Imperfections combinées.
Tout d'abord, je dois vous avouer que je me sens très seule sur ce site, sachant que les dernières fictions enregisrtées sont les miennes. Hm. Je lance donc un appel a toutes celles qui écrivent pour POSTER sur ce site! Vous POUVEZ LE FAIRE :)
Auteur : Misro
Disclaimer : les personnages ne m'appartiennent pas.
Couples : Olver x Marcus/ Ron x blaise / Harry x Draco et du Hermione x Pansy en fond
Histoire : SUITE DE COMBINAISON IMPARFAITE : Trois ans ont passé depuis leur départ de Poudlard. Les histoires se sont décroisés, les vies ont reprit. Mais voici que le destin d'Oliver , une fois encore, va retrouver celui de Flint, tout a fait par hasard, et d'une façon non désirée. LEs remords, les peines, les amour, tot remonte peu a peu a la surface... YAOI !
ENJOY
Oliver pose son sac à terre, et soupira, appréciant le confort de sa chaise. Il leva les yeux, et son regard se perdit dans la vaste pièce du restaurant. Une décoration simple, chaleureuse, qui mettait à l'aise, des tables bien séparées préservant l'intimité des clients, et une douce musique d'ambiance aux sonorités presque familières.
« Bonjour, vous avez fait votre choix ? »
La serveuse était jolie et jeune, comme une serveuse sait l'être. Elle souriait certainement plus que nécessaire, car le jeune homme en face d'elle était a croquer. Châtain, les cheveux ébouriffés, son corps mince terriblement mis en valeur par un jean noir et un pull serré de la même couleur, il devait approcher des vingt-cinq ans. Peut être moins. En tout cas, il respirait la joie de vivre, le célibat, et son air imbécile trahissait son état de touriste. Oliver replongea dans la carte.
« Je commander la spécialité du chef, s'il vous plaît.
-Oh, vous êtes Anglais ? » La serveuse fondait littéralement devant son accent. Le châtain rit, pas gêné pour un brin devant ses fautes de langues, et, oui, lui indiqua sa nationalité britannique. La serveuse bavarda un peu, puis s'en alla en trottinant avec la commande. Oliver se perdait dans ses pensées. Cela faisait deux petites semaines qu'il était en France, et devait bien avouer que c'était un pays des plus agréables. Voyager parmi les Moldus était très amusant, mais il ne lui restait que sept jours avant de devoir partir. L'équipe de Puddlemere n'admettait aucun retard, surtout pas de la part de son gardien, si renommé dans le monde magique. Il lui restait pourtant tant de choses a découvrir, dans Paris même ! Après tout, en ce début juin, flâner dans les rues de la ville de la Mode ne pouvait être qu'agréable. Trois ans déjà qu'Oliver avait quitté Poudlard. Il en gardait une nostalgie non dissimulée qu'il savait partagé. Son meilleur ami, le célèbre rouquin Percy Weasley, était professeur de Sortilège. Il avait abandonné l'idée de devenir Ministre de la Magie, laissant le poste a la ô combien intelligente Hermione Granger.
« Voila, une salade César accompagnée de sa célèbre Moussaka, attention c'est chaud ! »
Oliver remercia d'un sourire éblouissant qui ne manqua pas de faire rougir la serveuse, et dévora sa salade. Il avait une faim de loup alors qu'il avait mangé trois heures auparavant, mais un café gourmant ne représentait pour lui que l'ébauche d'un petit déjeuner. Son portable vibra.
« Tfais quoi ? Jen peuxdejaplus de ces cours ! Bisou Perc »
Oliver se promit que dès son retour, il expliquerait au roux comment l'on se sert d'un téléphone portable. Tient ? Le plat avait déjà disparu ? Le châtain s'étonna de son propre appétit. La nourriture française était exquise, et il ne se lassait pas de la découvrir. La serveuse lui dédia un regard étonné, puis franchement ravi.
« Et bien ! Soit vous aviez très faim, soit cela vous a décidemment bien plu ! Vous prendrez un dessert ?
