Introduction: Les larmes d'un ange.
Elle frémissait légèrement au contact du vent, étrange phénomène dans un désert. Marchant d'un pas tremblotant, sa robe blanche déchirée sur les bords et dont sa couleur s'était détint à cause des minuscules grains de sables qui dansaient sur sa robe. Elle renifla avec dédain, puis continua à marcher sans se soucier de ses beaux cheveux bruns, assez clairs d'ailleurs, qui volaient parmi les grains de sables. Elle leva la tête pour contemplait la pleine lune qui brillait dans un ciel sans étoile, puis regarda « l'autre » lune : la Lune des Illusions. On l'a dit maudite, mais la jeune fille n'y croyait pas, plus. Toutes ses personnes qui, chaque jour, mentent pour faire affirmer des choses qui sont fausses, les leurs ! C'est en regardant la tête de la fille regardée le ciel qu'on comprit qu'elle n'était pas heureuse. Elle pleurait. Pas des petites larmes, mais vraiment des larmes qui coulaient abondamment sur son visage, telle une fontaine. Elle se mordillait la lèvre inférieure pour éviter de crier même si elle savait qu'elle était seule, dans ce désert. Elle pleurait pour des souvenirs qui dataient de quelques heures seulement. Des souvenirs douloureux, surement. Elle serrait dans ses mains une clé, une clé argentée dont la partie trouée a été comblé par un ruban noir. Cette clé, elle, était attachée au cou de la jeune fille. En même temps, elle sentait les battements de son cœur, battements qui varie toutes les huit secondes. Forte, douce, forte, etc. Tout en continuant de marcher, fait étonnant : elle ne semblait pas fatiguer ; puis elle vit au loin dans la pénombre, une petite ville qui semblait être à environ 1 km devant elle. C'est seulement là qu'elle finit par craquer, elle se laissa tomber sur le sable, à genou, puis se mit à crier tout en continuant de pleurer rageusement et murmurant des propos étranges.
« J'en ai marre… Pourquoi cette vie ? Pourquoi moi ? Je n'en peux plus… Je veux être quelqu'un de normal… NORMAL ! » Murmura la fille, mais qui fini par être dit d'un ton rageur et désespéré à la fin.
Tandis qu'elle se laissa tomber dans le sable, elle sentit une présence, deux personnes précisément. Etrangement, la deuxième n'avait rien d'humaine, mais qu'importe ! Elle finit par lever la tête pour voir les deux personnes qui lui faisaient de l'ombre. La première personne, celle qui ne semblait pas humaine, avait un corps vaporeux, tel un voile léger, qui observait la fille avait considération. La deuxième personne était tout ce qu'il y a d'humaine : c'était un homme qui semblait être extrêmement musclé, son visage couvert de cicatrice, il avait un visage dur mais il semblait avoir du cœur. Il portait une sorte de voile qui protéger son corps du sable, sa large capuche rabaissée, il regarda la fillette qui avait crié puis consulta l'autre individu qui n'était autre qu'un esprit du désert que l'homme avait convoqué pour l'aider dans une « certaine » affaire. Un voile aux yeux, la fille leur demanda d'une toute petite voix, d'une façon involontaire :
« Qui… Qui êtes-vous ? »
Le corps vaporeux ondula doucement en voulant se rapprocher d'elle puis, d'une voix de robot, il commença à parler.
« Je sais ce que tu souhaites, je peux même exaucer ce souhait. »
La fille reste silencieuse. Elle n'avait pas besoin de poser d'autres questions, elle savait. Elle se mit à genoux face à l'individu à la voix de robot, puis ferma ses beaux yeux vert émeraude. Elle ne vit pas la petite bille de lumière qui était sur l'index de l'esprit et sans un mot, elle se laissa là. Il posa son doigt sur son front, puis se fût le vide. Le vide total. Quelques minutes passèrent avant que la fille soit complètement entière. Elle était portée par l'homme guerrier, pas suivit par l'esprit qui semblait avoir disparu. Il finit par dire, en sachant qu'elle était encore consciente, même si elle était affaiblie. Fait étrange.
