Auteur : Imaza Jones
Rating : T (Pour l'instant)
Disclaimer: Tout est a moi,yes, enfin!Kubo a mouru, Kubo a mouru-u!*Hum hum, Ima?* Wiiii!*Tu as mal lu le journal, c'est quelqu'un d'autre qui est mort,pas Tite Kubo*Comment sa Kubo-sama n'as pas disparu dans un accident de voiture?Mais,mais,mais... Bon bah, pour l'instant, tout est a lui alors. Sauf Izumi et Azami, elles sont a moi, A MOI!
Note : Et bien, c'est parti, ma première fic. *Verse une larmichette*En espérant que vous aimerez. Et puis si c'est pas le cas, pourquoi est-ce que vous êtes encore ici?
Chapitre 1 :
Mon retour du travail fut un vrai calvaire. J'ai beau être une shinigamie, se trimbaler un sac d'environ dix kilos sur deux kilomètres, ce n'est pas rien. Et mes talons de dix centimètres n'arrangeaient pas mon cas. A environ un kilomètre de chez moi, je ressentis une pression spirituel étrange dans ma maison. Le propriétaire de celle-ci a beau l'avoir dissimulé au maximum, je peux toujours la sentir d'ici. Je continu d'avancer, les oreillettes coller a la glue extra forte dans mes oreilles, ma veste de tailleur et ma jupe crayon complètement trempé a cause des batailles de bombes a eau qui proliférait en cette fin de journée caniculaire. Je souris et pressa le pas. J'arrivai enfin devant chez moi et ouvrit la porte, la referma et posa mon sac au sol. Je quittai mes oreillettes et posait mon portable sur la table à manger. J'observai et me concentrai. Le shinigami était caché à l'étage, dans le débarras. Tant mieux, il n'as pas d'issue de sortie, les murs sont en pierre de Seki. Il ne l'avait donc pas dissimulé. Je commençai à monter quand j'entendis la sonnerie de mon portable. Mince ! Je le pris et répondis.
- « Allô ? »
- « Bonjour la peste ! »
- « Salut Izumi, comment tu vas ? »
- « Bof, on va dire bien et toi ? Tu as reçu des nouvelles du collège de ta fille ? »
- « Non, apparemment elle est calme, pour le moment, c'te pile sur patte. »
- « Bon tant mieux alors et puis de toute façon on la changera plus maintenant. Sinon, toi et Yoichi, son ce passe comment ? »
Je me mis à rougir furieusement suite a cette question, et me sentant pris au piège, je détournai la conversation. Yoichi est mon fiancé, cela fait cinq ans que nous sommes ensemble, et un que nous sommes fiancés. Je l'aime profondément, mais j'ai peur qu'une fois qu'il saura la vérité, il me quittera, comme nombreux avant lui.
- « Je pari que tu ne peux pas être la dans les dix secondes, si tu réussis je t'offre une glace. »
- « A tout ! »
- « Dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux, un... »
Dring ! Je raccrochai et alla ouvrir. Une jeune femme aux cheveux auburn tirant sur le roux, les yeux d'un vert opalin transperçant, à la silhouette fine et petite me faisait face, un sourire de mille voltes éclairant son visage fin.
- « Waouh, tu es allé vite pour une fois. » Lui dis-je en ouvrant la porte. « Et quitte tes chaussures, tu vas encore tout dégueulasser. Non mais je vous jure, j'ai l'impression de chaperonner une gamine. Même à deux ans Aya étais plus calme. »
- « Je ne vous permets pas Taicho. Répliqua-t-elle. »
Je lui tirai la langue et la fit entrer. Je préparai un café que nous bûmes dehors sur la terrasse. Je pris aussi un cône aux fruits rouges, qu'elle mangea vite fait pendant que nous parlions.