-Oh oui effectivement bien volontiers, je vous remercie. »
Le tiramisu fut commandé. Oliver se sentait encore d'attaque pour d'autres aventures. Il se saisit de son sac pour regarder sa carte et comme toujours il sentit l'invisible cicatrice qui barrait pourtant son ventre en deux. Il avait longtemps frémit a cette sensation, mais cela était derrière lui. Il n'en était alors qu'a cinq mois de grossesse, quand l'incident s'était produit. Une chute dans les escaliers, un stress dévastateur, et le bébé était mort dans son ventre. Les Médiomages avaient du enlever le corps par césarienne. Cette perte, affreuse, l'avait fait plonger dans une sourde dépression, dont il avait finit par sortir grâce a l'aide de ses proches. Il avait décidé de prendre des vacances méritées, loin de toutes ses connaissances, pour se changer les idées. A l'intérieur du sac, les doigts d'Oliver buttèrent contre un bout de papier froissé. Celui qui contenait, a l'époque, le nom de l'hôtel qu'habitait Flint, et le nom de la boutique ou il était employé. Oliver ne savait plus exactement quel métier le brun devait exercer. Le souvenir de l'ancien Serpentard affolait toujours les sens du châtain, qui s'était, depuis ces terribles péripéties, refusé a avoir une quelconque relation sérieuse.
« Et voici le tiramisu, avec les compliments du chef ! »
Oliver goûta, et devant les hurlements de joie que poussèrent ses papilles, il ferma les yeux et apprécia le dessert avec un plaisir émue. Comment un homme, un Moldu qui plus est, arrivait a créer ce met des Dieux ? Il attrapa par la manche la serveuse qui repassait :
« C'est delicious , vous dire au cuisinier que c'est un magicien, cette tarte est addictive ! »
La serveuse hocha la tête, ravie de voir que la cuisine restait un élément décisif de la vie des hommes. Elle disparu dans les cuisines. Oliver nettoyait sans complexe l'assiette avec son doigt, la cuillère dans la bouche, quand il vit le chef, cet homme qui possédait un réel don culinaire, sortir des cuisines pour saluer un autre client qui s'extasiait sur la qualité de sa mousse de canard. Oliver ouvrit doucement la bouche. Pas de quoi faire tomber la cuillère, mais assez pour lui donner un air profondément abruti.
Le chef cuisinier était grand, et bien bâtit. Vêtu de l'ensemble blanc et moulant commun aux travailleurs en cuisine, il semblait trop puissant pour que son vêtement ne craque pas, et a chaque éclat de rire les coutures s'étiraient un peu plus. Il était brun, avec des cheveux courts, comme dressés sur sa tête. Des traits durs, manquant de finesses, et pourtant porteurs d'un charme exquis.
Ses yeux, froids comme la glace, brillaient d'une joie non dissimulée. Ses lèvres charnues s'étiraient en un sourire un brin cynique. Le temps ne l'avait fait devenir que plus beau. Oliver se planqua derrière le menu, l'observant a la dérobée, le cœur au bord des lèvres. Quel délice d'homme. Quelle virilité déroutante, quel sentiment de sauvagerie dans ses yeux. Oliver soupire. La serveuse lui presse amicalement le bras :
« C'est lui le chef ! It's him ! You understand me ? It's him ! »
Elle l'entraîne malgré lui. Le châtain retient son souffle. Le grand homme se retourne d'un mouvement sec, et la joie dans ses yeux s'éteint comme une bougie que l'on souffle.
« Toi. Ici. »
Oliver tend savamment la main, et lance un « enchanté monsieur » avec un très mauvais accent. L'autre continue de le fixer. Oliver, gêné, finit par baisser son bras, et demande l'adition. La serveuse ne comprend pas pourquoi son patron fixe l'étranger avec cet étrange regard. Il n'est vraiment pas du genre à traiter les clients ainsi, d'habitude. Oliver est rouge de fureur, et a les dents serrées. Bon sang, il l'a reconnu, cet enfoiré, et il ne semble pas accepter cette vérité. Le châtain ne savait pas qu'il était devenu le patron d'un restaurant. A vrai dire, il s'était totalement désintéressé de sa vie. En allant en France, il n'avait pas songé un seul instant à le retrouver.
