfant. Cependant, le jeune homme ne faisait aucun signe qui lui permettait de penser que c'était pour bientôt. Il payait ses frais médicaux, l'emmenait avec lui aux soirées, mais restait froid et distant avec elle. Karen Claise avait bien comprit ce qu'il se passait et avait raconté toutes l'histoire à Robert Hathaway et aux autres acteurs à un moment où ceux-ci blâmait Terry pour son comportement. Dés lors, tous soutenaient le jeune homme comme ils le pouvaient. Il y en avait toujours un qui restait travailler tard avec lui, toujours quelqu'un qui surveillait une hypothétique lettre de Chicago. Robert surveillait les journaux, espérant avoir des nouvelles de la jeune Candy André. Tous cherchaient une façon de sortir de jeune homme de sa situation peu confortable, où au moins de la lui rendre plus aisée.

Karen pris sur elle d'envoyer à Susanna une lettre anonyme qui disait :

« On doit se contenter de ce qu'on a. Si on chercher à obtenir ce que l'on veut alors que ça ne nous appartiens pas, ça finira par nous retomber dessus. Tu n'es qu'une enfant gâtée sans cœur. »

La jeune estropiée ignora ce que disait la lettre. Karen décida alors de parler à un journaliste. Elle leur raconta ce qu'elle savait de l'histoire de Terry et de Candy, de leur amour, et du comportement de Susanna. Elle dit au journaliste que Candy vivait à Chicago et qu'elle souhaiterait l'aider. Le journaliste accepta de publier l'histoire. Il connaissait en fait Mademoiselle Pony et lui avait demandé des précisions. La veille femme de cœur le fit en espérant aider ainsi sa douce Candy.

Une semaine plus tard, l'article paru dans le journal à sensation. Il racontait la vit pas facile de la douce et généreuse héritière des André, des mauvais coups du destin qui s'accumulaient sur elle, de l'égoïsme de la jeune femme gâtée Susana Marlowe. L'actrice y était dépeinte sous un jour très noir et manipulateur. Terry avait le rôle du prisonnier triste qui se noyait sous le travail pour éviter de souffrir de l'absence de la femme qu'il aimait. Candy était présentait telle qu'elle était vraiment. Une jeune femme généreuse qui travaillait dure et se battait pour le bonheur de ceux qu'elle aimait tout en sacrifiant son propre bonheur en chemin. Karen avait précisée au journaliste que Terry comptait épouser Candy quand il l'avait fait venir à New York. Susana était alors la briseuse de ménage sans cœur.


Devant l'article, tous avaient différentes réactions :

Eleanor Baker souriait, se préparant à écrire une lettre à Monsieur William André pour lui proposer son aider dans la bataille pour le bonheur de Candy.

Susanna avait piquée une crise de nerfs et avait cassé tout ce qui se trouvait à sa portée. Sa mère, bien qu'en colère contre cet article, se mis à réfléchir au fait que si sa fille était comme ça, s'était sûrement parce qu'elle l'avait toujours trop gâté quand elle était petite. Puis elle balaya cette pensée d'un revers de la main.

Terry était au théâtre avec ses compagnons. Il sourit discrètement et fit comme s'il n'avait rien lu. Ses compagnons sourirent et firent, comme lui, comme si de rien n'était. Comme si certains de leurs noms n'étaient pas cités en témoignage. Comme si ils n'en étaient pas les instigateurs.

Elisa était en route pour Denver et fut très en colère de voir que Candy s'en sortait encore une fois comme la gentille petite princesse. Daniel se dit que ce n'était que justice et qu'elle méritait qu'on remette les choses à leurs places.

Albert était dans son bureau avec George et tout deux étaient heureux que les choses se débloquent un peu.

Annie était au parc avec Archibald et ils espéraient tout les deux que s'était le début d'un nouveau bonheur pour leur amie. De Floride, Patty et sa Grand-mère pensaient comme eux.

Le journaliste avait envoyé un exemplaire à la maison Pony et elles espéraient aussi que cet article aide à débloquer les choses en faveur de Candy et Terry.

La grande Tante Elroy le lit dans son salon de thé et en appris ainsi encore plus sur la bonté et le dévouement de la jeune protégée du grand oncle William.

Candy trouva l'exemplaire que sa tante avait « oublié » sur la table du salon de thé et le laissa tomber après la lecture, se disant que ça ne changerai sûrement rien et qu'elle n'avait pas la force d'espérer pour souffrir ensuite à nouveau d'un cœur brisé.

Dans les jours à venir, cet article allait être repris et approfondit par d'autres journaux. L'histoire n'était pas prête de tomber dans l'oublie.


Alors, vous en pensez quoi?

Une petite reviews pour que je sache quoi changer pour la suite? Une suggestion? une envie? Un commentaire?

Merci

Lorelei Candice Black