- « Tu ne m'as pas répondu, comment sa vas entre vous deux ? »
Je rougis de nouveau et balbutia un semblant de réponse. »
- « Bah…bien…normal quoi… Et toi, avec Yves ? »
- « L'anglais ? Je ne sais toujours pas si il m'aime, on est comme chien et chat tous les deux. On ne peut pas rester ensemble sans se chamailler, mais je ne peux pas rester trop longtemps loin de lui, il hante mes pensées. En tout cas, je sais que moi, je suis amoureuse, voir même éperdument amoureuse. »
- « Ai, pas terrible. Bonjour les ennuis et adieu le calme. »
- « Effectivement. »
- « Tu a des invité ? »
- « Tu as ressentis les pressions spirituelles ? »
- « Ouais elle sont étranges, mais bon. Moi je dis qu'ils sont troisième siège et toi ? »
- « Je pense plutôt que un est quatrième ou cinquième siège,une puissance comme celle-ci, même dissimulé ou réduite par la pierre de Seki n'est pas celle d'un troisième siège. Bien trop l'autre est du niveau d'un vice-capitaine. »
- Mouai. On va voir ?
- Je vais prendre Jinsei no hana et j'arrive. Tu devrais aller chercher ton zanpakuto toi aussi.
- Bonne idée, je reviens ! Me répondis-t-elle en partant en shunpo.
Je me levai et parti dans la cuisine. Un détaille me turlupinait. Comment le shinigami avait il bien pus passer, la pierre de Seki avait du l'en empêcher, c'est habituellement, pour tout être normalement former, impossible. Je tapais le code du coffre fort dissimulé dans le sol, l'ouvrit et pris mes deux stylets. Au moment même ou mes mains entrèrent en contacte avec mes zanpakuto, une sorte d'énergie me traversa. Et mon zanpakuto me bassina tellement que je fus prise d'une envie irrémédiable de le remettre a sa place et de ne plus y toucher pendant les trois siècles à venir, juste pour m'amuser.
Tu m'as manqué Imaza. Sale garce, comment peut tu m'avoir ignoré pendant tout ce temps !Chut !Hypocrite, tu m'avais dit que tu ne me laisserais pas seul ! Je me suis ennuyé comme pas possible !100 ans à attendre, à dormir, à rien faire !Hana, laisse la tranquille.Bon, tu m'explique un tel retournement de situation ? Ce pas normal que tu viennes comme sa, sur un coup de tête.Boucle-la !C'est bon hein, je voulais seulement savoir ce qu'elle voulait.
Un shinigami, en haut, tu va pouvoir bouger un peu. Et arrête de parler autant !
Un shinigami, cela faisait fort longtemps !Je vais pouvoir changer de forme ! Et je t'emmerde, l'hy-po-cry-te !Désespérante, mais je dois avouer que moi aussi je suis heureuse de enfin pouvoir sortir un peu de ce cachot.
- « C'est parti ! »
Je me dirigeais vers l'étage quand je sentis une différence dans le reiatsu. Un deuxième shinigami, beaucoup plus puissant, sûrement vice capitaine, était arrivé. Mince, et je ne peux rien faire sans l'aide de Izumi. Ils bougent. J'ai l'impression qu'ils vont descendre. Je continue donc à monter a l'étage. Ils me passent devant, en pensant que je ne les vois pas. Ils ont une conversation très animé, qui porte sur ma puissance. Je décide donc d'activer mon zanpakuto, pour qu'il passe sous sa forme scellée .Je me mis à parler très lentement et a voix basse :
- « Que tes pétale éclosent et coulent, Jinsei No Hana ! »
Mes armes fusionnèrent alors en un long sabre blanc immaculée.
- « Mais vous êtes qui vous ? » Hurla un des deux shinigami. Brun, les cheveux courts et ébouriffée, il a plusieurs tatouages sur le visage. Vu son insigne, il est vice capitaine de la neuvième division. L'autre, est un shinigami chauve, avec une trace rouge sous chaque œil, ce qui le fait vaguement ressembler à un rat.
- « La personne qui va vous mettre une raclé, » répondis-je en souriant. Je sentis alors le reiatsu d'Izumi. « Bien, nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses , je prends le chauve, sa va me dérouiller. Je te laisse le vice capitaine, il est de ton niveau, alors amuse toi bien. »
- « Compter sur moi Taisho. » Hurla-t-elle du jardin, tout en reculant.