« Oliver. Je ne vais pas te laisser partir comme ça. »
Une main de fer lui broie le bras. Le châtain frissonne en sentant la chaleur de Flint traverser l'épaisseur de son pull.
"..."
« Ainsi, tu as fais fortune dans le monde Moldu, et bien je dois te féliciter !
-Oliver…
-Moi, comme tu dois le savoir si tu lis encore un peu les journaux, je suis devenu le gardien de Puddlmere, et je dois avouer qu'on déchire, après tout je…
-Oliver. J'ai entendu dire que tu avais du subir une opération. De quoi était-il question ?
-Mon bébé est mort dans mon ventre. »
Terminé, le temps ou Oliver craignait Marcus. Le temps où il n'osait pas parler. Cette fois, il le regarde droit dans les yeux sans ciller, le menton volontaire. Il n'a plus peur. Flint, par contre, est toujours aussi explosif. D'un bond, il plaque le châtain au sol, et l'ancien Gryffondor observe avec un certain intérêt les coutures du vêtement blanc qui arrivent à saturation.
« C'EST-CE CONNARD DE DIGGORY QUI T'AVAIT…
-Non. C'était ton enfant, Flint. »
Ca lui coupe la chique. Les mains se relâchent, le visage se crispe, le regard se fait noir. Oliver regrette immédiatement ses mots. Il voit une étrange douleur dans les yeux de Flint.
« Tu as porté mon enfant, et tu ne m'as rien dis.
-Tu étais parti, Flint. Je…
-JE SERAIS RESTE, MERDE ! TU AS AGIS COMME UN PUTAIN D'EGOISTE ET…
-JE VENAIS DE ME FAIRE VIOLER ET TU PARLAIS DE PARTIR, QUE POUVAIS-JE FAIRE ? »
Ils réalisent qu'ils crient. Que la serveuse doit être plaquée contre le mur, affolée, essayant par tous les moyens de calmer les clients qui ne comprennent pas les cris provenant de la cuisine. Oliver remonte doucement le sac de voyage sur son épaule.
« Ecoute… Ce n'est qu'une mauvaise coïncidence, je ne comptais pas tomber sur toi. Je repars bientôt.
-Je t'invite au restaurant ce soir. Tu ne peux pas dire non, c'est moi qui paye. »
Oliver n'a pas envie de refuser. Vraiment pas.
« Ce soir, viens devant le restaurant, a 21 heures. S'il te plaît ».
Serait-ce un humain ? Ou est donc passé le Flint arrogant, destructeur, qui le tuait constamment des yeux ? La rage est toujours là, mais comme camouflée. Oliver décide malgré lui de découvrir ce qu'est ce camouflage.
Il rejoint de nouveau les rues de Paris, grouillantes de monde. En cela, les Parisiens ressemblent aux Londoniens, ils sont pressés, toujours pressés, et la fatigue se lit sur leurs visages blafards. Café en main, journaux, mallettes, en talons, en mocassins, en baskets, ils se pressent, se bousculent, se font avaler par les bouches de métro. Oliver, assit sur une barrière, prend des photos de cette population qui fourmille. Il essaie de ne pas penser a la soirée qui l'attend, de ne pas songer a Flint et a sa croissance terminée, a ce Flint qui fait tellement adulte, du moins tellement plus que lui, et il essaie de ne pas y songer, mais plus il essaie et plus les scénarios défilent dans son esprit.
Il soupire.
"..."
« Tu peux me dire ce que tu fous ici ?
-Et bien ! Ce n'est pas la reconnaissance qui t'étouffe, toi ! Je me suis dis que tu devais t'ennuyer tout seul ici, alors j'ai fais un saut de puce pour…
-Dray, tu tombes mal, là.
