Bonjour a tous,
Ceci est ma première fan fiction même si elle est très courte, soyez indulgents avec moi s'il vous plait!
Si ça ne vous dérange pas, j'aime bien quand on me laisse des petites reviews,ça me booste pour la suite.
Je voudrais remercier CyberCoffee pour avoir corrigé mes fautes et refait certaines de mes phrases, aussi je vous recommande ses fan fiction qui sont très bien écrites, une en particulière qui se nomme Nathanaël Wyllt et qui se base sur Harry Potter.
Sur ce je vous souhaite une bonne lecture!
Chatimatou.
Bonjour Papa
Il marchait lentement sur le sable fin de la plage de Montauk en observant les vagues se déverser sur le sable. Puis, il s'arrêta pour regarder de ses yeux d'un vert profond l'océan s'étendre à perte de vue.
Il adorait l'océan.
Il s'y sentait en sécurité, comme un enfant dans les bras de sa mère. Chaque fois qu'il plongeait dans cette eau sombre mais pourtant si chaleureuse, il ne pouvait que se sentir libre.
Il se souvenait des histoires que lui contait sa mère, il les aimait vraiment beaucoup ses histoires car celles-ci parlaient de son père. Elle lui racontait à chaque fois combien son mari aimait prendre le large ! Mais il voyait toujours son visage se renfermer et la fatigue l'envahir quand elle se souvenait que son cher amour ne reviendrait sans doute jamais car la mer l'avait emporté loin de ses êtres chers.
Le garçon n'avait jamais compris comment une eau si calme pouvait lui prendre un membre de sa famille aussi facilement. Il sortit de ses pensées et se remit à marcher en observant ses pieds s'enfoncer petit a petit dans le sable mouillé quand il releva la tête et aperçut une silhouette au loin qui se rapprochait de lui.
Il s'agissait d'un homme qui devait avoir une cinquantaine d'années. Il portait un chapeau et des habits de pêcheur et devait faire un bon mètre soixante-dix. Plus il se rapprochait et plus le jeune homme put voir les détails de son visage. La dernière chose qu'il remarqua fut ses yeux d'un bleu si turquoise qu'il put presque sentir les embruns des mers des îles.
Au plus profond de son être, il dit qui cet homme était : sa mère l'avait décris tellement de fois !
L'homme était maintenant à dix mètres.
Puis cinq.
Quatre.
Trois.
Deux.
Un.
L'homme aux habits de pêcheur était devant lui et la seule chose qu'il trouva à dire fut:
-Bonjour, Papa.
Il se sentit immédiatement idiot.
-Bonjour, Percy, lui repondit celui-ci d'une voix grave.