S'en suivit alors une bataille assez surprenante. Je dus parer plusieurs fois des attaques de l'ennemi avant de pouvoir passer à l'offensive. L'ennemi en question me glissa un petit « je ne suis pas chauve » lors d'une de ses attaques, ce qui me fit rire. Je décidais donc, vu l'ampleur que prenait la bataille d'aller dehors. L'utilisation de l'Utsusemi me permit de gagner du temps et de pouvoir activer mon shikai. Une fois que boule de billard eu senti le changement de position de ma pression spirituel, il s'empressa de venir me rejoindre et libéra son bankai. Waw ! Son bankai est vraiment magnifique et très impressionnant. Mais il ne vaut pas le mien. Une bataille monstre débuta et défigura totalement mon jardin. Plus aucune feuilles sur les arbres, les jeux pour enfants détruits et l'herbe,….euh de quelle herbe vous parlez ? Je vis, du coin de l'œil, que le vice capitaine perdait de sa puissance à chaque minute. Je décidais donc, de peur de causer encore plus de dégâts, d'arrêter net aux combats en cour.
- « 61e technique d'immobilisation : Prison des 6 pointes de lumière ! » Une jolie étoile jaune a six branches entoura crane d'œuf, ce qui l'empêcha de bouger. Il parla, ce qui désintégra son bankai, a ma plus grande surprise. Izumi utilisa la même technique et nous décidément, d'un commun accord, du mètre dans le salon.
- « Pourquoi êtes-vous dans le monde humain ? » Aucune réponse, ce qui a le don de m'énerver prodigieusement. Bien, il voulait se la jouer comme cela hein ? On va rigoler. « Izumi, réactiver votre shikai s'il vous plait, nous allons nous amuser un peut . » J'entendis un lointain « Illumine la mort, denkyū ga tentō ! Il à bien voulu changer de formule tout compte fait ? »lui lançai-je ironique.
- « Moque toi Taisho, mais un jour, tu en auras mare de ta phrase magique et a ce moment la, c'est moi qui rigolerait ! » riposta t'elle en me tirant la langue. Son zanpakuto était devenue une faux noir immense, avec une lame noire gravé de multiples cranes à l'extrémité du tube de rhodium.
- « En fait », nous coupas le shinigami brun, « il devait vous espionner pour »
- « Tait toi idiot ! » le coupa l'autre shinigami, en le traitant de tout les noms possible et inimaginable.
- « Izumi. »
- « Hai Taicho ! »
Elle lance donc une attaque bien sentie sur l'autre boule de bowling pendant que j'amenais le clown dans ma chambre. Je le fis s'assoir dans un fauteuil et brisa le Bakudō. Il me regarda avec surprise. Je répondis à sa question muette que je n'étais pas un monstre. Il continua à m'observer en silence, pendant que je cherchais un mod soul. Quand enfin je mis la main dessus, une bonne heure plus tard, je remarquai qu'il s'était en dormis. Je le soulevai, le posa sur mon lit et l'installa sous les draps. Je descendis et observa Izumi, qui martyrisait le pauvre shinigami. Le misérable était recouvert de bleu, de brulures et d'entailles, son shihakusho était au trois quarts déchiré mais il tenait bon, ne hurlant jamais, bien que laissant passer parfois quelques plaintes. Je décidais d'intervenir quand Izumi se prépara à utiliser son attaque le plus puissante sous cette forme. Elle veut le faire mourir ou quoi ?
- « Stop, tu vas le tuer ! » Le son de ma voix claqua comme un fouet dans l'air. Ils me dévisagèrent tous les deux, puis Izumi rangea son arme dans son fourreau. « Izumi, tu peux rentrer chez toi. Mais avant, brise le Bakudō. »
- « Bien Taisho. » Elle s'exécuta et parti en shunpo, me laissant seul avec le shinigami. J'utilisai un ou deux sort de Kido curatif et l'emmena dans la chambre d'ami. Je lui dis de s'installer et parti lui prendre un pyjama. Au moment ou je revins, il dormait déjà, installer sous la couette. Je descendis et attendis leur réveille. Au bout de trois heures, alors que je préparais un thé, je sentis de l'affolement dans l'un des deux reiatsu, celui du brun. Je montai en shunpo et en ouvrant la porte, je vis qu'il était assis, droit comme un I. En m'apercevant, ses yeux s'ouvrirent comme de soucoupes.