-Je te demande pardon ? »
Flint s'énervait a ses fourneaux. Braillant des ordres à ses subalternes, il laissa en plan le plat en préparation et alla s'enfermer dans son bureau, tirant le blond par la manche.
« Tu n'es décidemment pas dans ton état normal, je d…
-Draco, Oliver est venu manger ici. Je l'ai invité au restaurant ce soir même. Il… Il était enceint de moi. Tu étais au courant ? »
Non, le Malefoy tombait des nues, et le harcelait déjà de questions. Enceint ? Retour ? Comment cela se faisait-il qu'Harry ne lui en ai pas parlé ?
« Bon sang, et nous allons nous marier…
-PARDON ? »
Le Serpentard et le Gryffondor enfin réunis par les liens sacrés du mariage. Draco, rouge vif, était aux anges. Harry avait enfin cédé et accepté de se marier, malgré le fait que cela allait créer un véritable buzz médiatique. Si le blond voulait un mariage pour célébrer leur amour, et bien il l'aurait. Flint grogna. Il allait devoir être témoin, et Oliver serait forcément à la cérémonie. Probablement gênant.
« Marcus, va te laver et met des vêtements convenables, tu pues la cuisine c'est ignoble…
- Je t'emmerde, Malefoy, je n'ai pas l'esprit a ça ! Il avait un enfant, mon enfant, et …
- C'était un accident, Marc'. Tu ne peux rien y faire. »
C'était certainement cela qui agaçait le plus le brun. Le fait qu'Oliver ne lui ai rien dit. Il passa a la douche, les sourcils froncés, et se laissa habiller comme une poupée.
« Marc', si tu fais cette tronche toute la soirée, je ne donne pas cher de ta peau. Garde en mémoire qu'il est retourné, comme toi, de te revoir. C'est lui qui a porté cet enfant. C'est aussi lui qui l'a perdu. Essais d'être naturel. »
Flint ne répondit pas. Il avait bien changé depuis l'école. Bien trop changé d'ailleurs. Il avait du s'acclimater a la vraie vie, grimper les échelons sans aide, se faire plus sociable que d'habitude. Et, peu a peu, il y avait pris goût. Il se battait moins, mais toujours aussi fort, développant son intérêt certains pour les activités charnelles. Et la cuisine. Il s'était découvert un véritable don, et son plaisir augmentait a chaque recette crée. Sa mère aurait honte de lui, si elle le voyait ainsi. Il avait détruit tout lien avec le monde magique dès sa sortie de Poudlard, s'interdisant de prendre des nouvelles. Il regrettait, a présent.
« Je parie que tu l'aimes toujours.
-Ta gueule, Dray. »
Draco pariait aussi que la soirée serait bonne. Et Draco se trompait rarement concernant ce genre de choses.
"..."
« …
-… »
L'ambiance était tendue. Oliver refusait de regarder la jugulaire de son vis-a-vis, et se passionnait pour la nappe. Flint, les bras croisés, attendait les plats dans une impatience feinte. Que dire ? Que dire après tout ce temps de passé, ce temps de gâché, ce temps qui avait coulé entre leurs doigts comme une longue flamme, les brûlants de désespoir. Le brun voulait retrouver ce temps là. Il le voulait, mais ne savait pas comment faire.
« … Alors comme ça tu es devenu gardien chez Puddlemere ?
-Oui. »
Et le silence revient. Insupportable silence. Oliver masse ses épaules nouées, le visage rouge. Bon sang, il a envie de lui parler, de le secouer, de lui beugler a la tête toutes ces pensées qui l'ont harcelées pendant si longtemps, et il a envie de l'embrasser, de le serrer fort, de s'abandonner contre ce torse de statue grec, ce torse musculeux presqu'inhumain. Il voudrait, mais il ne peut pas.
« … Et donc, ton restaurant, il marche bien ?
-Oui. »
La conversation s'oriente doucement vers des banalités. L'alcool saura dénouer les langues au moment venu. Ils discutent famille, amis, boulot, futur. Oliver sent que l'ancien Serpentard brûle de passer à des sujets sérieux, mais c'est lui qui allume la mèche en premier :
« Tu dois être au courant qu'Harry et Draco vont se marier…
-J… Je viens d'être mis au courant, en effet.
