Le meeting avait débuté et pour une fois, tous étaient silencieux. Car lors de ce meeting, Russie sera jugé.
Allemagne se leva et déclara devant l'assemblée.
-Nous nous retrouvons aujourd'hui pour clarifier les actes commis par Russie ici présent. Les collaborateurs seront écoutés chacun leur tour mais tout d'abord, entendons l'accusé.
Russie se leva à son tour et dit calmement.
-Ils étaient consentants.
-PUTAIN MAIS T'A COUCHÉ AVEC LA MOITIÉ DE LA PLANÈTE ET C'EST TOUT CE QUE TU TROUVE À DIRE ? s'exclama Nej.
Et la réunion perdit de son sérieux après l'intervention de Tchétchénie.
Bon, c'est vrai que c'est pas très grave comme situation mais Alfred avait tenu à le juger car "DUDE, C'EST MON PÈRE !" et Yao l'avait suivit car "ON NE TROMPE PAS UN VIEUX PANDA COMME MOI !"
Et visiblement, Arthur n'est pas le seul à avoir eu une aventure avec Ivan. Certains commençaient à stresser.
-Silence s'il vous plait ! Nous allons tout d'abord écouter Angleterre ! Reprit Ludwig.
Le susnommé se leva, les joues rougis de honte.
-J'aurais apprécié ne pas être mentionné...
-J'aurais apprécié ne pas être ici, mais on peut pas tout avoir dans la vie..., soupira Ludwig.
-DADDY PUTAIN ! Cria Alfred.
Non décidément, il ne peut pas accepter le fait que son père se soit tapé son pire ennemi.
-Angleterre, qu'a tu à dire pour ta défense ?
-Que c'est ma vie, que je fais ce que je veux car je suis adulte et que mon fils EST UN IMBÉCILE !
-... C'est tout ce que j'avais besoin d'entendre. Italie Romano, levez-vous.
Au fond de la salle, Antonio recracha sa tomate.
-Me donne pas d'ordre batard de bouffeur de patates !
-Qu'avez vous à dire pour vôtre défense ? Demanda l'allemand en ignorant l'insulte.
-Pareil que l'autre sourcilleux, c'est MA vie mierda, je fais ce que je veux ! Et si je veux baiser avec Ivan, JE LE FAIS !
-Bien, rasseyez-vous. Nous allons passer à Suisse.
Vash se leva sous les regards surpris des nations. Il sourit à Ivan puis prit la parole.
-Ivan m'a soutenu quand j'en avais besoin et c'est moi et moi seul qui lui ai demandé d'avoir des relations plus intimes. Je n'ai pas à me justifier, surtout pas auprès d'un gamin stupide et arrogant qui se croit au dessus de tout le monde. Fin.
Et il se rassit, lançant au passage un clin d'oeil à ses comparses désignés comme "collaborateurs".
Et plus les amants de Russie étaient appelés, plus les autres nations paniquaient. Jusqu'à ce que ça soit au tour de France de se lever. Alfred ne réflichit pas et se mit sur ses deux pieds pour faire son scandale.
Que son ennemi numéro un couche avec daddy c'était déjà terrible, mais si en plus son frère, sa soeur, son petit-ami et son autre père l'ont fait aussi, c'en est trop.
-NON MAIS RUSKOFF T'ES SÉRIEUX, T'A QUOI CONTRE MOI PUTAIN, T'A BAISÉ TOUTE MA FAMILLE ET MON MEC, MAIS TU FAIS CHIER !
-Tu n'oubliera pas de marquer ton nom sur la liste de mes amants ufu~
-QUOI ?
-On a vu clair dans vôtre guerre froide, déclara Francis.
Et ce fût ainsi qu'Alfred F. Jones et Yao Wang tombèrent dans les pommes.
-Yao~Yao ?
...
Mais qu'est ce que j'ai écris...
J'ai un problème avec Russie non ?
Je me désespère parfois.