- « Dites moi shinigami, vous joindriez vous a moi, j'allais boire un thé. »
Il me répondit d'un hochement de tête fébrile et s'habilla. Nous descendîmes ensembles et je le fis s'assoir dans le canapé ou, trois heures plus tôt, il était retenus prisonnier. Il continua à me dévisager pendant que je servais le thé et au bout de dix minutes de silence, je lui posai une question sur un détaille qui m'avait interpelé pendant le combat.
- « Votre shikai est fort surprenant cher ami, qu'en penser vous ? Un zanpakuto dont chaque arme ressemble à des faux, c'est plutôt insolite. »
- « Effectivement, il représente tous l'inverse de mes idéaux. »
- « Shinigami… »
- « Shûhei Hisagi madame, j'ai un nom vous savez. »
- « Shûhei, un zanpakuto n'est qu'une partie du caractère du shinigami. Regardez les miens. L'un est caractériel, il a un humour complètement pourrit et est un véritable rabat joie. Non mais j'te permet pas conasse ! Pourtant, je ne pense pas l'être moi. L'autre est doux calme, paisible et extrêmement bien élevée et polie. Merci Imaza, cela me va droit au cœur. Pourtant je ne le suis pas non plus excessivement. Pourtant, si on fait un mélange des deux, on arrive à un résultat qui est finalement assez proche de mon caractère personnel. »
- « Vous n'avez pas tord. »
- « Maintenant, entrons dans le vif du sujet,voulez vous. Quel étais votre mission ici ? »
- « Nous devions vous espionnez, depuis quelques temps, une importante quantité de Hollow est détecté dans le coin, et apparemment, c'est votre reiatsu qui les attires. »
- « Je savais bien que quelques choses comme cela devaient se produire un jour. »
- « Comment cela ? »
- « Disons que le vieux déteste regarder les problèmes en face. »
- « Dites madame, quel est votre nom ? »
- « Je ne me suis pas présenter ? »
- « Non, avoua-t-il piteusement. »
- « Toutes mes excuses alors, je suis Azami ou Imaza Abarai. »
- « Abarai ? Comme Renji Abarai ? »
- « Comment connaissez-vous Onii-san ? » Sa question m'intrigua grandement, je n'avais plus jamais revu Renji depuis mon départ de la Soul Society. Il me manquait énormément, voir même plus. Son rôle de grand frère est de protéger sa petite sœur et il n'a pas bougé le petit doigt. Je lui en voulais tout autant. C'était a mes yeux un traitre et mais aussi mon frère et je ne savais entre le quel des deux sentiments par les quels j'étais tirailler choisir.
- « Onii-san ? Renji n'a pourtant pas de petite sœur. »
- « Oh, il ne vous a pas parlé de moi ? Traitre ! En fait, aucun lien du sang ne nous relie, mais nous avons grandi ensemble au Rukongai, puis a l'école des shinigamis. Nous étions dans la même classe. Puis il est parti. Lorsque je suis arrivée dans la onzième, il ne m'a pas reconnue tout de suite. Mais notre complicité est revenu au fur et a mesure. »
- « C'est pas vrai, l'imitation d'ananas mal faite a une sœur, j'y aurais jamais pensé. » Me coupa boule de billard.
- « Non mais ho, le vieux la haut, il vous apprend pas la politesse ? On se fait remarquer discrètement quand on entre dans une pièce, pas en hurlant des absurdités ! »
- « Ho c'est bon hein, tu vas pas non plus nous faire une crise pour sa ? »
- « Pourquoi pas, et qui vous a autorisé à me tutoyer ? »
- « Heuuuuu…..Moi ?
- « Il m'énerve, il m'énerve ! » fit-je en lui décollant un bonne droite, histoire de lui rappeler ma force .Je lui montra le canapé en lui disant de s'assoir et lui proposait un thé. Il me regarda avec des yeux en soucoupes, tout en approuvant. Je partis dans la cuisine, le temps qu'ils échangent leurs informations. Cette seul pensée me frit sourire. Je mis la bouilloire en marche, alors que j'entends quelques bribes de leur conversation. Leur puissance… inimaginable… bizarre… impression… connaitre…venir… rukongai… sœur… Renji… impossible. Je versai le thé et l'apporta a ses messieurs. Ils s'arrêtèrent nette en me voyant arriver. Je souris doucement, et posa les tasses sur la table. Ils me dévisagèrent quelques secondes, puis me sourirent en retour. Enfin un sourire, plutôt une grimace. Le brun me posa alors une question qui me fit sourire.
