Salut !
Ceci est ma première fanfic, soyez indulgent car elle est bourrait de faute, car écrit sur un portable entre 21 heures et 23, la vis de lycéens c'est pas facile,sur ce on se retrouve en bas et bonne lecture
Je me suis réveillé ce matin avec cette foutue alarme téléphone. Je commence à vraiment détester System of a Down, ça me réveille chaque jour ou je doit allait en cours. Et ce depuis trois ans maintenant. Malheureusement je n'ai ni le temps de m'apitoyer sur mon sort,ou de traîner au lit. J'attrape un tee-shirt des red hot, un jean noir ample, une veste de la même couleur,et pour finir une paire de vans noir pourrie et trouée. J'avale un bol de céréales avec des tartines, et je part de la maison. Il fait encore nuit a sept heure du mat'.Une fois a l'arrêt de bus, Comme d'habitude j'ai cinq minute d'avances et je regarde l'aube arriver. Bien sur arrive l'éternelle "dis au bus de m'attendre" de Lea. trois minutes plus tard nous prenons le bus en direction du lycée des arène a Toulouse. Les quelques minute du trajés sont meublés par un débats animés sur l'importance géopolitique et l'utilité mondialement reconnue des cours de sports. Une fois arriver au lycée, je fonce retrouver Nico pour connaître ma salle et en profite pour l'affubler de nombreux nom d'oiseaux, quand j'apprends qu'il a pas progresser avec Mathilde. C'est une fille super sympa et il c'est pas ce qu'il va rater cet idiot. Après un contrôle de français de deux heures, un devoir de maison de math fait a l'arrache, et trente minute de sermon en histoire, je m'échappe enfin du bagne. Passé la grille, respiré l'air pur...ment et simplement pollué par les fumeurs...
Être au lycée c'est pas une vie.
je retrouve Mathilde a la sortie et nous prenons le bus pour aller au centre commerciale. il est deux heures de l'après midi et on en profite pour se restaurer. Oh rien de bien extravagant, juste un sandwich et un coca. Et nous flânons telle des feuilles au vent entre les rayons et les boutiques, aussi excités que des moustiques devant la banque du sang. On discute et je lui parle de l'horrible dm qu'on a fait avec Nico elle m'arrête et me dit que c'est son genre de mec, je jubile intérieurement. Depuis le temps que j'essaie de le caser, Ce lâche n'as plus d'excuse pour ne pas tenter sa chance. A dix-sept heures et des brouette, un appelle fortuit brise mes élans poétiques et mes pensées conspiratrice. mon grand frère. Je lache Mathilde sur place en lui disant que je suis a la bourre. je passe par toute les lettre du parking pour retrouver sa voiture, une 205 plus vieille que le big-bang lui même. Il pousse une gueulante comme quoi ont va être encore en retard a notre cour de Ju-jitsu, et il avait raison. M'sieur Gaillard aime bien "taquiner" les retardataire. Cents pompe par minute de retard. On en a fait cinquante-cinq. Après quelques combats et une nouvelle technique, on mets les voiles, cap: chez nous !
Dans la voiture on parle, on discute de tout de rien. Surtout de l'échec de Nico, malgré mon plan (infaillible) pour que Mathilde se jette dans ses bras. Et c'est vingt heure, le temps du rituel est venue. Avant que nos parents divorce,notre père en nous ramenant du sport, nous mettait toujours son vieux cd d'Enio Morricon et nous parler des western spaghetti de l'age d'or d' Hollywood. Depuis ont perpétue la tradition et on s'autorise même un duel du regard. Fatale erreur. Cinq seconde. Elles était de trop. On c'est littéralement empalé dans le semi-remorque. L'avant de la voiture a été compressé et écrasé, tout comme ma jambe gauche. Il devait transporté des truc pointus car quelque chose traverse mon épaule. J'hurle, la douleur est insoutenable. Je tourne mon regard vers mon frère, ces yeux sont mis-clos. Il a l'air en paix, sont visage n'est pas tordue par la douleur comme le mien. Sa poitrine n'esquisse plus aucun mouvement. L'éclat qui est fichait dans sa gorge et petit, mais mortelle. J'implore de l'aide, je refuse d'y croire, mon ami, mon confident, mon mentor, mon modèle, mon sauveur,mon support, mon frère, il n'est plus de ce monde, mon monde. Une, puis deux, puis trois, puis un flots de larmes. Mais pour moi aussi c'est bientôt la fin, je baigne dans mon sang,celui de mon frère et mes sanglots. je sens la vie me quitter je pense une dernière fois a Nico et lui souhaite bonne chance en essayent mon dernier plan, le plan "z".
Mais mon cœur bats encore, je suis face a une porte et je baigne dans la lumière. Je ne crois pas en un quelconque dieux, mais je pense que je ne vais pas tarder a rencontrer mon créateur.
La porte s'ouvre et une voix résonne:
" -Sais tu ou tu est ?
- Au porte de la mort ? sans mauvais jeux de mot.
- Tu est étrange jeune mortel, reprend la voix, beaucoup des tiens serait en train de paniquer. Pour tout te dire tu a raison. Mais sache que tu ne vas pas mourir. Si tu est ici c'est pour servir de "carburant" pour une expérience vouée a l'échec. Une personne vas tenté de se prendre pour dieu, et la quantité d'énergie requise est énorme, c'est pour sa que tu te trouve ici. seule un corps jeune comme le tien renferme assez d'énergie, mais tu est la première personne encore consciente a qui sa arrive. c'est pour cela que je vais te faire une fleur. je te propose en l'échange d'un faible tribut la vie sauve. mais tu sera envoyer dans un nouveau monde dont tu ne connais rien. C' est pour cela que je te propose de connaître La vérité si tu accepte mon offre.
-j'accepte, lui repondi-je. de toute façon je dois être en train de délirer.
- Crois ce qui t'arrange. Maintenant je réclame mon paiement, ta jambe gauche.
- Attend tu mas dis que se serait pas chère payer le dit-je
- En effet, beaucoup ont perdu plus et même les médecins de ton monde n'aurait rien put y faire."
Je m'aprette a lui envoyer une réplique cinglante mais m'a jambe gauche se disloque, et c'est le trou noir.
-changement de point de vue-
Cette accident de voiture fit une victime et un disparue. la voiture était a moitié détruite. Les parents anéanties. Et un inspecteur chevronner, ne put s'empêcher d'ouvrir une enquête sur cette accident afin de retrouver la personne porté disparue.
Mais pour le moment, autre monde, autre époque, autre lieu, autre personnes.
Un chien avec une patte robotisé, une jeune femme blonde le surveille. Une jolie maison de campagne comme arrière plan. Puis l'odeur du sang. Un hurlement qui vous glace le sang, pratiquement inhumain. Et un éclat de lumière surpuissant. Une jeune femme au cheveux de feux, au vêtement imbibé de sang et déchiré. Sont épaule et dans un états lamentable tout comme son corps et la seule jambe qui lui reste, l'autre étant coupé nette. La blonde qui tente de sauver cette jeune femme au bord de la mort se remémore un cas similaire. Le cas des frères Elric.
Et voila c'est fini pour cette semaine, car oui j'essaierais de poster toute les semaine, laisser un petit commentaire qu'il soit positif si possible ^^. Sur ce bonne matinée/journée/nuit
PS: Si quelqu'un est chaud pour est correcteur je l'accellerais a bras ouvert