-J'aurais du accoucher le jour du mariage. »
Silence. Le serveur apporte les plats. Oliver goûte, Flint le contemple sans toucher son assiette.
« Pourquoi tu ne m'as rien dis. Pourquoi tu n'as pas…
-Arrête. C'est bon. Et toi, ta nouvelle vie te plaît ?
-Oui. Je suis en couple. Avec un Moldu. »
Oliver accuse le coup, et le brun voit immédiatement la douleur traverser ses beaux yeux noisette. Flint dévie l'axe de son regard. Vaine tentative pour oublier l'ancien Gryffondor. Le châtain engloutit son verre, et se resserre aussi sec.
« Comment ais-je pus croire un seul instant que cet épisode aurait pu t'atteindre, ah ah, je suis misérable… Enfin, moi, a part cette fichue cicatrice, je n'ai plus rien non plus qui m'attache a toi !
-Ne dis pas ça, imbécile. Je lis toujours en toi comme au premier jour.
-N'essais pas de rendre un semblant de romantisme a notre histoire. C'était du cul, point barre.
-Mensonge. »
Oliver sourit, et se somme d'arrêter. Il essaie de plaire a Flint, encore une fois, il veut lui plaire, lui faire avouer qu'il est encore attaché a lui, il veut lui faire dire qu'il est mieux que son copain actuel, il veut le pousser à détruire son couple, il veut qu'il le regarde. Qu'il le regarde comme avant, avec ses yeux bouillants, il veut qu'il le prenne sous les cuisses, qu'il le couche sur une table et qu'il lui fasse l'amour toute la nuit.
« Oliver, quand tu penses a des conneries, tu me regarde toujours d'une façon niaise. Comme maintenant.
-Je t'emmerde, Marcus. Comment est-il, ton copain ?
-Tu n'as pas besoin de le savoir.
-Comment est-il.
-Châtain, mince, naïf.
-Comme moi.
-Comme toi. »
Flint critique méchamment le plat qu'il a commandé. L'ancien Gryffondor roule des yeux, secrètement heureux de ces étranges révélations. Pourquoi ne peut-il pas tourner la page ? Pourquoi ne peut-il pas oublier cet homme qu'il hait pourtant d'une force puissante ?
« Je pense qu'après le mariage, je retournerais dans le monde magique. Il n'est pas trop tard pour retrouver un emploi.
-Le Quidditch te manque ?
-Oui. »
Flint se demande a quel point il doit avoir perdu la main. Il soupire. Oliver grignote un morceau de pain, et murmure que Ron ne viendra peut être pas au mariage, même s'il s'agit de celui d'Harry.
-Pourquoi ?
-Il y aura Blaise. »
Le brun détourne les yeux. Comment une histoire aussi douce avait-elle pu dégénérer ainsi ? Comment Blaise, ce garçon sérieux, amoureux, avait-il pu tromper le roux ? Ils avaient ensuite rompu, Ron ne pouvant supporter la trahison. Puis, la dépression de l'ex Serpentard, les silences de Ron, et la tentative de suicide du Noir. Le roux lui avait crié son amour quand il demeurait, inerte, dans le lit blanc de St Mangouste. Mais il avait refusé de le voir a son réveil. Pour lui, si Blaise l'avait trompé une fois, il pourrait le refaire. Et peut importait s'il mourrait d'amour, seul, chez lui.
« Il y a quelque chose de pourri dans les relations Serpentards/Gryffondor, signala doucement Oliver, enfin, je ne veux pas porter malheur a Draco et Harry.
-Ce restaurant est dégueulasse. On prend le dessert chez moi.
-Avec ton copain ? Ironisa le châtain.
-Va te faire mettre, Wood. »
Les habitudes revenaient d'elles-mêmes dans les agissements du brun.
ALOOOOORS :) j'espère que ce début de suite vous plait! Reviews?