- « Qui était la femme de tout a l'heure, vous avez dit qu'elle était vice-capitaine, pourtant, elle ne portait ni la tenu des shinigamis, ni l'insigne des vices capitaines. Et elle a quand même réussi à passer en mode shikai. »
- « Je peux dire, en toute modestie, qu'Izumi et moi sommes de puissante shinigamis. Même en portant notre gigai, nous pouvons utiliser notre zanpakuto. »
- « Votre zanpakuto a une forme bizarre, était-ce sa forme scellé ? »
- « En fait, mon zanpakuto a trois stades de libération. La forme que vous avez vu tout a l'heure est sa forme dans le monde humain. J'y suis depuis tellement longtemps qu'il a du s'y habituer. Puis il a une forme sceller, avec la quelle je me suis battu au début contre vous tout a l'heure. Ensuit, j'ai un shikai, puis un bankai. »
- « Mais, habituellement, il faut être capitaine pour avoir un bankai non ? »
- « Excuser moi Shûhei, stopper moi si je me trompe, mais votre ami a un bankai, mais n'est pas capitaine, enfin d'après moi. D'ailleurs, monsieur, quel est votre nom ? Demandai-je à boule de billard en me tournant vers lui. »
- « Ikkaku Madarame madame, troisième siège de la onzième division. »
- « Onzième division, sa fait remonter des souvenirs et expliques quelques petites choses. J'ai moi-même été a la onzième division. Puis à la quatrième et enfin à la dixième. Heu attendez. Troisième siège ? Pourtant, votre reiatsu est trop faible, même sceller. » M'étonnai-je.
- « Le votre ne dépasse pas celui d'un enfant noble madame, c'est tout aussi étrange. » Me répondis le brun.
- « Touché. Et arrêter de m'appeler madame ! » Hurlai-je en me levant. Je partis en shunpo, laissant derrière moi les deux shinigamis ahuris. Je m'installai sous un arbre, dans un parc situé a plusieurs kilomètres de chez moi, tout en dissimulant mon reiatsu au maximum. Je restai assise comme cela, à contempler le lac en face de moi. Pourquoi j'ai réagis comme cela ? Peut être a cause du fait que je soit promise a un shinigami noble que je n'ai pas vu depuis cent ans et que a coté, je suis fiancée a une personne que j'aime, mais qui ne me comprendra jamais. Madame oui, mais madame quoi ? Kuchiki ou Fukuda ? Je vais porter quel nom de famille ?
Un shinigami et un humain. La mort et la vie. L'amour froid, sec et distant. L'amour brulant, rare et vivant. Le quel choisir ? Ai-je assez changé pour que, si je retourne à la Soul Society, je puisse revivre une vie nouvelle ? Cette nouvelle vie, aurait elle le même gout, les mêmes couleurs que celle-ci ? Un reiatsu très puissant, me stoppa dans mes pensées amoureuses. S'il ne diminuait pas tout de suite sa pression spirituelle, il allait finir par tuer un humain, et sa, même si c'était fait inconsciemment. J'utilisais l'utsusemi et arriva devant le shinigami responsable du carnage environnant. Des dizaines d'humains évanouis ou pas loin, plusieurs Hollow en train de se faire décapitée et un paysage complètement saccagé. Des Adjuchas et des Vasto Lordes, il est complètement fou ! Un capitaine aux longs cheveux blancs et au zanpakuto double. Ukitake ! Mais qu'es qu'il faisait dans le monde humain et en train de se battre ? Une quinte de toux le pris, je me résolus donc à intervenir de mauvaise grâce. Je me précipitai et activait mon zanpakuto.
- « Que tes pétales éclosent et coulent Jinsei no hana ! »
Fait, fini, enfin!
Bon, une ch'tite review pour fêter sa?
Siouplaiiiii!