« Je m'appelle Vargas. Je suis le Général en Chef des Armées de Fanelia. »
Elle regarda bêtement Vargas, puis elle sourit, contente de savoir son prénom sans vraiment vouloir savoir comment il l'avait connu. Et puis pourquoi se compliquer la tâche, elle, qui ne connaissait même pas son prénom. Elle soupira. Puis une idée lui vint en tête.
« Vargas… Vous savez comment je m'appelle ? »
Vargas semblait réfléchir puis arrêta un instant, mieux vaut être honnête avec elle.
« Non. » Dit-il d'une voix ferme et forte. Puis en voyant la mine déterrée de la personne qui sera bientôt sa fille adoptive, il ajouta. « Nous pouvons te choisir un prénom. »
La dernière phrase la fit sourire puis acquiesça, elle chercha mais finit par se dire de le laisser choisir. Après quelques minutes de silence, Vargas rompit ce silence.
« Hitomi. »
La fille médita ce prénom, elle avait enfin une identité ! Enfin ! Encore faible, elle finit par sourire afin de dire « oui » puis, elle fit prise d'une irrésistible envie de dormir. C'est seulement à ce moment-là que la pluie tomba. Nous étions dans la saison des pluies, c'était assez normal. Malgré la pluie qu'elle recevait en pleine figure, elle réussit à dormir, son corps entier présentait à la pluie en guise d'offrande, elle baignait dans l'euphorie. Pourtant, Vargas ne sait pas aperçu, et il ne l'apercevra jamais d'ailleurs, qu'elle avait quelque chose sur son dos. Un chiffre inscrit tel un tatouage : le 30.
Explications
Cette histoire se déroule dans le monde de Gaia. La rencontre Van-Hitomi sur la Lune des Illusions n'a jamais eu lieu, en faites, cette histoire n'a rien à voir avec l'anime ou le manga, cependant la guerre avec Zaibacher et toutes les autres nations de Gaia a eu lieu. Cette histoire utilisant une grande parties des personnages et les lieux de l'anime ;
Il y a une six ans de cela, dans un village éloigné de Fleid, une rumeur raconte qu'un homme ayant une quarantaine d'années aurait trouvé une trentaine de petites cartes atlante qui, selon la légende, enfermeraient des sortes d'humains aux pouvoirs tellement puissants que les puissances atlantes décidèrent de les enfermer. Il les avait inlassablement cherché et il avait réussit. Puis les années passèrent, puis une idée lui vint en tête, les présenter aux publics pour gagner de l'argent. Des sortes d'animaux. C'est à ce moment-là qu'une de ses personnes enfermaient réussit à sortir et à paralyser la personne qui les avait dérangé durant leur «sommeil». Il réussit à tous les libérés mais un problème finit par apparaitre. L'homme semblait avoir bien caché l'ultime carte. Ils le fouillèrent puis trouvèrent le numéro 30 qu'il libéra. Tout le monde avait fuit cet endroit. Quelques temps plus tard, ils apprirent qu'une milice avait leur carte et qu'il allait faire en sorte qu'il revienne «dormir» dedans. Cette milice n'a pas tardée à attaquer et à réussit à attraper les plus faibles d'entre-eux. Puis, quelque chose se produit…. Et puis, peut importe! Il fallait fuir et surtout ne pas être en groupe. Sinon, leur vie en temps qu'humain sera fini.
Ses êtres sorties de ses cartes atlantes ressemblent trait pour trait à des humains, cependant, il arrive à se distingué plus ou moins même si ils étaient tous humains avant ça :
- Ils ne vieillissent pas.
- Ils ont un numéro inscrit sur leur dos.
La puissance d'un de ses êtres est déterminée selon le chiffre. Le chiffre le plus petit est faible, le « 1 » est le plus faible d'entre tous. Le chiffre le plus grand est le plus puissant, il n'ya a aucun changement. Ici, le « 30 » est le plus puissant d'entre eux. S'il y a rencontre des personnages dans un chapitre, je vous indiquerai son « calibre ».
